L'organisme doit donc puiser dans son environnement, d'où la nécessité de respirer, etc. La mort intervient quand l'organisme ne peut plus puiser et maintenir son entropie basse. La principale source d'énergie sur Terre est la lumière du soleil qui permet la photosynthèse.
La mort n'a pas de sens. Elle met fin à une vie. C'est la commune destinée de chaque individu. Il n'y a que la vie qui peut avoir un sens.
Celle-ci, ultime possible pour l'existence, permet un dévoilement, à savoir une forme de vérité, car elle nous permet d'accéder à la compréhension de notre condition. Et cette compréhension constitue un « abri », puisque grâce à elle les humains se relient aux autres humains dont ils partagent la condition.
Les philosophes et la mort:
Du latin mors, la mort s'entend comme la fin de la vie, la cessation physique de la vie. Si cette définition nous est connue de tous, elle peut être élargie. En effet, dans son sens médical, elle correspond à la fin des fonctions du cerveau définie par un électro-encéphalogramme plat.
Vous croyez vraiment que des humains en vie aujourd'hui pourront échapper à la mort? Ce n'est pas certain, mais c'est très probable. J'estime à au moins 50% les chances que, d'ici 25 à 30 ans, de nouvelles technologies parviennent à minimiser les effets néfastes du vieillissement sur le corps.
Ainsi pour Épicure, il ne faut pas avoir peur de la mort en elle-même puisque : « Le mal qui nous effraie le plus, la mort, n'est rien pour nous puisque lorsque nous existons la mort n'est pas là et lorsque la mort est là, nous n'existons plus » (Lettre à Ménécée).
Lorsque la mort survient après une longue maladie, les amis proches ressentent parfois ce que l'on appelle un chagrin anticipé. C'est une réaction émotionnelle à la perte avant la perte comme telle. Car l'acceptation de la mort s'est peut-être faite depuis déjà longtemps.
Perte définitive par une entité vivante (organe, individu, tissu ou cellule) des propriétés caractéristiques de la vie, entraînant sa destruction.
Elle peut aussi voir des choses que les autres ne voient pas ou bien leur parler (hallucinations). Elle peut essayer de sortir de son lit ou bouger davantage quand elle est couchée. Elle peut modifier complètement son cycle de sommeil et ainsi dormir le jour et rester éveillée la nuit.
- « Après la mort, nous devenons successivement les habitants de la Lune, de Mercure, de Vénus, du Soleil, de Mars, de Jupiter et de Saturne, puis du firmament stellaire, pour ensuite nous contracter et nous réincarner » ; L'oubli s'installe, avec la réincarnation.
La mort est essentielle au sens et à la valeur de la vie humaine telle qu'elle est expérimentée par les individus et les communautés. La mort ne donne pas sens à la vie mais elle procure l'arrière-fond sur lequel la vie est vécue.
Méditer et apprivoiser nos peurs
En somme, il faut méditer et garder constamment à l'esprit tout ce qui nous fait peur – la mort, mais aussi la maladie, le deuil ou la déchéance – pour l'apprivoiser et ne plus en être effrayé.
« mort » est le mot ordinaire et s'applique à tout ce qui vit ; « décès » est un terme euphémisant, signifiant à l'origine départ, et défini comme « mort d'une personne ». Ce mot n'est applicable qu'à l'Homme, il est employé dans le langage juridique, médical, administratif et en économie politique.
Le but de n'importe quelle action serait d'augmenter notre plaisir et/ou diminuer notre souffrance. Il dérive de cette constatation que « ce qui est bien est ce qui amène le plus de bonheur à la plus grande quantité de personne possible ». Pour Bentham, le sens de la vie est le « principe du plus grand bonheur ».
L'intérêt de rester en vie, c'est de pouvoir se dire qu'à un moment on pourra être heureux, ou tendre au bonheur, même sans forcément l'atteindre, puis de se réconcilier avec cette idée, et se satisfaire des joies simples de nous offre la vie en repoussant les désirs inutiles.
Selon cette approche, la vie est susceptible d'être significative : nous pouvons lui conférer un sens grâce à notre sensibilité. Jean Grondin parle d'une « saveur de la vie » et le sens de la vie est pour ainsi dire une capacité de « sentir » et de jouir de la vie.
Le cœur, qui est pour sa part autonome, continue de battre un moment, jusqu'à ce que le manque d'oxygène ait raison de lui et que l'arrêt cardiaque survienne. «Pour les médecins, la mort est la cessation irréversible de toutes les activités du cerveau, précise Éric Racine.
Le corps :
Les yeux restent mi-ouverts et le regard est fixe, la personne semble ne plus voir. Cependant, comme il est écrit précédemment, le sens de l'ouïe étant le dernier à quitter le corps, la personne mourante peut encore entendre ce que l'on dit mais ne peut répondre en raison de sa faiblesse.
En effet, après la décomposition du corps, le lithium reste et se répand. Il en va du même pour les objets pouvant dégager des fumées toxiques comme certaines peluches et les chaussures. Les photos ou lettres sont quant à elles autorisées car elles ne ralentissent pas la décomposition naturelle du corps.
C'est un signe de maturité psychologique : on quitte l'enfance, on accède à l'âge adulte lorsqu'on réalise que la mort fait partie de la vie. L'angoisse de mort existentielle est donc normale tant qu'elle ne perturbe pas la vie quotidienne.
décédé n. Personne qui est décédée. décéder v.i. Mourir.
Lors de la mort, la circulation sanguine est interrompue, les organes ne sont plus irrigués et l'activité de leurs cellules va s'arrêter. La mort n'est pas un phénomène instantané : tous les organes ne meurent pas en même temps.
Le deuil compliqué est caractérisé par une perturbation du travail de deuil qui ne s'engage pas ou qui ne parvient pas à son terme. Le deuil pathologique est caractérisé par la survenue de troubles psychiatriques durant la période du deuil.
Mourir de chagrin est d'ailleurs tout à fait possible. Connue depuis 1991 sous le nom de "syndrome de Tako-Tsubo" ou "syndrome du coeur brisé", cette pathologie a notamment été détaillée dans un rapport de l'American Heart Association en 2012.