D'autres diront que la « méchanceté gratuite » est liée au désir de se faire remarquer ou de provoquer les autres (sous-entendant que les personnes qui sont la proie de ces désirs n'ont pas de raison de se faire remarquer ou de provoquer.)
Les Français interrogés expliquent qu'ils sont majoritairement prêts à râler souvent (55%) ou à facilement critiquer (53%). Il y a aussi d'autres moyens d'être méchant. C'est par exemple la provocation pour 36% des sondés, la moquerie gratuite (33%) et la médisance (31%).
En temps normal, tout nous pousse à avoir des relations calmes avec les autres. « Si on est méchant, ça veut dire que l'on est toujours sur le qui-vive [en alerte], explique Nicole Catheline. On pense que l'autre nous veut du mal, donc il faut se défendre. »
La cause de son comportement se cache peut-être dans une difficulté à assumer ses sentiments amoureux. Vous lui plaisez mais, pour une raison ou pour une autre, il sait que vous ne pourrez jamais être ensemble. Et vouloir quelque chose qu'on ne peut pas avoir est très frustrant.
Restez loin de la personne.
Si vous vous sentez à l'aise, vous pourriez dire calmement : « Arrête de faire ça » ou « Tu es en train de dépasser les bornes avec ce que tu fais. Je m'en vais. » Si vous ne pouvez pas vous retirer, faites-lui comprendre par vos actions que vous ne voulez pas interagir.
Aucun enfant ne naît « méchant ». Mais aucun ne naît non plus civilisé. Car tous ont, au début de leur vie, un fonctionnement psychique qui est à mille lieues des règles de la vie en société.
Une personne sadique va prendre plaisir à faire souffrir l'autre, et a clairement conscience de ce qu'elle fait. C'est beaucoup plus pervers, mais aussi et heureusement, plus rare. Pourtant, dans le cas de la méchanceté gratuite, nous avons l'impression que l'objectif est de faire du mal à l'autre.
Selon la neuropsychologie, l'agressivité serait due à un réflexe pré-programmé au niveau neurologique, en lien avec le vécu personnel et le contexte socio-culturel. L'agressivité peut aussi être associée à certaines pathologies, telles que la psychose, la névrose ou l'épilepsie.
adjectif et nom. Qui fait délibérément du mal ou cherche à en faire, le plus souvent de façon ouverte et agressive (opposé à bon). ➙ cruel, dur, malfaisant, malin (I), malveillant, mauvais (III, 2) ; familier rosse, vache ; régional chien, cochon.
Par exemple, répondez à une provocation par ce genre de répliques : « Pardon je ne t'écoutais pas, tu disais ? » Ou bien « Tu as beaucoup de colère en toi on dirait, tu souhaites en discuter ? » Ou encore « Merci pour cette remarque pertinente, j'en parlerai à mon chat » Avec ce genre de réponse, nul doute que vous ...
Qui fait intentionnellement du mal à autrui, qui cherche à nuire : Un méchant homme. Il est méchant avec les animaux. 2. Qui manifeste la volonté de nuire, la malveillance : Une remarque méchante.
Ils seraient "naturellement" attirés, dès l'âge de six mois, par des personnes ayant de bonnes intentions, et non par celles qui pourraient leur nuire. Selon les auteurs de l'étude, cette attirance serait le fondement de la morale, et donc de la distinction entre le bien et le mal à l'âge adulte.
La méchanceté réactive est la plus répandue, résultat de déceptions, de chagrins et de rancunes, qui ébranle et modifie momentanément la personnalité jusqu'à parfois amener certaines personnes à être incapables de résister à l'emprise du mal.
Indiquez le comportement qui vous dérange.
« Je me suis senti humilié quand tu t'es moquée de moi à la réunion. » Une telle phrase simple et directe devrait faire l'affaire. Ne soyez pas vague, par exemple, ne dites pas simplement à la personne qu'elle est mauvaise sans préciser ce qu'elle a fait de mal.
brutal, calomnieux, cruel, dur, féroce, haineux, hargneux, malfaisant, malintentionné, malveillant, mauvais, odieux, pervers, sadique, sauvage, vindicatif, virulent. – Familier : rosse, teigneux, vache, vilain. – Littéraire : fielleux, vénéneux, venimeux.
Bon à savoir : le pervers narcissiqueUn pervers narcissique est une personne qui souffre d'un trouble de la personnalité. Celle-ci a une mauvaise image d'elle-même et tente de la changer en dévalorisant et en rabaissant les autres, le plus souvent des proches.
Une personne toxique a tendance à rechercher les situations dramatiques, et à exacerber les émotions qui les accompagnent. Elle est souvent dans la recherche conflictuelle. Un tel comportement dénote une instabilité et un refus d'établir des relations saines avec autrui.
Entourez-vous de personnes positives en qui vous pouvez avoir confiance. Concentrez-vous sur cela et vous verrez qu'il est de plus en plus simple d'éviter les influences toxiques dans votre vie et vous deviendrez une personne plus épanouie.