Indicateur de paternité
D'une manière générale on s'attend à ce qu'un enfant exprime 50 % de ressemblance avec son père et la même chose avec sa mère. En réalité cette étude montre que la similitude des traits peut aller vers l'un ou l'autre des parents.
Selon les résultats d'une étude publiés le 2 mars dans la revue Nature Genetics, les bébés ressembleraient davantage à leur papa ! Les chercheurs ont en effet démontré que si les enfants reçoivent en part égale les gènes de leurs deux parents, ceux du père ont plus d'impact sur les mutations génétiques.
Le métabolisme, la nutrition, le poids, participent également à l'allure générale de l'enfant, comme nous l'explique le professeur Lyonnet : « Les caractéristiques environnementales sont aussi nutritionnelles, hormonales, de texture de peau, etc.
Le père est la personne que le bébé connaît le mieux à sa naissance. Dès 8 semaines, le bébé développe des capteurs au niveau du toucher, puis à 20 semaines, au niveau de l'ouïe, puis du goût. Il capte très vite la présence, la voix de son papa.
Le premier lien d'attachement d'un bébé s'établit généralement avec sa mère, mais le lien qu'il partage avec son père est tout aussi important. Bien que les bébés s'attachent aussi à d'autres adultes qui en prennent soin, les liens avec leurs parents sont les plus importants.
L'être humain hérite de la moitié de l'ADN de sa mère et de la moitié de l'ADN de son père. Pour chacune de ses paires de chromosomes, l'un vient de sa génitrice, l'autre de son géniteur.
Les gènes de la mère représentent généralement 50% de l'ADN du bébé, et les 50% restants viennent du papa. Néanmoins, les gènes masculins sont plus “forts” que les gènes féminins, si bien qu'ils se manifestent plus fréquemment. Donc, pour 40% des gènes actifs de la mère, il peut y avoir 60% des gènes du père.
Une étude, réalisée par des chercheurs de l'Institut des Sciences de l'évolution de Montpellier, montre que jusqu'à l'âge d'un an environ, les bébés ressemblent davantage à leur mère qu'à leur père. Attribuer la ressemblance au père relèverait d'une manipulation sociale, destinée à conforter le père dans sa paternité.
En termes de développement, le fait qu'un foetus pleure implique qu'il peut non seulement bouger, mais aussi qu'il possède les structures cérébrales et sensorielles nécessaires pour intégrer le stimulus auditif et le reconnaître comme étant négatif.
Si se sont les mamans qui portent bébé durant 9 mois, lorsque ce dernier pointe le bout de son nez c'est aux papas qu'il ressemble. Du coup, pas de doutes possibles c'est bien le vôtre;! C'est en tout cas ce qu'avance une étude américaine publié par la revue Nature Génétique en mars dernier.
Répéter "areuh-areuh" à son bébé est souvent perçu comme une faiblesse. En réalité, de telles hésitations pourraient être cruciales pour apprendre à parler. Une étude a montré que les nourrissons utilisent les gazouillis de leurs parents, comme un signal indiquant qu'un mot important va être prononcé.
Par conséquent : pour concevoir un garçon, le rapport sexuel doit avoir lieu au plus près de la date d'ovulation afin que les spermatozoïdes Y gagnent la course. Pour renforcer la concentration en spermatozoïdes, il est recommandé de s'abstenir de faire l'amour dans les jours précédents l'ovulation.
Miser sur des oméga-3, veiller à ne pas être carencé en fer ou encore faire le plein de fruits et légumes sont autant de bonnes habitudes à prendre pendant la grossesse pour que son enfant naisse et demeure en bonne santé.
5 fruits ou légumes, en variant (ex : des agrumes pour la vitamine C, des carottes pour le bêta-carotène et des épinards pour la vitamine B9). 3 à 4 produits laitiers (vitamines B2, B9, B12). 1 poignée de fruits secs, amandes, noisettes, noix, pistaches (vitamines E, B9, zinc).
L´intelligence est-elle héréditaire ou acquise ? Les recherches conduites sur des jumeaux ont démontré que 55 % de l´intelligence sont déterminés par des facteurs génétiques. Ce composant génétique détermine le plafond de votre intelligence, c´est-à-dire le niveau maximal d´intelligence que vous pouvez atteindre.
Globalement, les traits de personnalité dépendent à 50 % de facteurs génétiques. Cette part perd du terrain au fil de l'enfance. Ainsi, pour la timidité, il y a égalité chez le bébé: moitié génétique, moitié environnement ; chez l'enfant, la génétique ne pèse plus que 24 %.
Selon Megan Dennis, qui étudie la génétique humaine à l'Université de Californie, à cause de la recombinaison, les frères et soeurs ne partagent en moyenne qu'environ 50 % de leur ADN. Donc, même s'ils ont les mêmes ancêtres, leur code génétique peut être différent. Et c'est encore plus vrai pour les jumeaux.
C'est souvent la ou les grands-mères (catholiques ou orthodoxes) qui amènent les enfants à l'église, et ce, avec la bénédiction des parents. Par ailleurs, la grand-mère est aussi celle qui est présentée dans bien des cas comme la personne la plus apte à transmettre la religion.
Résultat: plus deux gènes sont proches sur un chromosome, moins ils risquent d'être séparés. Ils seront alors transmis ou séparés ensemble, ce qui explique pourquoi on ressemble plus à un membre de la famille qu'à un autre. Grâce à ce brassage, nous conservons des traces, même minimes, de nos ancêtres.
Le rôle de la famille est primordial. Non seulement elle est le lieu originel mais encore elle sera le lieu des premières paroles que l'enfant pourra entendre sur ses origines. Car sa naissance, lui-même ne peut rien en dire. Il ne peut entendre le récit de ses origines que de la parole d'un autre.
Les câlins sont indispensables au bon développement sensoriel et cognitif de bébé. Le sens du toucher (avec les bisous, les câlins) stimule notamment les hormones du bien-être et de la croissance. Quant à son petit cerveau, il a besoin de vos bras pour développer les bonnes connexions.
Un enfant préfère sa maman parce qu'il a vécu dans son ventre pendant quarante semaines ou plus. Pendant qu'il se développe, c'est elle qui lui donne des nutriments, de l'oxygène et qui le protège.
Les bébés s'attendraient donc non seulement à être portés, mais aussi transportés. Selon les chercheurs japonais, la nature aurait favorisé ce type de comportement, car cela assure la survie des petits. Cette réaction au portage en mouvement serait donc un vestige de l'évolution.