Il peut en effet s'agir d'une infection bactérienne, ou vaginose bactérienne. Due à la bactérie Gardnerella vaginalis, la vaginose bactérienne se caractérise par un déséquilibre de la flore microbienne du vagin. Elle est reconnaissable à son odeur dite de "poisson pourri".
Odeur de poisson : la vaginose bactérienne
La mauvaise odeur est liée à un gaz produit par la bactérie présente dans le vagin. Quel traitement ? La vaginose se soigne grâce à un traitement antibiotique appartenant à la famille des immidazolés. Soit en granulés en prise unique, soit en comprimés pendant une semaine.
Une vaginose bactérienne se développe lorsque la flore vaginale habituelle est déséquilibrée et remplacée par des bactéries pathogènes. Les pertes vaginales sont alors plus abondantes et malodorantes, cette odeur s'accentue après les rapports sexuels.
Le diagnostic repose généralement sur un examen au microscope des pertes vaginales, et la mise en évidence des « Clue cells », ou par l'odeur anormale qui se dégage spontanément de ces pertes, similaire à une odeur de « poisson pourri ».
Certains produits comme le yaourt, la Cranberry, le thé au gingembre et le soja peuvent aider à maintenir une bonne santé au niveau du vagin.
Pour chasser l'odeur persistante du poisson dernièrement cuisiné au four, on coupe 1 citron en 2, et on dépose les 2 moitiés directement sur la grille à mi-hauteur. Puis, on fait chauffer le four quelques minutes à haute température (environ 200° C). L'odeur de citron va neutraliser celle du poisson durablement.
Alimentation. Certains aliments comme les asperges, le poisson, l'oignon et l'ail ont la capacité de donner une odeur de soufre aux urines qui dure le temps de leur digestion. C'est le méthyl-mercaptan, un produit soufré qui donne cette odeur si particulière.
La cause la plus courante des pertes blanches est l'arrivée prochaine des règles. Pendant quelques jours à la fin d'un cycle et au début du suivant, les sécrétions vaginales transparentes peuvent se transformer en pertes blanches laiteuses, leur quantité augmente et leur texture devient plus épaisse.
La glaire cervicale : c'est une sécrétion émise par des glandes situées dans le fond du vagin, au niveau du col de l'utérus, dites glandes endocervicales.
Lorsque le taux d'œstrogènes augmente, le col de l'utérus produit davantage de glaire cervicale. Au début, ce fluide peut être épais et collant ou poisseux, puis devenir plus humide et crémeux, comme une lotion.
Pour vérifier le plus objectivement possible que l'on a besoin d'un coup de frais, il suffit, avant d'effectuer un reniflement discret, de humer une tasse de café. L'arôme est tellement puissant qu'il remet à zéro les capteurs olfactifs et permet de se sentir en toute objectivité.
La présence de gaz (air) dans l'urine est un symptôme rare qui est en général le signe d'une connexion anormale (fistule) entre les voies urinaires et l'intestin, qui normalement contient des gaz.
L'urètre féminin est un conduit excréteur de l'urine exclusivement. Il prend naissance au niveau de l'ostium interne de l'urètre situé au niveau du col de la vessie, entourée d'un sphincter lisse, pour se terminer au niveau de la vulve, où il s'ouvre par l'ostium externe de l'urètre.
La triméthylaminurie (ou fish-odor syndrom, appelé aussi syndrome de l'odeur du poisson pourri) est un désordre métabolique dont la principale caractéristique est l'odeur corporelle de poisson. Elle est causée par un défaut d'activité d'un enzyme, la mono-oxygénase à flavine 3 (FMO3).
Utilisez de l'eau tiède et un savon doux ou adapté pour lavage intime masculin au quotidien et après chaque rapport sexuel pour nettoyer vos parties intimes correctement. N'oubliez aucun recoin, notamment sous le prépuce où les saletés et mauvaises odeurs ont tendance à se loger.
Ne pas pousser : la vidange de la vessie doit se faire en douceur pour ne pas abîmer le périnée ; Vider complètement la vessie : lorsqu'une vessie ne se vide pas complètement, les germes présents dans la région peuvent proliférer et entraîner une infection urinaire.
A noter que dans notre société, c'est surtout la gent féminine qui s'essuie, les garçons, eux, n'ayant pas toujours ce réflexe-là, ce qui est une erreur. Avoir des gouttes restantes après la petite commission est en effet inévitable pour tout le monde et on devrait ainsi toujours s'essuyer après avoir uriné.
On vous rassure, vous produisez très certainement des gaz en dormant. Car en effet l'organisme a besoin d'expulser cet air, et que si vous les retenez durant la journée, vous relâchez tout en dormant, car votre corps est beaucoup plus détendu et peut s'accorder un concerto pour trompettes.
La transpiration nocturne et l'air insuffisamment renouvelé dans la chambre laissent, au petit matin, une odeur un peu particulière, qui taquine nos narines. D'où l'importance d'aérer “en grand” quelques minutes! Cette odeur, c'est à cause des ptomaïnes.
Brossez-vous les dents, utilisez un fil dentaire, faites un bain de bouche et brossez votre langue. Une autre méthode pour identifier l'odeur de son haleine consiste à se lécher le poignet. Reniflez votre poignet dix (10) secondes après. L'odeur qui en découle est celle de votre haleine.
L'odeur est un stimulus très fort, comme la douleur, qui est de nature sensorielle. Aussi, l'idée que l'on a d'une douleur ressemble fortement à celle d'une odeur. Enfin, la sensation d'odeur, bien que très différente, a une origine dans le cerveau qui s'active comme pour la douleur. C'est un phénomène réversible.
Les écoulements génitaux chez l'homme sont le plus souvent dus à des infections sexuellement transmises (IST), contrairement aux écoulements ou aux pertes vaginales chez la femme. Le traitement est indispensable pour éviter les complications et la contamination des partenaires sexuels.
On parle de dyspareunie en cas de douleurs lors de rapports sexuels. Celles-ci peuvent apparaître avant, pendant ou après l'acte sexuel. Elles peuvent être ressenties chez l'homme et la femme. Néanmoins, la dyspareunie est un terme médical qui est généralement employé pour désigner les douleurs perçues par les femmes.