Outre l'aspect économique de votre situation, les Japonaises sont très soucieuses de l'image qu'elles vont donner autour d'elle, de la vision des autres sur leur situation de couple, bref, du regard de la société sur VOUS donc sur ELLES.
Les français sont donc vus au Japon avec bienveillance. La renommée de notre pays donne une bonne image du français, même si celle-ci se nourrit de nombreux clichés. En fait, la culture française et la culture nippone sont si différentes, qu'il y a forcément un décalage, dans la manière de percevoir l'autre.
Malgré leurs dispositions enfantines, les filles japonaises sont très sexuelles. Leur culture est fondée sur de forts contrastes entre innocence et sexualité débridée. Leurs personnalités peuvent être caractérisées comme pétillantes, amicales et timides.
Les japonais ont des codes sociaux très stricts et sont fortement attachés à la politesse, à la modestie, à l'organisation, à l'hygiène et à la ponctualité. Voici une liste non exhaustive des comportements à adopter pour ne pas offenser vos hôtes, ou même les passants dans la rue.
Au Japon, il est illégal qu'un couple marié porte des noms de famille différents. Au vu des mœurs encore très patriarcales, l'écrasante majorité des Japonaises sont donc obligées d'abandonner le leur lors du mariage pour prendre celui de leur mari.
Les citoyens japonais portent officiellement un nom de famille et un prénom. nom de son mari ou le mari choisit de porter le nom de son épouse. Si le conjoint ne possède pas la nationalité japonaise, l'époux/épouse japonais/e porte le nom de famille d'avant le mariage.
Il est possible d'utiliser le nom de son mari ou de sa femme quel que soit son sexe. On parle de nom d'usage. L'utilisation d'un nom d'usage est facultative et n'est pas automatique. Par contre, dès lors que l'époux ou l'épouse indique vouloir utiliser ce nom d'usage, les administrations doivent l'utiliser.
Ce phénomène typiquement japonais se distingue de la prostitution « classique » par les motivations supposées des jeunes filles impliquées : plutôt qu'une source stable d'argent, c'est une source occasionnelle d'argent de poche ou d'appoint qui serait visée, souvent stigmatisée par le désir de se procurer des produits ...
En effet, lorsqu'ils évoquent la France, les Japonais l'associent souvent de facto à sa capitale. Première destination française pour les touristes étrangers, Paris est une ville cosmopolite qui connaît la plus grande concentration d'activités artistiques, gastronomiques et de Haute Couture du pays.
Au Japon, dans la culture locale, il est très mal perçu de se moucher le nez en public. A la place, il est tout à fait normal de renifler en public. Pour les japonais cela est une chose naturelle, alors que les étrangers sont agacés par ça. 2.
Pour eux, dormir séparément signifie la paix
Alors que de nombreux couples qui commencent à dormir séparément pensent que le divorce est à leur porte, les Japonais voient les choses différemment. Ils accordent beaucoup d'importance à leur sommeil et ne veulent pas être dérangés pendant la nuit.
Les facteurs :
En général, les femmes japonaises traitent les hommes avec beaucoup de considérations, par exemple lors des repas ou même au bureau, elles serviront le café ou le thé à leur collègues masculins. Ainsi, c'est leur nature à être prévenante et serviable qui séduit facilement les hommes étrangers.
Japon. La majorité des Japonaises ont le culte du « propre » et n'aiment pas trop le parfum. Il est très déplacé d'être parfumé au Japon. Et comme il y a un grand respect de l'autre, les Japonais font tout pour ne pas déranger leur entourage.
1. Corée du Sud. 375 119 touristes. Certains ont pu se rendre par erreur au Nord mais vu qu'on n'a plus trop de nouvelles, difficile d'établir des statistiques fiables.
La réussite professionnelle à tout prix, le dévouement sans limite à l'entreprise et la compétitivité sont les valeurs maîtresses dans le monde du travail au Japon. En 2016, 22% des japonais travaillent plus de 50 heures par semaine et ne prennent en moyenne que 9 jours de congés par an.
La langue française : symbole de culture et de romantisme à l'international. Quand on demande à un étranger ce que lui évoque la langue française, on obtient souvent la même réponse : « la langue française est la langue de l'amour » !
Les Français sont perçus comme arrogants, chauvins et râleurs. « Maudits Français » comme disent les Québécois. On dit à l'étranger que le Français est un éternel insatisfait et qu'il éprouve sans cesse le besoin de toujours comparer le pays des autres avec le sien.
Une geisha (芸者), aussi appelée geiko (芸子/芸妓) ou geigi (芸妓), est au Japon une artiste et une dame de compagnie, qui consacre sa vie à la pratique artistique raffinée des arts traditionnels japonais pour des prestations d'accompagnement et de divertissement, pour une clientèle très aisée.
Le terme oiran est alors apparu : les oiran sont également des courtisanes de haut niveau, mais sans connaissance particulière de la danse ou du chant, car sont alors apparues les geishas (« personne qui pratique les arts »), qui, sans être des courtisanes elles-mêmes, ont repris à leur compte danse et chant.
Il faut dire que, pour mieux leur plaire, des prostituées se prétendaient geishas. Pourtant, ce n'est pas le cas. Dès 1779, le gouvernement reconnaît officiellement le statut de geisha comme différent de celui de prostituée. Ces artistes femmes étaient considérées comme des modèles de goût et de savoir vivre.
Une femme mariée peut-elle garder son nom de famille ("nom de jeune fille") ? Oui, en se mariant, une femme conserve son nom de famille : Nom qui figure sur l'acte de naissance (appelé aussi nom de naissance ou nom patronymique). Elle n'a aucune démarche à faire.
Aucune obligation à changer de nom après le mariage
En France, il n'y a aucune obligation légale qui force les femmes à adopter le nom de leur mari. Le Code civil est très clair : chacun conserve son nom de famille et peut prendre un nom d'usage si elle ou il le souhaite (article 225-1).
La personne mariée peut utiliser soit le nom de son époux, soit un double nom (son propre nom et celui de son époux, dans l'ordre souhaité). Si le mariage a eu lieu après le 1er mars 2007, il doit absolument avoir été transcrit pour que le nom d'usage puisse être utilisé.