Cela s'explique par la concentration croissante des hommes dans les espaces urbains, et particulièrement sur les littoraux ou les grandes vallées, qui sont des espaces fortement exposés aux risques naturels.
On peut donc conclure que les sociétés sont inégalement exposées aux risques majeurs et inégalement vulnérables face à eux en raison de leur capacité économique. Ainsi les sociétés sont plus ou moins vulnérables et donc plus ou moins sujettes aux catastrophes anthropiques ou naturelles.
Le changement climatique augmente la fréquence des événements climatiques extrêmes (par exemple les sécheresses, les cyclones, etc.) et provoque de nouveaux risques, liés par exemple à la hausse du niveau de la mer ou à l'acidification des océans. ► Des inégalités aggravées par le changement global.
On peut parler de la vulnérabilité d'un individu ou d'un groupe (populations à risque) soumis à des contraintes péjoratives : isolement, exclusion, malnutrition, précarités, environnement professionnel, etc.
les risques naturels : avalanche, feu de forêt, inondation, mouvement de terrain, cyclone, tempête, séisme et éruption volcanique. les risques technologiques : d'origine anthropique, ils regroupent les risques industriels, nucléaires, biologiques, rupture de barrage…
Comment les sociétés font-elles face aux risques majeurs et globaux ? . Celle-ci est en relation étroite avec la densité de population des zones à risque et est donc forte sur les littoraux et dans les villes. Mais elle dépend surtout du niveau de développement.
Le Japon est implanté sur zone à hauts risques sismiques et Tokyo est particulièrement touché par ce phénomène naturel. Or, les bâtiments Japonais sont conçus en fonction des séismes qui peuvent agiter la population et sont très résistants.
Dans les pays développés, les États consacrent beaucoup de moyens à la prévention et à la prévision des événements : - pour la prévention, des normes anti-sismiques sont élaborées, de fortes digues sont construites contre les inondations, des plans d'évacuation de la population existent, etc.
À l'échelle mondiale, la géographie des risques naturels montre de fortes disparités Nord-Sud, surtout parce que les sociétés des pays en développement sont globalement plus vulnérables et parce que les moyens de prévention et la capacité de réponse en cas de catastrophe sont moins importants comparés aux pays à revenu ...
La prise en charge du risque repose sur des principes et des institutions. Face au risque, un premier outil peut être la prévention . L'objectif est alors d'expliquer aux individus les risques auxquels ils font face et les conséquences de ces risques, afin que les conduites à risque soient évitées.
Processus de gestion de risques
La gestion des risques vous aide à identifier et à aborder les risques auxquels fait face votre entreprise et, ce faisant, augmente la probabilité d'atteindre avec succès les objectifs de votre entreprise.
Les acteurs sont donc multiples : ministères, collectivités territoriales, organismes publics mais aussi acteurs économiques et citoyens. La responsabilité aussi bien individuelle que collective est essentielle dans la prévention et la gestion des risques majeurs.
La vulnérabilité décrit le caractère de quelque chose de fragile, de vulnérable ou encore de sensible. Il peut s'agir plus généralement d'une faiblesse. Exemple : La vulnérabilité de son bras est due à la fracture qu'il a subie.
- Par la préservation des milieux naturels : aires protégées, normes environnementales, etc. -Par la mobilisation d'acteurs divers, qui s'engagent pour une meilleure gestion des ressources : ONU, Etats, populations locales, etc.
L'enjeu est de mettre en évidence un lien entre les décisions prises en interne dans l'entreprise et l'évolution des risques sur le plan de la prévention, de l'entretien des équipements et de la formation du personnel.
L'assurance sociale a pour objectif de prémunir contre un risque de perte de revenus (chômage, maladie, vieillesse, accident du travail, etc.). Les prestations sociales sont financées, en France, par des cotisations assises sur les salaires.
Le partage des risques permet de réduire considérablement le coût supporté par chacun lorsqu'un risque survient (c'est le principe de la mutualisation) Le partage des risques permet donc de renforcer la solidarité entre les individus de la société.
Qu'est-ce-que la protection sociale ? La protection sociale, c'est l'ensemble des dispositifs d'accompagnement permettant à chaque individu ou ménage de faire face tout au long de sa vie aux conséquences de la survenue d'un risque ou d'un besoin social.
Les habitants peuvent directement bénéficier d'une meilleure gestion des catastrophes. Aux termes des directives de la DDC, la gestion des risques doit être systématiquement prise en consi- dération dans des programmes sélectionnés de l'aide humanitaire et de la coopération au dévelop- pement.