– L'homme possède une intelligence individuelle qu'il semble perdre à l'échelle collective dans ses comportements. Ainsi l'humanité dans son ensemble détruit. Face à l'intelligence de l'homme la seule chose qui puisse lui répondre c'est l'entité nature. Ainsi l'homme serait en fait opposé à la nature.
L'humain se détache et se place au-dessus de la Nature
Comme détachés donc. Simplement parce que nous avons réussi à modeler notre environnement et la Nature en partie selon nos souhaits, cela signifierait que nous avons tous les droits dessus, que nous valons mieux ?
La nature est un bien commun de l'humanité ; celui-ci devrait donc, pour des raisons morales et rationnelles, être respecté de tous, car il a une valeur patrimoniale unique. La nature constitue un capital naturel qui conditionne la vie humaine sur terre.
L'Homme peut avoir une influence positive sur la nature. C'est le cas avec les jardins. Il s'agit d'une domestication de la nature qui vise à l'embellir. Depuis l'Antiquité, les jardins sont une source d'inspiration poétique positive.
Rousseau et les contemporains le répetent: les hommes sont en effet à part dans la nautre, parce qu'ils sont les seuls à agir au sens propre, ouvrant la dimension de l'histoire à travers laquelle ils se définissent en se modifiant, et parce qu'ils sont la source des valeurs ( eux seuls peuvent les concevoir ou les ...
– L'homme appartient à la nature car tout est interdépendant. L'humanité est partie de l'animalité. Il faut faire attention au patrimoine de l'humanité qu'est la nature, à la fois pour la survie de l'humanité et plus généralement pour la survie de la Terre.
"La nature de l'homme est la somme de ses facultés naturelles, telles que la nutrition, le mouvement, la génération, la sensibilité, la raison, etc. Nous nous accordons tous à nommer ces facultés naturelles ; elles sont renfermées dans la notion de l'homme que l'on définit un animal raisonnable."
Il n'est ni bon ni mauvais, mais exprime ses tendances compassionnelles ou cruelles selon l'identité de la victime. La zone de la cruauté (le noyau accumbens) est un générateur de plaisir, activé aussi bien par la nourriture que par l'alcool, les drogues ou le sexe.
L'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait. Tel est le premier principe de l'existentialisme. L'homme est non seulement tel qu'il se conçoit, mais tel qu'il se veut, et comme il se conçoit après l'existence, comme il se veut après cet élan vers l'existence, l'homme n'est rien d'autre que ce qu'il se fait.
Le travail et la technique => activité humaine qui permettent à l'Homme de transformer la nature pour subvenir à ses besoins et désirer. En ce sens, il nous libère de la nature et nous permet de nous développer.
L'homme est, sans aucun doute, une partie de la nature: il est donc compris en elle. Mais il est tout aussi certain que l'homme comprend la nature, laquelle est par conséquent une idée ou une représentation humaine.
En aménageant le territoire, l'homme modifie son environnement naturel : il détruit parfois des milieux de vie. Cependant, il prend peu à peu conscience des dangers qu'il fait courir à la planète et commence à restaurer des milieux qu'il a transformés.
Suivre la nature, pour un homme, c'est rentrer en soi-même pour rétablir volontairement ce qui constitue notre véritable « nature » : tel est le secret de la sagesse et du bonheur. 1) L'homme se rapproche de l'animal tout en s'en distinguant. L'animal est libre lorsqu'il n'est soumis qu'à son seul instinct.
Dans la Genèse, la nature est présentée dans le récit de la Création, comme l'œuvre d'un Dieu créateur : « Au commencement, Dieu créa les cieux et la terre » (Gn 1. 1 [archive]).
Dans la définition métaphysique traditionnelle, « l'homme est présenté d'emblée comme un certain être qui, à la différence des autres animaux, serait doué d'une faculté qui lui assure un certain rayonnement, la faculté de raisonner ».
Souvent, le monde animal nous paraît beaucoup plus libre que le monde des Hommes car il y a une absence de contrainte sociale. L'animal fait ce qui lui plait, c'est à dire il suit ses instincts, il n'a pas de barrière morale, il a une liberté physique lié à son indépendance (déf. : ne dépendre de personne pour vivre).
Qu'il se questionne ou non, l'homme cherche à procréer, travaille à la protection et l'éducation de sa descendance, veut se sentir utile, cherche à repousser la souffrance et la mort, et à accéder à une existence supérieure (sociale ou religieuse).
Rousseau avait tort : les hommes sont naturellement violents. Mais contrairement aux apparences, ils sont aussi de plus en plus civilisés ! Rousseau avait tort, l'homme est naturellement méchant. C'est ainsi que s'ouvre un article récent de Nature (1) portant sur l'étude des comportements violents chez l'homme.
Pour le philosophe anglais du 17e siècle Thomas Hobbes, l'homme est un loup pour l'homme et naît mauvais.
La société nous corrompt en imaginant, encore et encore, de nouveaux produits alimentaires qui nous empoisonneront ; en imaginant, encore et encore, de nouvelles substances illicites, des drogues qui détruiront notre cerveau, nos capacités à réfléchir par nous-mêmes et à apprendre de nouvelles choses ; en nous privant ...
La culture est donc ce qui s'oppose à la nature : c'est ce qui est acquis. La nature, c'est tout ce qui est en nous par hérédité biologique ; la culture, c'est au contraire tout ce que nous tenons de la tradition externe. Dans cette citation, Lévi-Strauss met en évidence les types d'héritages que reçoit l'homme.
Du latin “humanitas”, le terme se traduit par nature humaine, culture générale de l'esprit. L'Humanitas est le caractère de ce qui est humain. Elle désigne aussi « les hommes » en général, le genre humain considéré dans son unité. La plupart des philosophes définissent comme humain tout être doué de raison.
Si l'on considère la nature comme un environnement donné de l'homme, on peut sans doute dire que l'homme domine cet environnement naturel en lui désobéissant, c'est-à-dire en refusant de l'accepter tel qu'il est, en s'opposant à lui et en le modifiant par son travail.
Elle est le principe de développement des êtres vivants. Par extension, la nature d'une chose signifie aussi son essence, c'est-à-dire ce qu'elle est profondément, ce qui constitue son être indépendamment des accidents qui peuvent en modifier l'aspect.
En général, les activités humaines ont des répercussions sur l'environnement lorsque : elles produisent des rejets (émission de polluants, eaux usées, production de déchets, etc.); elles modifient (dégradent) le sol et l'habitat; elles utilisent et font disparaître les ressources.