Il y a plusieurs raisons pour détester comme on le dit « sans raisons » (qui sont des raisons). Il faut savoir que la détestation, c'est envers les gens que l'on connait : les proches, les amis, les parents, les collègues, son époux ou son épouse, les voisins, etc. On ne déteste que ceux qu'on connait ou qu'on aime.
La haine est une émotion très intense qui, chez la plupart des personnes, apparaît face à un type de stimulus très spécial. Nous détestons lorsque nous nous sentons attaqués, agressés ou vulnérables. Lorsque l'on attaque notre intégrité physique ou psychologique.
Observez son langage corporel pour y trouver des signes de rejet. Une personne qui vous déteste ne va pas se pencher vers vous au cours d'une conversation et elle ne va pas s'engager dans les activités qu'elle a avec vous. Lorsque vous serez proche d'elle, elle aura souvent les bras croisés.
Certaines personnes se préoccupent excessivement de l'impression que les autres se font d'elles. En fait, elles essayent de faire tout ce qu'elles peuvent pour projeter une image déterminée. De façon inconsciente, les autres détectent cette superficialité ou ce jeu qui produit un rejet.
Une autre raison pour laquelle vous pourriez vous sentir blessé dans vos relations est liée à une faible estime de soi. Vous avons besoin de beaucoup, vous avez hâte de recevoir l'attention des autres. Leur amour et cette validation que nous ne nous accordons pas.
Les trois éléments caractéristiques sont : Une tristesse inhabituelle, mêlant un sentiment d'angoisse et de " fatalité " Une perte d'intérêt et de plaisir qui touche tous les domaines de la vie quotidienne (amis, familles, loisirs, travail)
Il y a une envie réciproque de passer du temps ensemble. Il y a généralement une tendance à s'intéresser vraiment à l'autre et à le·la soutenir dans les moments difficiles.
Ce sentiment est parfois lié à un manque de confiance en soi. On a du mal à s'accepter, à s'estimer, on ne comprend pas comment les autres pourraient nous aimer alors qu'on est comme « ça ». Il arrive également qu'on ait l'impression que si l'autre nous aime, on pourra s'aimer en retour.
On pense souvent qu'il n'est pas possible de haïr la personne que l'on aime. Pourtant, le contraire de l'amour n'est pas la haine mais l'indifférence. Accepter que l'on peut haïr temporairement celui ou celle qu'on aime permet de regarder en face ses émotions sans en avoir honte ou les combattre.
Elle provient d'attentes non réalistes envers une personne ou un groupe de personnes qui devraient, selon nous, nous aimer ou montrer leur amour, différemment. Il faut beaucoup d'amour pour haïr. Une personne indifférente ne peut pas haïr. La haine découle donc d'un sentiment de rejet ou d'abandon.
Concentrez-vous sur des images qui vous détendent pendant que vous respirez, par exemple une plage ou un lieu de votre enfance que vous aimiez. Visualisez les émotions négatives qui s'éloignent à chaque expiration. Lorsque quelqu'un vous fait du mal, il peut être difficile de l'oublier.
Qui est misanthrope, qui éprouve de l'hostilité, voire de la haine envers le genre humain.
Il peut s'agir d'une déprime ou bien d'une dépression. La première est un mal-être passager ; la seconde est une maladie qui nécessite une prise en charge médicale et psychothérapeutique.
Pour retrouver votre bien-être, pratiquez une activité au grand air (vélo, marche…) : le soleil améliore l'humeur et dynamise. Veillez à respirer profondément quelques minutes par jour et mettez-vous à la relaxation. L'alimentation n'est pas à négliger.
Si vous vous dites sciemment « Personne ne veut de moi« , c'est évidemment rattaché à un problème de confiance en soi. Cela peut nous éviter d'être mal à l'aise face aux hommes, de mieux les comprendre également. On dit souvent qu'il faudrait un roman pour comprendre les hommes !
Il est normal de se sentir triste ou blessé lorsque quelqu'un nous rejette ou ne nous apprécie pas, mais parfois, ces sentiments s'intensifient au lieu de s'estomper avec le temps. Certaines personnes qui font l'expérience du rejet pourraient sombrer dans la dépression ou même avoir des pensées suicidaires.
Cet état de dépendance à l'égard de l'autre est symptomatique d'un manque de confiance en soi : « Celui qui a été suffisamment soutenu et valorisé par ses parents n'aura pas besoin des autres pour se construire, affirme Maud Lehanne.
Par exemple, si la personne ne vous cherche pas pendant 2-3 jours, c'est peut-être parce qu'elle ne veut pas être pressante, collante, parce qu'elle aime respecter les espaces des autres et les leurs, pour susciter un intérêt ou simplement parce qu'elle n'ont pas de bonnes relations avec le téléphone portable.
Évitez de rajouter à la tension et à la colère ambiante en vous montrant fermé et énervé. Ne croisez ni les bras ni les jambes, évitez de grimacer ou de regarder par terre et n'approchez jamais vos mains du visage de quelqu'un, n'envahissez pas son espace X Source de recherche .