Certaines évolutions sont génétiques, d'autres sont liées aux modes de vie. Actuellement, l'Homme retrouve peu à peu la stature qu'il avait avant la période du Néolithique, un gain de taille que l'on doit à la baisse des maladies infantiles, mais aussi à son alimentation.
Contrairement à une idée reçue, l'homme continue d'évoluer. Le corps et le cerveau de nos ancêtres étaient aussi différents des nôtres que le seront ceux de nos descendants.
Et si les prévisions démographiques actuelles varient, il y a un consensus sur le fait que la population mondiale culminera vers le milieu du siècle et commencera à chuter ensuite : dès 2100, le nombre d'habitants sur Terre pourrait être inférieur à celui d'aujourd'hui.
L'être humain tel qu'il est aujourd'hui est le résultat d'une longue évolution qui s'étend sur plusieurs millions d'années. L'ancêtre de l'être humain est apparu sur le continent africain il y a environ 5 millions d'années : c'est l'australopithèque.
L'augmentation de la taille du cerveau et la dextérité des mains ont l'une après l'autre contribué aux développements de caractéristiques typiques des humains, comme le langage complexe, l'art et l'agriculture. Ces trois caractéristiques sont apparues au cours des 100 000 dernières années.
La planète sera de plus en plus surpeuplée et ses habitants se concentreront dans les villes. Les technologies produiront davantage de richesses, mais il faudra tenir compte des inégalités et de la durabilité. La population mondiale atteindra 9,8 milliards de personnes en 2050 et se concentrera dans les villes[1].
Dans 1000 ans, les hommes seront davantage connectés à la technologie. De minuscules appareils électroniques seront implantés dans le corps humain pour en renforcer le système immunitaire. La solution faciliterait alors la lutte contre les maladies. La technologie des nanobots pourrait révolutionner la chirurgie.
Mais revenons à la question qui présente une idée reçue très fréquente, mais fausse scientifiquement. L'Homme, ou Homo sapiens notre espèce, ne descend pas du singe. En réalité, nous sommes des singes ! En effet, du point de vue biologique et évolutif, nous appartenons à la famille des grands singes.
« La raison pour laquelle les autres primates n'évoluent pas en humains, c'est qu'ils se débrouillent bien » déclare Briana Pobiner, paléoanthropologue à l'Institut Smithsonian de Washington.
Le risque d'extinction de l'humanité a été "dangereusement sous-exploré". C'est l'alarmante conclusion d'une étude réalisée par des climatologues et publiée dans les Proceedings of the National Academy of Sciences (PNAS) le 1er août 2022.
En 2025, la population mondiale pourrait atteindre de 7,5 à 9,5 milliards d'habitants, contre 5,8 aujourd'hui. En 2040, l'accumulation des gaz à effet de serre pourrait avoir entraîné un réchauffement de 1° C à 2° C de la température moyenne de la planète et une élévation de 0,2 à 1,5 mètre du niveau des océans.
L'humain régresse sous l'effet des impératifs économiques, de la rivalité exacerbée entre les États et de l'emprise techno-administrative croissante.
Les crises biologiques auraient donc les crises géologiques pour origine. Après chaque crise, les espèces inadaptées au changement disparaissent et l'évolution continue à générer de nouveaux êtres vivants. C'est pourquoi il est possible d'affirmer que la biodiversité est en évolution constante.
Des biologistes se sont récemment penchés sur la question de la longévité de la vie. Ils ont réussi à estimer la durée de vie maximale de l'homme, qui se situerait entre 120 et 150 ans, rapporte Scientific American.
Le «plafond de verre» de la durée de vie humaine serait de 115,7 ans pour les femmes et de 114,1 ans pour les hommes.
Une chose est sûre : il y a environ 10 millions d'années, les premiers hominidés sont apparus en Afrique, et il a fallu attendre au moins 4 millions d'années pour qu'ils se dressent sur leurs jambes.
Il y a 2,5 millions d'années, Homo habilis apparait en Afrique de l'Est : c'est la première espèce humaine. Son nom veut dire “homme habile” parce qu'il fabrique des outils simples. Il y a 1,8 million d'années, un nouvel humain apparait : Homo erectus. Son nom veut dire “homme debout” et c'est un bon marcheur.
Il s'appelle Toumaï ! Du haut de ses 7 millions d'années, c'est lui qui détient aujourd'hui le titre de doyen de l'humanité. Son crâne a été mis au jour lors de fouilles, en 2001, au Tchad, un pays situé au centre de l'Afrique.
Pour ce qui est de la force à proprement parler, les chimpanzés ne seraient « que » 1,35 fois plus forts que les Homo-sapiens mais de la même manière, s'ils peuvent soulever une charge plus lourde, ils la reposeront également plus vite.
C'est pourquoi, la reproduction entre nos deux espèces n'est pas envisageable. Si une expérience tentait de féconder in vitro un ovule de chimpanzé et un spermatozoïde humain ou l'inverse, personne ne peut dire ce que cela produirait.
Les bonobos partagent 98,7% de son ADN avec l'être humain. En raison de sa forte ressemblance avec le chimpanzé, il n'a été reconnu comme espèce à part entière qu'en 1929. Il est généralement plus petit, plus svelte et plus sombre que le chimpanzé. A ce jour, nous ne savons que peu de choses sur ce fascinant hominidé.
En l'an 3000, l'évolution de l'espèce humaine donnera naissance à des individus plus grands, aux grands yeux mais avec de plus petits cerveaux, d'après des prévisions de science-fiction du quotidien The Sun.
La vie sur la terre s'arrêtera dans environ 2,8 milliards d'années, selon une étude menée par Jack o'Malley-James, astrobiologiste à l'université de St. -Andrews.
On sera assez cheum
Un phénomène qui commence déjà puisque de plus en plus d'enfants naissent sans dents de sagesse, ces dernières ne servant plus à rien. Il se peut également qu'on ait des super méga double-mentons, et beaucoup moins de poils et des bras et des doigts très longs.