Mentir sur son CV n'est, en règle générale, jamais une bonne idée. En effet, si vous êtes démasqué par l'employeur cela pourrait mettre à mal votre réputation et la confiance que l'on vous porte. Voire avoir des conséquences beaucoup plus graves si vous êtes déjà recruté ou que vous exercez une profession réglementée !
Pour convaincre le recruteur que vous êtes le "bon candidat", vous devrez lui faire passer un message et un seul : "J'ai un savoir-faire et une expérience professionnelle qui correspond à votre besoin." "J'ai aussi la volonté de travailler avec vous." Lors de l'entretien, le recruteur a votre C.V. sous les yeux.
" Vous pouvez répondre que vous ne savez pas où vous serez dans cinq ans, mais que vous ambitionnez déjà, dans l'espace d'un an, de décrocher tel contrat ou de développer tel projet. " Autre alternative : parler de compétences plutôt que d'une fonction en particulier.
Dans ce domaine, la règle d'or est la sobriété. En cas d'accident ou de problème personnel vous ayant empêché d'exercer votre activité pendant une longue période (c'est-à-dire plusieurs mois), indiquez-le dans votre CV par un laconique « période sans activité ».
Faire appel à une société de vérification.
Des entreprises se sont spécialisées dans la vérification de CV. Elles ont les outils et les ressources humaines pour mettre au jour les CV mensongers. Il faudra compter en moyenne 70 euros par CV (avec un prix dégressif si vous en envoyez plusieurs en analyse).
Vous pourriez embaucher par erreur une personne incapable d'effectuer le travail voulu. Ou encore, la malhonnêteté de cette personne pourrait se répercuter sur ses habitudes de travail et de ce fait, entraîner des perturbations dans votre équipe et miner le climat de travail.
Raison #8 : vous ne vous êtes pas préparé pour l'entretien
Et puis il y a également un paramètre que les candidats oublient souvent : à ce stade de la recherche d'emploi, le recruteur n'attend qu'une seule chose, trouver le bon candidat, car le recrutement, c'est beaucoup de temps et d'énergie.
« On peut refuser un candidat parce qu'on estime qu'il est sous-dimensionné par rapport au poste, parce que son niveau d'anglais n'est pas satisfaisant ou parce qu'il n'a pas su convaincre l'opérationnel. », précise-t-elle. Il faut aussi accepter que certains employeurs ne donnent pas de réponse précise.
En puisant dans votre réseau social, vous devriez dénicher de nombreux candidats potentiels. Sur LinkedIn, utilisez un message InMail pour contacter quelqu'un. Avant de l'envoyer, demandez-vous si vous l'ouvririez, le liriez et y répondriez. Si ce n'est pas le cas : Rendez-le plus personnel.
Les recruteurs peuvent se rendre sur l'espace de vérification, saisir le nom du diplômé et la clé de contrôle transmise par ce dernier afin d'accéder aux informations du diplôme (série, option, mention, année d'obtention).
Diplome.gouv.fr délivre des attestations numériques certifiées de diplômes et permet également à des tiers de vérifier l'authenticité d'un diplôme grâce à une clé de contrôle fournie par le diplômé. Les bacheliers de l'édition 2019 peuvent y retrouver leur attestation numérique certifiée de diplôme.
L'employeur sous-entend que vous pourriez ne pas être suffisamment motivé pour trouver un emploi, que vous vous laissez distraire par d'autres objectifs, que vos compétences pourraient ne pas être à jour, qu'il y a eu un problème avec votre ancien employeur ou une foule d'autres explications à votre non-activité.
La meilleure manière de justifier un « trou dans le CV » est de montrer au recruteur que vous êtes resté proactif et que vous avez continué de vous former (par exemple avec des MOOCs ou des formations en ligne). Présentez toujours votre période d'inactivité de manière chronologique et sans en cacher les raisons.
Miser sur la transparence
Selon elle, il vaut mieux les indiquer brièvement dans le dossier de candidature et apporter des explications supplémentaires au moment de l'entretien. «Soyez honnête et n'essayez surtout pas de cacher quoi que ce soit, tôt ou tard les recruteurs s'en rendent compte.
Il cherche à savoir s'il doit te faire une proposition assez rapidement ou s'il a encore un peu de temps pour se décider avant de te recruter. Néanmoins, en demandant « avez-vous d'autres pistes », le recruteur peut chercher à connaître d'autres éléments sur ta personnalité.