Cette interdiction a aussi été étendue à la volaille, de crainte qu'un païen ou un Juif ignorant, voyant un Juif instruit consommer de la volaille à la crème, ne vienne à penser qu'il consomme un mélange lacté/carné ; il est même interdit de tirer profit de ces mélanges, en les cuisinant pour un client non juif.
L'interdit du mélange lacté/carné
Cet interdit se rapproche également de celui d'abattre le même jour une mère et son petit, rejoignant ainsi l'interdiction de cruauté envers les animaux. Enfin, une interprétation plus récente est d'ordre symbolique : le refus de mélanger la vie (le lait) et la mort (la viande).
Au-delà du repas de funérailles, l'œuf occupe une place importante dans le judaïsme. La forme ronde évoque le cycle de vie, mais également de façon plus générale, les cycles de liberté et de servitude, de joie et de souffrance, qui sont intimement liés dans le judaïsme.
Un interdit central de la cacherout
Elles établissent notamment les règles pour préparer la viande, de façon à éviter la consommation de sang, et imposent la séparation entre viande et produits laitiers.
Ainsi, les crustacés et fruits de mer ne sont pas autorisées par la Torah. L'esturgeon, la raie, l'anguille, le congre, etc.
Concernant les poissons, il n'y a pas de cachérisation, contrairement à la viande. Un poisson est ou n'est pas cacher : "Parmi tout ce qui est dans les eaux, tout ce qui n'a ni nageoires ni écailles, vous ne mangerez pas, ce sera impur pour vous." (Deutéronome, XIV, 9-10).
Aliments non-permis :
Porc, reptiles, amphibiens et insectes. Fruits de mer (homard, crabe, crevettes, pétoncles, huitres, moules) et mammifères marin.
La mention «Mévushal»
Pour permettre aux laïcs et aux juifs non pratiquants de servir le vin – seuls les religieux y sont autorisés – on procède à une pasteurisation du vin. Le vin est ainsi chauffé par flash pasteurisation (montée en température des cuves jusqu'à 90°) puis refroidi avant d'être mis en bouteille.
L'interdiction du fromage est due à la double précaution de faire ajouter par un Juif au lait casher de la présure d'origine animale (extraite de l'estomac des ruminants) dont il est établi qu'elle provient d'animaux casher ; de nos jours, la présure casher est obtenue par reconstitution de conditions dans lesquelles ...
Malgré tout, le traité Ména'hot du Talmud explique que la mezouzah assure la protection divine sur la maison juive : tandis qu'un roi humain réside dans son palais, gardé à l'extérieur par ses serviteurs, le Roi de l'univers — au contraire — protège lui-même le lieu de résidence de ses fidèles.
L'autruche s'enfuit.
Il est d'abord important de préciser qu'au stade adulte, le volatile n'a pas véritablement de raison de se cacher car il connaît peu de prédateurs. S'il est pris en chasse par de grands carnivores (hyène, léopard, lion…), son meilleur atout reste la fuite.
Le deuil. Après l'enterrement, une tradition veut que les proches du défunt suivent un jeûne : à La Réunion, cela signifie ne pas manger de viande pendant quelque temps. Cette période varie d'une personne à une autre : elle est plus longue pour une personne très proche du défunt comme son conjoint ou ses enfants.
Le principe de base, c'est que ce qui provient d'un animal interdit est interdit (par exemple ses œufs ou son lait), et que ce qui provient d'un animal autorisé peut être consommé. Pour les œufs, il faut vérifier qu'ils ne contiennent aucune trace de sang. Un œuf fécondé sera jeté.
Il est interdit de consommer ensemble viande et produits lactés.
Dans la religion juive, les aliments carnés et lactés ne sont jamais associés. On ne peut par exemple consommer, après un repas à base de viande, un dessert à base de beurre. L'utilisation d'huile ou de margarine est donc très courante dans la cuisine juive, même pour la pâtisserie.
Judaïsme : le pur et l'impur
Par exemple, les mammifères ruminants purs doivent avoir le sabot fendu [2][2]Le texte énumère dix animaux purs : le bœuf, le mouton, la… ; dans le cas contraire, ils sont réputés impurs.
Crustacés. La consommation des crustacés est prohibée par le judaïsme ; de même, plusieurs peuples refusent (ou refusaient) de manger les crabes, en Europe, en Afrique, etc.
Pendant le Shabbat il est interdit de produire ou de transformer de la matière ou de l'énergie. Il est interdit de cuire les aliments. Pour les juifs les plus religieux il est aussi interdit de conduire un véhicule, de faire la cuisine (en général) et même d'allumer l'électricité.
Traditionnellement, on mange du poulet, symbole de l'expiation, sous toutes ses formes : potage, couscous, poule-au-pot, tajine, etc. Il est possible de cuisiner tout ce qu'on veut ce jour-là, tant que c'est à base de poulet ! Cette célébration est une grande fête de partage en famille et entre amis.
L'aliment qui satisfait à ce code alimentaire est considéré comme pur et est traditionnellement appelé « casher ». Le respect des règles de la cacherout constitue un fondement important de l'identité juive. Toutes les bières Duvel Moortgat sont contrôlées chaque année par un rabbin mandaté par le rabbinat de Londres.
Une bouteille de champagne cacher est identifiable grâce au logo du Beth Din ou le logo KBDP que l'on va retrouver sur le bouchon, l'étiquette, la capsule et la collerette.
Les aliments conformes à ce code alimentaire sont dits « cachers », c'est à dire « aptes » ou « convenables » à la consommation. Pour qu'une viande soit cacher, il faut déjà qu'elle provienne d'un animal « pur ». Si c'est le cas, il faut ensuite qu'elle soit préparée puis consommée selon des règles bien précises.
Les animaux pas cacher sont : les insectes, volants ou non, les reptiles ainsi que les mollusques, crustacés et fruits de mer (calamars, huîtres, bulots, langoustes, homards, crabes, escargots.)
La viande halal correspond à l'abattage de l'animal par le musulman, tandis que la viande kasher correspond à l'abattage de l'animal par le juif. Certaines personnes pensent que kasher signifie tué par un couteau, mais cela signifie en fait tué par une prière.
Les rapaces ne sont pas casher mais d'autres types oiseaux peuvent être mangés : les poulets, les canards, les oies et les dindes le sont. 4. Les animaux doivent être abattus par un rabbin qualifié et leur sang doit avoir été drainé.