Inhalé à travers un ballon de baudruche, il provoque une euphorie, mais peut aussi générer des troubles de la santé. C'est un produit de plus en plus prisé dans les soirées étudiantes: le protoxyde d'azote, aussi appelé gaz hilarant, séduit les fêtards par la facilité avec laquelle on peut s'en procurer.
Détourné de son usage initial pour ses propriétés euphorisantes, il est transféré dans des ballons de baudruche afin d'être inhalé. Lorsqu'il est expulsé de son conteneur, le protoxyde d'azote devient un gaz très froid, incolore à l'odeur douceâtre.
Dans les soirées étudiantes, il est souvent transféré dans des ballons de baudruche afin d'être aspiré par la bouche. L'effet recherché : une euphorie comparable à l'ivresse, des rires incontrôlables, des distorsions visuelles et auditives, des modifications de la voix...
Le protoxyde d'azote, aussi appelé « gaz hilarant » ou « proto », est initialement un gaz utilisé dans le milieu médical pour ses propriétés anesthésiantes et analgésiques, et couplé à de l'oxygène. Il est également contenu dans de petites cartouches à chantilly ou dans des bonbonnes.
Une des substances les plus consommées par les jeunes
Dans un cadre médical, le protoxyde d'azote est généralement utilisé mélangé à de l'oxygène pour ses propriétés anesthésiques et analgésiques. Il est également utilisé pur par certaines industries, ou en cuisine pour la confection de siphons.
L'arrêt conventionnel face au ballon- Allez au-devant du ballon avec votre pied d'appui. - Serrez bien les 2 mains. - Collez les 2 pouces afin d'éviter toute faute de mains. L'arrêt de la balle dans la niche- Allez au-devant du ballon.
Les effets sur le cerveau
Or, le protoxyde d'azote empêche l'action du glutamate sur ses récepteurs. Résultat : “il y a une désinhibition de certains circuits qui interviennent dans la régulation des perceptions sensorielles, et leur excitation excessive provoque des troubles de sensations, voire des hallucinations“.
Les réactions indésirables ne sont pas rares. Et certaines sont même plus graves et peuvent entrainer la mort. L'inhalation du protoxyde d'azote n'est pas du tout saine. Au contraire, bien que son effet soit agréable, sa consommation est déconseillée à cause de ses conséquences sur la santé.
Des risques immédiats : asphyxie par manque d'oxygène, perte de connaissance, brûlure par le froid du gaz expulsé, désorientation, vertiges, chutes notamment.
Ces ballons de baudruche qui circulent dans les soirées étudiantes sont gonflés avec du protoxyde d'azote. Ce gaz est utilisé en cuisine dans les siphons à chantilly, à l'hôpital comme anesthésiant, dans des aérosols d'air sec ou des bonbonnes pour l'industrie.
C'est une nouvelle drogue qui séduit de plus en plus d'adolescents. Le protoxyde d'azote, surnommé « gaz hilarant », voit sa consommation grimper en flèche. Dans certaines villes, les cartouches métalliques contenant le gaz se retrouvent par dizaines, voire par centaines, sur les parkings ou dans les parcs.
Une drogue très accessible.
La consommation du protoxyde d'azote, aussi appelé gaz hilarant, est venue d'Outre-Manche l'année dernière. Les jeunes gens vident le contenu d'une cartouche de siphon à chantilly dans un ballon de baudruche avant d'aspirer le gaz par la bouche.
La vitamine B12 joue un rôle essentiel dans le système nerveux. Le protoxyde d'azote inactive la B12 par un phénomène d'oxydation. Les symptômes sont une sensation d'engourdissement et des fourmillement au niveau des mains et des pieds.
Si vous éprouvez des difficultés à arrêter spontanément votre consommation de protoxyde d'azote vous pouvez en parler et être aidé. Appelez Drogues info service au 0 800 23 13 13 (appel anonyme et gratuit, 7j/7 de 8h à 2h).
Au signal, le premier à jouer se penche en avant et frappe le ballon avec ses mains pour le faire rouler sur le sol. Le but du jeu est de réussir à faire passer le ballon entre les jambes de l'autre joueur. Quand un joueur y arrive, il marque un point.
Ils sont remplis d'un gaz hilarant (qui, une fois inhalé, provoque notamment des rires et un sentiment euphorique) que l'on appelle le protoxyde d'azote et son geste n'a rien d'anodin : il peut provoquer de nombreux effets secondaires dangereux, voire la mort dans certains cas.
Stocké sous forme liquide dans des bonbonnes ou des cartouches métalliques de forme ovale, le protoxyde d'azote est d'usage très courant dans l'industrie, ou en cuisine, mentionne Drogues Info Services.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de gaz hilarant ou “proto”, est un gaz d'usage courant stocké notamment dans des cartouches pour siphon à chantilly ou des aérosols. Utilisé de façon détournée et abusive, il peut avoir des conséquences neurologiques très lourdes sur les consommateurs.
Le protoxyde d'azote, aussi connu sous le nom de « proto » et « gaz hilarant » par le grand public, est un gaz utilisé couramment dans les produits culinaires pour sa fonction de propulseur (dans les siphons de chantilly) et pour ses qualités anesthésiantes dans le milieu hospitalier.
Assurez-vous de bien fermer l'embout du ballon pour que le gaz ne s'échappe pas. Inspirez ensuite de l'air, placez l'embout du ballon dans votre bouche, libérez-en le contenu lentement dans votre bouche, puis inhalez.
Pour obtenir cet effet de voix de canard, il suf- fit d'inhaler de l'hélium puis de parler. L'hélium est un gaz inerte, monoatomique, de densité très faible (moins dense que l'air, d'où sa légè- reté), non inflammable et très abondant dans l'univers.
Le protoxyde d'azote est un gaz anesthésique utilisé depuis plus de 160 ans pour induire une anesthésie et maintenir les patients sous anesthésie pendant toute la durée d'une opération.
Son usage détourné et sa consommation se veulent « festifs » pour toute une génération de jeunes adultes ou parfois adolescents, mais les risques qu'entraîne le protoxyde d'azote sont palpables et peuvent provoquer une atteinte neurologique, voire des complications hématologiques ou psychiatriques.
DOMAINE D'APPLICATION. Le MEOPA est administré sur prescription médicale par des soignants (paramédicaux et médicaux) spécifiquement formés à l'administration du MEOPA. L'administration de MEOPA n'entraîne pas d'anesthésie générale.
Le protoxyde d'azote, ou monoxyde de diazote, oxyde nitreux, hémioxyde d'azote ou gaz hilarant, est un composé chimique de formule N2O.