Les sociétés humaines sont toutes exposées à des risques dans des proportions plus ou moins importantes. Certaines sont particulièrement vulnérables, car elles disposent de moyens limités pour affronter les catastrophes qui aggravent leurs difficultés de développement.
Cela s'explique par la concentration croissante des hommes dans les espaces urbains, et particulièrement sur les littoraux ou les grandes vallées, qui sont des espaces fortement exposés aux risques naturels.
Quels types de risques pèsent sur les sociétés ? , humains ou matériels. Selon la nature de l'aléa, on distingue les risques technologiques (pollutions, explosions chimiques…) et les risques dits « naturels » (tempêtes, inondations, cyclones, séismes…).
Le changement climatique augmente la fréquence des événements climatiques extrêmes (par exemple les sécheresses, les cyclones, etc.) et provoque de nouveaux risques, liés par exemple à la hausse du niveau de la mer ou à l'acidification des océans. ► Des inégalités aggravées par le changement global.
Pour protéger les populations des risques, plusieurs mesures sont mises en œuvre : On édifie des digues pour faire face aux inondations. On reboise pour lutter contre la désertification. Face aux séismes ou aux cyclones, on adopte des normes parasismiques ou paracycloniques pour la construction des bâtiments.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
La gestion des risques dans l'entreprise est un volet important de votre stratégie métier et de vos relations avec les parties prenantes. Elle vous aide en effet à éviter les situations qui peuvent entraver la réalisation des objectifs de votre entreprise.
Pour réduire notre vulnérabilité, il est important de développer une culture du risque : prendre conscience des risques, les connaître et les garder en mémoire ; apprendre à les prévenir et éviter de s'exposer ; savoir réagir en cas d'alerte et se mettre en sécurité.
On observe depuis le début du XXe siècle une augmentation des catastrophes naturelles liée au changement climatique, mais aussi à l'accroissement des populations et de l'urbanisation dans les zones exposées aux risques.
On peut parler de la vulnérabilité d'un individu ou d'un groupe (populations à risque) soumis à des contraintes péjoratives : isolement, exclusion, malnutrition, précarités, environnement professionnel, etc.
- Par la préservation des milieux naturels : aires protégées, normes environnementales, etc. -Par la mobilisation d'acteurs divers, qui s'engagent pour une meilleure gestion des ressources : ONU, Etats, populations locales, etc.
Zones les plus exposées : pays se situant entre le tropique du Cancer (nord) et le tropique du Capricorne (sud) : riverains de l'Amérique centrale et de l'Amérique du Nord ; riverains de l'Afrique de l'Est, de l'Inde, du sud-est asiatique (Philippines, Indonésie, Vietnam) et du Japon.
Le Japon est implanté sur zone à hauts risques sismiques et Tokyo est particulièrement touché par ce phénomène naturel. Or, les bâtiments Japonais sont conçus en fonction des séismes qui peuvent agiter la population et sont très résistants.
Les trois sphères ainsi définies vont être celles de l'amour, du droit, et de la solidarité.
En géographie, un risque est la possibilité qu'un aléa se produise et touche une population vulnérable à cet aléa. L'équivalent anglais est risk. Il ne faut donc pas confondre aléa, risque et vulnérabilité. L'aléa est un phénomène (naturel ou technologique) plus ou moins probable sur un espace donné.
Lorsque l'événement relève du domaine du probable ou du potentiel, cela renvoie à la notion de risque. En revanche, lorsqu'il est effectif, l'événement peut être qualifié de perturbation, d'accident, de crise, de désastre ou de catastrophe.
Pour réduire les risques il est possible d'intervenir à la source afin de diminuer la probabilité de survenance et les effets des accidents ou bien de diminuer l'exposition et la vulnérabilité des enjeux situés à proximité (populations, environnement, infrastructures).
Remplacer ce qui est dangereux par ce qui l'est moins ; Planifier la prévention en y intégrant technique, organisation et conditions de travail ; Prendre des mesures de protection collective ; Donner les instructions appropriées aux travailleurs.
Un des moyens essentiels de prévention est l'adoption par les citoyens de comportements adaptés face aux risques naturels. La loi du 22 juillet 1987 impose d'informer préventivement les populations des risques auxquels ils sont exposés et des mesures de sauvegarde qui les concernent.
3. Indiquer comment une entreprise peut-elle diminuer son risque d'exploitation ? En modifiant la structure de ses charges, c'est à dire en diminuant les charges fixes pour abaisser le seuil de rentabilité.
Tout événement ou action pouvant empêcher d'atteindre les objectifs fixés ou d'appliquer la stratégie d'entreprise est considéré comme un risque.