Mais historiquement, l'utilisation du pantalon a fait son apparition avec la domestication du cheval car il était plus simple d'être libre de ses jambes. Au Moyen-Age, les hommes portent des chausses avec des lacets. Puis les chausses vont être adaptées aux besoins.
Les hommes délaissent les robes pour une tenue deux-pièces. C'est une révolution vestimentaire profonde. À la Renaissance, malgré l'omniprésence du pourpoint, les robes ne sont pas effacées des gardes-robes masculines. Jusqu'à la fin du XIXe siècle, les bébés garçons et les vieillards portent le vêtement long.
Quand mode et confort s'associent
Si vous demandez à une tierce personne pourquoi elle préfère les jeans, elle vous répondra sûrement que c'est parce que ce tissu est très confortable, qu'on peut passer toute une journée à le porter sans rouspéter contre la sueur et la chaleur.
Un texte qui précisait que "toute femme désirant s'habiller en homme doit se présenter à la Préfecture de police pour obtenir l'autorisation". Le but à l'époque ? En empêchant les femmes de se parer à l'image des hommes, cette loi entendait limiter l'accès des femmes à certaines fonctions ou métiers en France.
La jupe et la robe ont de particulier qu'elles laissent voir une partie du corps souvent cachée, surtout chez les hommes. Les vêtements qui couvrent le haut du corps, explique l'historienne, sont toujours mieux acceptés dans leur version unisexe que ceux qui (dé)couvrent le bas.
Choisissez un style et des couleurs qui vont ensemble.
Le fait de porter des habits de couleur sombre au niveau de la taille et faire croire que l'on est mince et que l'on a une taille de guêpe. Optez pour des hauts en col V ou décolletés afin de lui donner un style plus féminin.
Dans les cultures « non-occidentales »
En dehors des cultures occidentales, les vêtements d'homme incluent des jupes et dérivés. Par exemple la dhoti ou le longhi en Inde, et le sarong en Asie du Sud et dans le sud-ouest asiatique, ainsi qu'au Sri Lanka.
La loi du 7 novembre 1800 évoquée dans la question est l'ordonnance du préfet de police Dubois n° 22 du 16 brumaire an IX (7 novembre 1800), intitulée « Ordonnance concernant le travestissement des femmes ».
Avec la loi du 13 juillet 1965, qui institue la communauté de biens réduite aux acquêts comme régime par défaut, les femmes ont acquis le droit d'ouvrir seules un compte bancaire, de gérer leurs biens propres comme elles l'entendent et de travailler sans l'accord préalable de leur mari.
M. Alain Houpert attire l'attention de Mme la ministre des droits des femmes, porte-parole du Gouvernement, sur les dispositions, toujours en vigueur, de la loi du 17 novembre 1800 interdisant aux femmes de porter le pantalon.
Au niveau des coupes, misez plutôt sur des coupes droites, des slim ou plutôt même semi-slim. Les hommes qui commencent à avoir un peu de bouteille en mode, les intermédiaires en somme, ont plus de choix, que cela soit en termes de matières que de coupes : velours, laine, coton, jean…
Le pantalon classique homme se porte le plus souvent de manière classique, c'est-à-dire avec une chemise formelle blanche ou bleue le plus souvent, unie, à rayures ou à carreaux, que l'on assortira d'une veste de costume d'un coloris assorti, ou bien d'un blazer bleu marine par exemple.
Le terme « jean » apparait dans les années 1800. Il fait référence au tissu de coton sergé utilisé dans la confection de pantalon. Au fil du temps, le nom du textile, donc le « jean » est devenu par extension celui du vêtement.
Le besoin de ne pas « choisir son camp » Au cours du procédé, ils/elles parlent de leur vécu et de ce qui les amène à devenir une autre. Pour certains, le travestissement leur permet d'exprimer leur part de féminité ou de transgresser les codes de genre.
En effet, à l'heure actuelle, aucun texte n'impose le pantalon ni n'interdit de porter une jupe ou une robe à quiconque. Contrairement à cette loi qui était en vigueur de 1800 à 2013 (oui oui vous avez bien lu) et qui interdisait aux femmes de porter… un pantalon sans autorisation de la Préfecture de police.
Aujourd'hui, la plupart des femmes ont adopté le pantalon comme une base fiable et sécurisante de leur tenue. Porter une robe est donc une manière de s'affirmer, de se mettre en valeur et d'être pleinement féminine.
Malgré Olympe de Gouges qui publie, en 1791, la Déclaration des droits de la femme et de la citoyenne : "La femme naît libre et demeure égale à l'homme en droits" (art. 1 ), la Révolution française ne modifie pas la condition des femmes et ne leur ouvre pas le chemin de la citoyenneté.
LES FEMMES ET LE PERMIS DE CONDUIRE
Le permis de conduire est instauré en France en 1893 par Louis Lépine pour les candidats de plus de 21 ans et de sexe masculin. C'est en 1898 qu'une femme obtient son permis de conduire, Anne De Rochechouart, la duchesse d'Uzès, est la première femme à obtenir le précieux certificat.
Dès 1742, les banquiers anglais inventent le chèque : ils ne peuvent plus émettre de billets de banque car la Banque d'Angleterre détient le monopole d'émission et ils créent donc ce nouveau moyen de paiement.
C'est Clara Zetkin, une enseignante, journaliste et femme politique allemande, qui est la réelle instigatrice de la Journée internationale des femmes.
Depuis 1946, l'égalité femmes-hommes est un principe constitutionnel. La loi garantit aux femmes dans tous les domaines des droits égaux à ceux des hommes. Malgré un important corpus législatif pour l'égalité professionnelle, la situation des femmes sur le marché du travail reste plus fragile que celle des hommes.
Non, depuis le 31 janvier 2013. Et non ce n'est pas une blague du 1er avril en avance ! En effet, depuis 1800, une ordonnance préfectorale autorise, sous certaines conditions, les Parisiennes à « s'habiller en hommes », autrement dit à porter un pantalon.
A) La tradition du kilt en Écosse
C'était un vêtement associé à l'armée : avant 1792, ceux qui voulaient porter le kilt dans les Lowlands ou en Grande-Bretagne devaient rejoindre l'armée britannique. Non seulement le kilt permet des mouvements plus fluides qu'un pantalon, mais il est aussi plus facile à fabriquer.
la rédaction de Futura
Si le kilt est aujourd'hui l'image d'Épinal des nations celtes, et avant tout de l'Écosse, son histoire prend sa source dans le froid des pays scandinaves. Le mot vient d'ailleurs du danois normàn, désignant la jupe courte que portaient notamment les Vikings.
De l'italien giubba ou jupa, issu de l'arabe جبة , jobba (« pelisse courte »). Le mot a supplanté cotillon.