Elle permet donc avant tout d'analyser des données et de résoudre des problèmes. L'intelligence pratique correspond à la capacité d'un individu à comprendre et évaluer son environnement, et de réagir de la manière la plus favorable pour lui, en s'adaptant ou en adaptant l'environnement lorsque c'est possible.
En ce sens, l'intelligence relationnelle permet de mieux vivre sa vie en répondant à ses besoins profonds. Elle est également liée à l'intelligence sociale, qui permet de prendre en compte les besoins d'une communauté entière, au-delà de notre cercle de connaissances proches.
Dans l'exemple cité plus haut, l'intelligence est valorisée, d'une part parce qu'elle permet de comprendre autrui, d'autre part parce que, à travers cette compréhension, elle permet, par exemple, de réussir en affaires. Il n'y a certes pas hétérogénéité radicale entre ces deux modes de valorisation.
L'intelligence serait donc en partie d'origine génétique, mais pas seulement. L'environnement dans lequel nous évoluons est également un facteur pouvant faire varier notre intelligence. Des difficultés dans le parcours scolaire peuvent témoigner, dans certains cas, d'un environnement social défavorisé.
Qualité de quelqu'un qui manifeste dans un domaine donné un souci de comprendre, de réfléchir, de connaître et qui adapte facilement son comportement à ces finalités : Avoir l'intelligence des affaires.
Une personne intelligente sait et comprend qu'elle ne sait pas tout. Connaitre ses propres limites et les reconnaitre tout en cherchant à apprendre des autres, témoigne d'une grande intelligence. D'ailleurs, alors même qu'Einstein publiait ses brillantes découvertes, il martelait « je n'ai aucun talent.
"La motivation, l'attention et les émotions sont les trois facteurs nécessaires pour améliorer son intelligence".
L'intelligence est-elle innée ou acquise ? Le débat avait fait rage pendant des siècles et nous avons maintenant la réponse : l'intelligence est le fruit de l'hérédité (inné) et de notre environnement (acquis).
L'intelligence désigne communément le potentiel des capacités mentales et cognitives d'un individu, animal ou humain, lui permettant de résoudre un problème ou de s'adapter à son environnement. Elle se résume souvent au cerveau.
Elle comprend la capacité à reconnaître des tendances, comprendre les idées, planifier, résoudre des problèmes, prendre des décisions, conserver des informations, et utiliser la langue pour communiquer. Femmes passant un test d'intelligence générale (Allemagne, 1931).
Il définit une intelligence analytique (ou académique, mesurée par le QI), une intelligence créative (imagination, flexibilité), et enfin une intelligence pratique (tournée vers l'action et acquise par l'expérience de façon implicite).
Selon une étude scientifique, l'intelligence de l'enfant se transmettrait par la mère. Pourquoi ? Car les gènes de l'intelligence sont issus du chromosome X. Comme la femme en possède deux, on en déduit qu'elle a plus de chance que l'homme d'influencer les capacités cognitives de ses enfants.
Mais qu'est-ce que l'intelligence, exactement ? Selon Le Petit Larousse, il s'agit d'une « faculté de comprendre, de saisir par la pensée », mais aussi d'une « aptitude à s'adapter à une situation » ou encore de « donner un sens à quelque chose ».
Piaget avance l'idée que l'individu construit ses connaissances par ses propres actions : le développement de l'intelligence est pour lui le fruit d'un processus d'adaptation, dans lequel interagissent l'inné (les structures mentales) et l'acquis (la prise en compte du monde extérieur).
Les personnes intelligentes auraient un meilleur jugement et une meilleure capacité à créer des liens avec des gens dignes de confiance. Elles seraient aussi plus habiles à anticiper les situations et à évaluer le comportement probable d'une autre personne. De plus, cette capacité pourrait aussi être biologique.
La sapiosexualité est le fait d'être sexuellement ou sentimentalement attiré(e) par des personnes intelligentes, instruites ou charismatiques. Pour les sapiosexuels, l'intelligence rend sexy.
Absolument pas. Bien que les chercheurs ne soient pas d'accord sur la part exacte du rôle de la transmission génétique, ils s'accordent à dire que de nombreux autres facteurs ont une influence certaine sur l'efficacité de nos capacités cognitives, comme l'environnement ou l'éducation.
Les plus fréquemment admises sont les aptitudes mentales primaires (aptitudes verbales, numériques, spatiales), le raisonnement et la fluidité. D'autres auteurs enfin ont défini l'intelligence comme la forme la plus élaborée de l'adaptation de l'être humain à son environnement.
Notre intelligence
Les chercheurs ont en tout cas émis des hypothèses sur les causes de cette baisse du QI : l'alimentation, le système éducatif, et l'usage des écrans.
L'intelligence est également fortement influencée par l'environnement. Les facteurs liés à l'environnement familial et à la parentalité, à l'éducation et à la disponibilité des ressources d'apprentissage, de même qu'à la nutrition, notamment, contribuent tous à l'intelligence.
« Oui, cela évolue dans une certaine mesure », répond d'emblée Nathalie Parent, psychologue et professeure à la faculté des sciences de l'éducation de l'Université Laval, spécialisée en psychométrie. « Au cours de l'enfance et jusqu'à l'âge adulte, les connaissances et les capacités intellectuelles se développent.
La plus haute forme d'intelligence humaine est la capacité d'observer sans juger - Krishna… Citation spirituelle, Paroles de sagesse, Citation motivation réussite.
Pour Richard Nisbett, psychologue à l'université du Michigan, la réponse est claire : oui, votre QI peut changer avec le temps. Mais les tests de QI vous donnent la même réponse dans une très large mesure, même sur une période d'un an. Plus vous êtes âgé, plus votre score au test sera stable.