Elle permet alors de juger nos actions et celles d'autrui. En effet, la morale est là pour réguler nos comportements pour certains en valorisant certains comportements et en considérant que certains sont des actes mauvais à ne pas commettre.
Selon la première, la morale serait une extension de l'instinct de parenté (notre tendance à nous préoccuper du bien-être de nos proches). La morale serait alors spécifique de l'homme, car elle nécessite réflexion ou normes explicites pour se développer à partir de l'instinct de parenté.
3) Agir moralement, c'est faire de son mieux pour réaliser vertueusement ce qui nous semble bon a) La responsabilité morale La pure obéissance à la loi morale constitue l'idée de la moralité mais l'action morale requiert d'autres éléments plus concrets.
Le devoir peut également avoir une origine naturelle : la morale serait une intuition naturelle de l'homme, un « instinct divin » comme le dit Jean-Jacques Rousseau. Le devoir a également une origine rationnelle : selon Kant, le devoir moral viendrait d'une réflexion consciente et rationnelle.
1. Qui concerne les règles de conduite pratiquées dans une société, en particulier par rapport aux concepts de bien et de mal : Réflexions morales. 2. Qui relève de la conscience que l'on a de ce qui est bien : Avoir l'obligation morale de faire quelque chose.
La morale vise d'une part à la conservation des formes collectives d'organisation sociale, de la société, de l'intérêt général, d'autre part à l'agrément de la vie des individus en société.
Elle permet alors de juger nos actions et celles d'autrui. En effet, la morale est là pour réguler nos comportements pour certains en valorisant certains comportements et en considérant que certains sont des actes mauvais à ne pas commettre.
Bien agir consiste finalement à rechercher égoïstement à être heureux, étant entendu que, si tout le monde en fait autant, dans la mesure où le bonheur de l'un dépend de celui de l'autre, tout le monde sera conduit, comme par une "main invisible", à constituer une société harmonieuse.
La morale est une réflexion sur nos pratiques, nos actes, nos comportements et correspond à la question de Kant : « Que dois-je faire ? » Elle a pour valeur le bien, et par extension, on appelle « morale » les règles prétendant définir ce qui nous en approche ou nous y conduit, la vertu.
Kant définit le devoir comme « la nécessité d'accomplir une action par respect pour la loi ». La loi morale s'impose à tout être raisonnable, et donc aussi bien à l'homme qu'à une volonté sainte.
Platon en conclut que la conscience morale doit être éduquée. Ainsi, la morale n'est pas innée, et elle ne correspond pas à ce qui fait plaisir à l'individu ou à ce qui ne lui fait pas plaisir. Elle correspond à des règles qu'il faut apprendre.
La vie sociale impose à l'homme une morale.
Il semble donc impossible de vivre sans morale, puisque la nature nous prédispose à la moralité, tant par la sensibilité que par la raison.
De façon plus précise, être moral c'est bien agir, c'est-à-dire agir par pur devoir ou encore agir selon certains principes visant à obtenir le bonheur. Agir par intérêt, c'est être poussé à agir par la recherche d'un gain, au terme d'un calcul soupesant les avantages et inconvénients d'une action.
L'homme moral, c'est-à-dire celui qui se veut moral, qui a choisi de vivre moralement, n'est plus immergé dans la pure particularité de ses désirs individuels, il est entré, librement, dans le monde de l'universalité.
Morale de la fable Le Loup et l'Agneau : « La raison du plus fort est toujours la meilleure. » La morale se situe au début de la fable. Jean de La Fontaine dresse ici une critique cinglante de sa société. Il critique la justice comme symbole de la violence et de la force.
La morale définit donc ce qui est bien et ce qui est mal, en ce qui concerne les actions humaines. La morale peut donc être vu comme une mise au point des actions humaines, évaluées sur les valeurs "bien "et "mal". C'est en cela qu'on dira que la morale donne les moyens pour mener une vie conforme au bien.
Une théorie morale peut tomber sous cette qualification pour trois motifs correspondant à autant de propriétés de la moralité : soit elle en affaiblit l'autorité en affirmant qu'il peut être raisonnable de ne pas toujours respecter ses injonctions, soit elle atténue la rigueur de la moralité en soutenant que ses ...
Les valeurs morales sont les règles et principes qui édictent rigoureusement la conduite et les mœurs appropriées pour être bon, faire le bien et vivre ensemble dans le respect fondamental de l'autre.
La justice, la loyauté, la générosité et la responsabilité individuelle sont des idéaux supérieurs auxquels on croit important d'obéir : ce sont des valeurs morales. De même, « ne pas faire aux autres ce qu'on ne veut pas qu'ils nous fassent » est une règle que plusieurs trouvent fondamentale.
La conscience morale d'un enfant se développe petit à petit à mesure qu'il observe la réaction des adultes aux gestes qu'il pose. Cette conscience s'installe aussi en même temps qu'il développe ses habiletés sociales et qu'il apprend à tenir compte de ce que les autres ressentent.
Pouvoir propre à l'homme de transformer ce qui est, de s'exprimer par des actes : 1.
Bien agir signifie agir conformément à des principes : seule importe l'intention (et non l'action), et les conséquences, incertaines et souvent imprévisibles, ne peuvent servir de fondement à nos choix moraux. la valeur morale de nos actions qui dépend de leurs effets.
Le problème moral consiste à trouver, à inventer et à se donner une direction de l'action imposée par la volonté se donnant des règles dans la représentation.
Ce qui constitue une leçon de morale. ➙ apologue, maxime, moralité.