Les inégalités économiques se cumulent.
Les inégalités en termes de revenu du travail entraînent ainsi des inégalités en termes de revenu du capital et du patrimoine. En effet, avoir un revenu du travail élevé permet par exemple d'acheter des actions en bourses. Celles-ci permettront d'obtenir un revenu supplémentaire.
Certains groupes sociaux cumulent les inégalités comme les ouvriers. Ainsi, les inégalités se cumulent pour former un cercle vicieux où une inégalité en entraîne une autre. En conclusion, les inégalités économiques et sociales sont multiformes et cumulatives.
Montrer que les inégalités économiques se cumulent :
En effet, les différences de revenus permettent un accès inégal aux biens et aux services donc à la consommation. Un ménage possédant un revenu faible consacrera une plus grande part de son revenu à la consommation, alors qu'un ménage plus aisé pourra épargner.
Une multitude de facteurs – stagnation des salaires et baisse de la part des revenus du travail, déclin progressif de l'État-providence dans les pays développés, protection sociale insuffisante dans les pays en développement, changements dans la fiscalité, déréglementation des marchés financiers, évolutions ...
Les inégalités sont des différences entre individus ou groupes sociaux qui se traduisent en terme d'avantages ou de désavantages et qui fondent une hiérarchie entre ces individus ou groupes.
Les inégalités sociales sont des différences entre individus ou groupes sociauxportant sur des avantages ou des désavantages dans l'accès à des ressources socialement valorisées. Ces ressources socialement valorisées dépendent bien sûr de chaque société, des valeurs de chaque société.
La famille est un vecteur de transmission des inégalités, notamment à travers la culture de l'écrit. L'analyse de Bernard Lahire, Professeur de sociologie à l'École Normale Supérieure de Lyon.
L'égalitarisme strict considère que l'égalité des droits n'est que formelle et que, appliquée à un système inégalitaire, elle permet de légitimer et reproduire les inégalités déjà en place (document 8).
Qui implique une accumulation, qui se cumule avec quelque chose d'autre.
Les inégalités économiques sont des différences entre individus ou groupes sociaux portant sur des avantages ou des désavantages économiques et qui fondent une hiérarchie entre ces individus ou entre ces groupes.
Les principales inégalités sont celles liées à l'origine sociale et au genre, les inégalités scolaires, les inégalités de revenus et de patrimoine, les inégalités territoriales, les inégalités en termes d'infrastructures et de santé, et enfin les inégalités liées à la consommation et aux loisirs.
L'évolution des inégalités de niveau de vie entre 2008 et 2018. Le niveau de vie mensuel des 10% les plus aisés a augmenté de 23 euros en 10 ans (3 261 euros en 2018) alors que le niveau de vie mensuel des plus modestes a diminué de 29 euros (934 euros en 2018).
La reproduction sociale signifie que les enfants occupent dans la société une position analogue ou identique à celle de leurs parents : « Tel père, tel fils » ! Elle s'oppose à la mobilité sociale.
La justice sociale est fondée sur l'égalité des droits pour tous les peuples et la possibilité pour tous les êtres humains sans discrimination de bénéficier du progrès économique et social partout dans le monde. Promouvoir la justice sociale ne consiste pas simplement à augmenter les revenus et à créer des emplois.
Les inégalités sociales ne menacent pas seulement la stabilité politique, mais aussi la croissance économique. Reto Föllmi estime que, lorsqu'elles sont trop fortes, elles ont une influence négative sur la motivation des individus et leur propension à prendre des risques.
Les inégalités réduisent l'efficacité de l'aide au développement. L'idée que les inégalités ont un impact négatif sur le développement des pays, parce que sources de tensions, de ralentissement de la croissance et de mal-être des populations, est aujourd'hui largement partagée.
Les inégalités se cumulent entre elles, puisque les inégalités de patrimoine accentuent les inégalités de revenu, qui à leur tour conduisent à des inégalités face au logement, face à la santé, face à l'école…
Chapitre. 1Dans Les Héritiers (1964) et La Reproduction (1970), Pierre Bourdieu et Jean-Claude Passeron expliquent que l'école reproduit les inégalités sociales à travers des méthodes et des contenus d'enseignement qui privilégient implicitement une forme de culture propre aux classes dominantes.
Dans Les formes de capital (1986), Pierre Bourdieu distingue quatre formes de capital : capital économique, capital culturel, capital symbolique et capital social.
Le monde est marqué par des inégalités de plusieurs natures : territoriales, socio-économiques et entre les hommes et les femmes. Les pays les plus riches sont privilégiés sur tous les plans par rapport aux pays en développement ou aux pays pauvres.
disponibles montrent que les facteurs liés à l'origine sociale (situation socioprofessionnelle et formation scolaire des parents) sont les variables explicatives principales des inégalités scolaires.
Ils diffèrent notamment par leurs caractéristiques individuelles (âge, situation familiale, milieu social), leur niveau d'éducation, leur lieu de résidence et leur lien avec leur pays d'origine, facteurs qui influent à la fois sur l'accès au marché du travail et sur la qualité de l'emploi obtenu.