Elles contraignent les adolescentes à quitter l'école. Elles sont la conséquence des mariages précoces et forcés, des violences sexuelles et du non-accès à la contraception et à l'avortement.
Statistiquement parlant, on retrouve dans le profil des décrocheurs l'incontournable liste des prédicteurs de l'échec scolaire. Milieux sociaux et familiaux défavorisés, redoublements précoces (souvent dès le cours préparatoire), graves difficultés dès l'école primaire.
Sur les raisons invoquées de décrochage, cette étude met en exergue trois facteurs qui sont liés : le manque de motivation, les mauvais résultats scolaires et la mauvaise estime de soi. Pas moins de 92 % des élèves interrogés estiment avoir manqué de motivation et d'intérêt pour l'école.
Les risques pour la santé – L'épuisement physique et moral dû au travail forcé, les douleurs récurrentes dues à l'esclavage domestique, les grossesses précoces et infections sexuellement transmissibles suite aux violences sexuelles, et les mutilations génitales féminines les empêchent d'avoir une scolarité normale.
Chaque cellule sexuelle contient la moitié des chromosomes (23). Ainsi, dans le cas de l'ovule, le chromosome 23 est un X. Dans le spermatozoïde, le chromosome 23 peut être un X ou un Y. Donc, si un spermatozoïde Y féconde l'ovule, le résultat sera un garçon, mais s'il s'agit d'un chromosome X, ce sera une fille.
Coopérer avec les enseignants pour éviter que son enfant décroche. Pour lutter contre la déscolarisation et l'exclusion, il est important de favoriser une collaboration étroite école-famille. Un dialogue régulier entre les équipes éducatives et les parents d'élèves permet en effet d'éviter l'abandon scolaire précoce.
Les résultats obtenus démontrent à suffisance le rôle clé de la scolarisation des filles comme condition indispensable requise pour obtenir un changement à moyen et long terme du comportement des parents en vue de l'amélioration de la situation des enfants en matière de santé et d'éducation.
Il s'est agi notamment de réduire ou d'éliminer complètement les frais de scolarité dans les établissements publics en zones défavorisées, de sensibi- liser les écoles aux besoins particuliers des filles, notamment en apportant une aide aux étudiantes enceintes et d'augmenter le nombre d'enseignantes.
Pour éradiquer ce phénomène, les stratégies nécessaires seraient entre autre la mise en place d'une structure de récupération et d'accompagnement des jeunes filles déscolarisées ainsi que l'encouragement aux parents d'envoyer aussi leurs filles à l'école et en fin, valoriser les filles et les femmes qui ont étudié en ...
La première cause de démotivation invoquée par les élèves eux-mêmes – qu'ils soient ou non décrocheurs, d'ailleurs –, c'est l'ennui. « Beaucoup d'élèves s'ennuient à l'école, c'est une réalité et elle n'a rien d'étonnant !
La démotivation scolaire peut apparaître à n'importe quel âge et à n'importe quel moment du parcours académique de l'enfant. Elle se caractérise par un désengagement visible du jeune dans les activités scolaires et pour ce qui touche à l'apprentissage de manière générale.
On appelle un "décrocheur" un élève qui quitte ou risque de quitter prématurément le système scolaire sans avoir obtenu de diplôme (CAP, bac pro ou bac). Des établissements ont été créés pour les accueillir, les remotiver et les accompagner vers une reprise d'études et un projet professionnel durable.
L' échec scolaire peut également induire des troubles du comportement. L'enfant peut développer des comportements agressifs, voire délinquants. Souvent, celui-ci veut surtout attirer l'attention. L'instabilité engendrée peut constituer un terrain propice aux mensonges, vols et fugues à l'adolescence.
Les causes de la violence en milieu scolaire liées à l'élève
On pointe du doigt, le sens moral des élèves, le manque de repères, de normes et de valeurs, l'intolérance, les préjugés, le racisme, le mépris à l'égard de cer- tains groupes ou de certaines classes sociales (Lindstrom, Campart et Mancel, 1998).
Le décrochage scolaire : les conséquences
Au niveau individuel, déjà, les élèves en situation de décrochage scolaire sont plus à même de développer des troubles du comportement et notamment des troubles au niveau psychologique et mental. L'isolement social et la dépression se retrouvent ainsi plus souvent ici.
Mettre en place un partenariat mondial pour le développement : Les exemples typiques de partenariat mondial pour le développement sont l'Initiative des Nations Unies en faveur de l'éducation des filles (UNGEI), l'Initiative EFA-Fast Track (EFA-FTI) et le Programme international d'harmonisation.
L'école apprend aux filles que leur voix compte et qu'elle mérite d'être entendue ! Aussi, chaque année passée par une fille à l'école augmente son futur revenu de 10 à 20 %. Ainsi grâce à la scolarisation systématique des filles, un pays peut augmenter son produit intérieur brut (PIB) en moyenne de 3 %.
La femme est depuis toujours très présente dans le domaine de l'éducation, comme élève ou comme enseignante, mais une analyse de sa participation dans ce secteur montre qu'elle y occupe une position inférieure qui à la fois reflète et contribue à perpétuer l'inégalité de la femme dans la société.
La non-scolarisation (en anglais : unschooling) est une méthode et une philosophie d'éducation qui emploie et soutient les activités librement motivées des enfants comme moyen premier d'apprentissage de la vie et des compétences.
Réorientation vers une autre classe ou un autre établissement. Mise en place d'un projet personnalisé de réussite éducative (PPRE) Intégration dans un dispositif relais de scolarisation temporaire pour resocialiser et réinsérer le jeune dans un parcours de formation.
Les parents estiment qu'un garçon est plus facile à éduquer. Les garçons sont perçus comme plus forts et plus courageux. De ce fait, ils sont moins susceptibles d'être agressés, violés ou braqués. Les couples interrogés sont plus sereins face à l'accueil d'un garçon qu'à celui d'une fille.
Un tempérament plus posé Pour commencer, elles sont généralement plus calmes et plus sensibles que les petits garçons. Ces derniers sont dans l'action, tandis que les filles anticipent, mesurent et réfléchissent. Il est donc plus simple d'avoir des conversations avec elles.