Après trois réunions d'urgence sur le conflit israélo-palestinien, le Conseil de sécurité de l'ONU n'est toujours pas parvenu à un accord commun, en raison du blocage d'un pays : les Etats-Unis.
Le plan de partage de l'ONU du 29 novembre 1947 divise la Palestine entre un Etat juif et un Etat arabe. La première guerre israélo-arabe (1948-1949) permet à l'Etat hébreu victorieux d'élargir son territoire.
L'ONU appelle également à une réconciliation inter-palestinienne dans le respect des principes agréés pas la communauté internationale (non-violence, reconnaissance d'Israël et des accords signés), en vue d'un Etat palestinien uni et d'une solution à deux Etats viable.
Le non-respect des principes de distinction, de proportionnalité et de précaution dans la conduite des opérations militaires constitue une grave violation du droit international humanitaire et peut constituer des crimes de guerre, a rappelé le HCDH.
L'Etat d'Israël est devenu le 59ème membre de l'Organisation des Nations unies (ONU) le 11 mai 1949.
Après le déclenchement de la première Intifada, le Conseil de sécurité condamne les pratiques d'Israël « qui violent les droits de l'homme du peuple palestinien dans les territoires occupés, en particulier le fait que l'armée israélienne a ouvert le feu, tuant ou blessant des civils palestiniens ».
Les deux parties se mettent d'accord sur le principe d'une solution à deux États : « les Palestiniens ont proposé un échange de territoires correspondant à environ 2 % de la superficie de la Cisjordanie. Les Israéliens ont, quant à eux, proposé un échange de l'ordre de 6 %.” [14].
• Les limites au plan économique et social
Les catastrophes naturelles et les conflits de grande ampleur ont montré l'incapacité des Nations Unies à mener une action humanitaire conforme aux besoins (Haïti, Syrie, Sud-Soudan, Ukraine, Yémen...).
Le conflit inclut une forte dimension religieuse, en raison de l'importance des territoires disputés, notamment Jérusalem, pour les trois religions monothéistes, et du fait de la caractérisation d'Israël comme État juif, à majorité juive et face à des Palestiniens majoritairement musulmans.
Les États-Unis et l'Union européenne via l'UNRWA en sont les principaux contributeurs. Depuis les années 2000, l'Union européenne a financé l'UNRWA de 1,6 milliard d'euros. Depuis les années 1990, les États-Unis ont donné en assistance 5 milliards de dollars aux Palestiniens et 5,6 milliards à l'UNRWA depuis 1950.
Sous mandat britannique à partir de 1920, la Palestine est finalement partagée par l'ONU en 1947 avant que David Ben Gourion ne proclame l'indépendance d'Israël en 1948.
L'histoire des Arabes en Palestine débute avec les premiers pèlerinages Ghassanides en Terre sainte, durant la période byzantine. À la suite de la conquête musulmane, des Arabes s'installent en Palestine.
Parmi les pays reconnaissant l'État palestinien, on trouve la presque totalité des états africains, asiatiques, sud et centre-américains, de l'ancienne URSS et de l'Europe de l'Est.
L'Algérie a longtemps soutenu l'Organisation de libération de la Palestine depuis les années 1970 et les présidents algériens Houari Boumédiène et Chadli Bendjedid ont à la fois organisé et accueilli Yasser Arafat. L'Algérie a également fourni des armes et un entraînement pour les militants palestiniens.
Paris estime "ne pouvoir entretenir aucun contact avec le Hamas tant que les trois conditions du Quartette (renonciation à la violence, reconnaissance du droit d'Israël à exister, reconnaissance des accords signés entre Israël et l'OLP) n'auront pas été remplies".
L'ONU considère que cette attaque est une violation de l'intégrité du territoire et de la souveraineté de l'Ukraine. Elle est contraire aux principes de la Charte des Nations Unies. Le Secrétaire général de l'ONU nomme le 25 février Amin Awad au poste de Coordonnateur des Nations Unies pour la crise en Ukraine.
Les Nations unies représentent le rêve d'un système de relations entre États fondées sur la notion de sécurité collective. L'OTAN, créée deux années après l'ONU, en raison de la Guerre froide, repose sur la notion plus pragmatique de défense collective.
Le Secrétaire général est nommé par l'Assemblée générale pour un mandat de cinq ans renouvelable, sur recommandation du Conseil de sécurité. L'actuel Secrétaire général, le neuvième Secrétaire général de l'ONU, est António Guterres. Il a pris ses fonctions le 1er janvier 2017.
À l'heure actuelle, 32 états membres de l'Organisation des Nations Unies ne reconnaissent pas l'État d'Israël : 18 des 22 membres de la Ligue arabe : l'Algérie, le Bahreïn, les Comores, Djibouti, l'Irak, le Koweït, le Liban, la Libye, le Maroc, Oman, le Qatar, l'Arabie Saoudite, la Somalie, le Soudan, la Syrie, la ...
En 1948, pendant la guerre qui l'oppose aux pays arabes voisins, l'État juif envisagé dans la résolution déclare son indépendance sous le nom d'Israël et prend le contrôle de 77 % du territoire de la Palestine sous mandat, notamment de la majeure partie de Jérusalem.
En 2020, Israël normalise ses relations diplomatiques avec au moins 5 pays : les Émirats arabes unis et Bahreïn lors des « Accords d'Abraham » (15 septembre), le Soudan (23 octobre), le Maroc (10 décembre) et le Bhoutan (12 décembre).
Après trois réunions d'urgence sur le conflit israélo-palestinien, le Conseil de sécurité de l'ONU n'est toujours pas parvenu à un accord commun, en raison du blocage d'un pays : les Etats-Unis.
Cependant depuis le début des années 1990 le Hamas est largement financé par l'Iran.