Ils volent en groupe compact quand il y a un danger, pour se protéger des prédateurs. Ce groupe homogène est bien plus difficile à attaquer. Et si ces nués se déplacent de façon synchronisée, c'est parce que chaque individu réagit presque immédiatement au mouvement de ses voisins.
Avant que la pluie ne se produise effectivement, l'humidité de l'air augmente et pèse sur les insectes qui volent donc plus bas, plus près du sol. Les oiseaux suivent logiquement leurs proies.
Lorsqu'une hirondelle vole bas, l'orage n'est pas loin. C'est une phrase que l'on entend couramment en France, et l'expérience nous montre qu'il y a là un semblant de vérité.
Le lien de cause à effet n'est pas évident : certains pensent que si cet oiseau vole bas, c'est pour se protéger de la violence des vents générés par le nuage d'orage. La raison est plus simple que cela, les hirondelles suivent leur unique proie : le moucheron. Durant un orage, l'insecte est comme attiré par le sol.
Ses pattes sont en effet trop courtes pour qu'il puisse se poser normalement comme tous les autres oiseaux. C'est en volant qu'il s'alimente, qu'il boit, qu'il dort. L'été, on peut le voir voler bas très rapidement en groupe et le soir s'envoler haut dans les airs où il somnole jusqu'au lendemain matin.
Le nom du mâle et de la femelle est hirondelle et le bébé est un hirondeau. La durée de vie de l'hirondelle est de 5 à 12 ans selon l'espèce.
Il en possède bien, mais tellement atrophiées qu'il évite au maximum de s'en servir. Pour autant, il reste capable de s'envoler, s'il n'est pas malade ou fatigué, lorsque les hasards de la vie l'ont amené à terre : il lui faut cependant un sol assez dégagé pour pouvoir agiter les ailes sans être gêné.
On entend le pivert / C'est signe de pluie, à coup sûr. Selon la légende, il n'aurait droit de s'abreuver qu'aux seules gouttes d'eau du ciel. C'est pourquoi il se réjouit à l'approche d'une ondée en faisant entendre son rire saccadé : Pllée, pllée, pllée, en gallo et Gleb, gleb, gleb !
Lorsqu'ils se sentent menacés, ils émettent un cri fort, auquel d'autres hirondelles répondront en s'envolant du nid pour défendre le territoire. Autrefois, les Hirondelles rustiques nichaient sur des surfaces rocheuses abritées de la pluie, par exemple dans des grottes ou sur des falaises.
La tête rentrée, le bec en l'air, le corps droit et les ailes plaquées, c'est la posture typique du piaf sous la pluie. De cette manière, les petits oiseaux conservent un maximum de chaleur corporelle et évacuent un maximum d'humidité.
L'arrivée d'hirondelles près de votre logis annonce quelque chose d'heureux ; par exemple si l'une d'elle entre chez vous, virevolte dans la pièce ou autour de vous, vous recevrez sans doute d'ici peu de très bonnes nouvelles et la chance sera de votre côté, c'est du moins ce que les croyances populaires affirment.
Les rassemblements en matinée sur les fils annoncent les départs imminents. Elles partent alors en groupe lâche sur un large front, effectuant 200 à 300 km par jour. Elles se déplacent à une vitesse de 40 à 50 km heure souvent à moins de 100 mètres du sol.
Elles passent ainsi la nuit dans des roselières, volant au-dessus pendant un moment avant de descendre dans les roseaux. Les roselières constituent une importante source de nourriture pour les hirondelles avant et pendant la migration.
Il subsiste aujourd'hui environ une quarantaine d'ordres d'oiseaux incapables de voler, les plus connus étant les Struthioniformes (autruches), les Casuariiformes (casoars et émeus), les Rheiformes (nandous), les Apterygiformes (kiwis) et les Sphenisciformes (manchots).
Le martinet noir, un oiseau qui dormirait en volant
Le martinet passe la majeure partie de sa vie dans les airs. Ses pattes sont si petites qu'elles ne lui permettent pas d'initier son vol depuis le sol.
Deux phénomènes peuvent expliquer cet étrange comportement : l'effet miroir ou l'effet transparence. Le premier représente un reflet : l'oiseau peut apercevoir sa propre image dans une vitre et s'imaginer un rival. Il peut alors se blesser en se cognant contre son reflet.
Cris et chant de l'hirondelle
Elle lance son cri quand elle est en vol et quand elle arrive dans son nid.
Les hirondelles rustiques mangent différents types de gros insectes. Les mouches sont leur nourriture préférée. Outre les mouches, ils mangent des coléoptères, des guêpes, des papillons, des mites et des abeilles.
Les hirondelles seraient capables de plonger sous l'eau pour échapper à un prédateur.
La mésange charbonnière est un des premiers oiseaux faciles à reconnaitre au chant. Ses titu titu titu ou tititu tititu tititu sont immanquables. On peut aussi entendre le hennissement aigue de la mésange bleue, très commune dans les jardins.
Le cri habituel du Pouillot véloce est un 'huit' monosyllabique assez doux, caractéristique. Le "huit" du Rougequeue à front blanc avec lequel on peut le confondre est un cri plus puissant et plus appuyé. Ce cri est un cri de contact émis en toutes saisons.
Lorsqu'il pleut, les chèvres arrêtent de paître et se mettent à l'abri. Parce qu'il est très fin, le pelage des chèvres les protège également très peu de l'humidité. Il est donc indispensable que les chèvres disposent d'un abri qui les protège à la fois du vent, de la pluie et de la neige.
Avec son corps fuselé et sa large poitrine, le faucon pèlerin bat tous les records de vitesse… lorsqu'il est motivé. En moyenne, il plane à 90 km/h, ce qui n'est pas très spectaculaire, mais, quand il effectue des descentes en piqué pour attraper des proies en vol, il est capable de doubler voire quadrupler sa vitesse.
Lorsqu'ils volent en groupes, ils crient tous ensemble, créant ainsi un son continu, ondulant et haut-perché, souvent entendu autour des immeubles et des monuments en été, témoins des colonies de nidification.
Curry, cannelle… cela fait fuir immédiatement les oiseaux. D'autres ne supportent pas l'odeur laissée par le vinaigre blanc. Alors, si vous nettoyez la surface de votre terrasse avec du vinaigre blanc, les oiseaux peuvent renoncer à visiter votre jardin.