- Parce que les blancs coupaient les oreilles des esclaves qui s'échappaient des plantations. - Parce que les chasseurs d'esclaves marrons (esclaves enfuis) étaient payés au nombre d'esclaves tués et qui rapportaient leurs oreilles comme preuve pour se faire payer.
Les zoreys désignent les métropolitains qui habitent à La Réunion. L'origine du terme n'a jamais été clairement établie.
Dans les départements, régions et collectivités de la France outre-mer (DROM-COM), le terme Z'oreille (qu'on peut aussi orthographier Zoreilles, Z'oreil ou encore Zorey) désigne un Français métropolitain.
À La Réunion et dans d'autres anciennes colonies françaises comme La Nouvelle-Calédonie, les Blancs sont parfois surnommés zoreilsou zoreilles. Il y a plusieurs versions quant à l'origine de ce terme péjoratif pour parler des métropolitains.
Le terme se serait propagé dans l'ensemble des DOM-TOM dans un second temps. Il y a plusieurs hypothèses : Les Métropolitains tendent l'oreille pour comprendre la langue créole. Quand les Métropolitains débarquent à la Réunion, leurs oreilles deviennent rouges du fait de la chaleur tropicale.
Yab est un mot : un terme propre à l'île de La Réunion pour désigner les réunionnais(e) bien Blancs, une divinité tibétaine du couple Yab-Yum, Mar Yab-Alaha I (415-420), catholicos-patriarches de l'Orient, primat de l'Église apostolique assyrienne de l'Orient.
- Parce que les blancs coupaient les oreilles des esclaves qui s'échappaient des plantations. - Parce que les chasseurs d'esclaves marrons (esclaves enfuis) étaient payés au nombre d'esclaves tués et qui rapportaient leurs oreilles comme preuve pour se faire payer.
Il s'agit plus exactement d'une répartition en Blancs/non-Blancs : le nombre de Blancs estimé est rapporté à la population totale et ce n'est qu'une fois cette proportion évaluée (29,8 %) qu'est déduite la proportion des Noirs – soit les « gens de couleur de la plus claire à la plus sombre » (70,2 %) [Defos du Rau, ...
Une grande partie des Réunionnais possède aujourd'hui des origines africaines. Dans cet article, on propose un historique de cette présence. La bien nommée île de la Réunion est située au carrefour de l'Afrique et de l'Asie.
Elle fait partie des Départements d'outre-mer ou DOM au même titre que ses “cousines” américaines de Guyane, Guadeloupe et Martinique. Les Réunionnais sont de nationalité française, nous avons donc un passeport français. Cela peut paraître étrange de le dire, mais tant de personnes l'ignorent.
Créole guadeloupéen : « Mèsi » Créole guyanais : « Grémési » Créole haitien : « Mèsi » Créole martiniquais : « Mèsi »
Ce dernier dériverait du portugais criar qui signifie "élever". La première nation créole du monde fut les îles du Cap-Vert, découvertes par les Portugais en 1456, et très vite peuplées d'Européens mais également d'Africains déportés mis en esclavage.
Bonzour ! : bonjour !
Je t'aime en créole :
Créole Réunionnais (La Réunion) : mi aim a ou. Créole Guyanais (France - Guyane) : mo konten to.
Dans ce cas, dites-lui « Mèrsi », qui est la traduction de « Merci » en créole réunionnais. C'est LA formule de politesse la plus répandue à la Réunion.
Le terme cafre ou caffre désigne les Noirs de la Cafrerie (partie de l'Afrique australe), appelés en Afrique du Sud : Kaffer (Kaffir, Keffir ou Kaf). Kaffer est en afrikaans assimilable au mot nigger aux États-Unis ou nègre dans la France coloniale.
Parmi les Réunionnais, 698 800 sont natifs de l'île, soit 84 % de la population totale (figure 1). L'isolement géographique de l'île contribue certainement à cette part élevée de natifs parmi les Réunionnais. La part des natifs est également importante en Martinique (85 %) ou en Guadeloupe (81 %).
Au fil des immigrations, l'île de La Réunion s'est créée une population arc-en-ciel. C'est sur une terre vierge qu'a commencé, au milieu du XVIIe siècle, le peuplement de l'île de La Réunion. Les premiers colons, des Français, s'entourèrent vite d'esclaves venus d'Afrique, les « Cafres » ou de Madagascar.
A l'origine, "créole" désignait les Portugais et les Espagnols nés dans les Amériques, puis les Européens nés dans les colonies au climat tropical. L'adjectif a ensuite qualifié les esclaves d'origine africaine nés dans ces îles, puis leurs descendants mulâtres et métissés, ainsi que les gens libres de couleur.
1504 : le premier navigateur européen à avoir croisé au large de La Réunion est Diogo Fernandes Pereira. Il lui donne le nom de Santa Apollonia. 1513 : Pedro de Mascarenhas passant au large de l'archipel formé par La Réunion, Maurice et Rodrigues lui donne son nom : Mascarenhas qui deviendra en français Mascareignes.
Des études génétiques récentes sur les Malgaches ont montré que leurs ancêtres étaient africains et asiatiques. Trois ethnies malgaches, les Antemoros, les Vézos et les Mikeas, ont environ 70 % d'ascendance africaine et 30 % d'ascendance asiatique.
La découverte
Bien que l'on date sa découverte aux alentours de 1500, des navigateurs arabes semblent l'avoir repérée avant. L'amiral portugais Pedro Mascarenhas y aborde vers 1512 mais l'île reste inhabitée pendant de longues années.
Nom commun
(La Réunion) Enfant né d'une union entre un(e) zoreille et un(e) créole. (La Réunion) Métropolitain vivant depuis longtemps dans les îles et ayant adopté le mode de vie local.
Aux Antilles françaises, un béké est un blanc créole descendant des premiers colons. Ce terme concerne principalement les descendants originaires de la Martinique mais aussi ceux de Guadeloupe. En Martinique, les békés constituent un peu moins d'un pour cent de la population, soit environ 3 000 personnes.