Selon la théorie de la relativité générale, un Univers en expansion doit avoir commencé par un Big Bang, ce qui implique la finitude du temps, apparu simultanément avec l'espace et l'énergie-matière. Cette façon de voir s'est modifiée au cours des dernières années.
Il en a déduit que l'univers s'étendait de façon constante. » C'est ce que l'on appelle la constante de Hubble, donnant le taux d'expansion de l'Univers. En écrivant ses équations de la relativité générale, le célèbre physicien Albert Einstein en était lui aussi arrivé à la conclusion que l'univers s'étend.
L'univers est en expansion. Si l'on tient compte de la gravité, cette expansion devrait ralentir et pourtant elle semble accélérer au cours du temps. Ce phénomène pourrait être dû à une force étrange : l'énergie noire.
L'espace-temps est dynamique. Ce ne sont pas les galaxies, les planètes ni les étoiles qui se déplacent, mais c'est précisément l'espace entre ces éléments composant l'univers qui augmente. L'univers est donc en perpétuelle expansion.
En date de 2019, les mesures suggèrent que les évènements initiaux remontent à entre 13,7 et 13,8 milliards d'années. En pratique, on divise l'évolution de l'Univers depuis cette date jusqu'à nos jours en plusieurs ères. La formation de l'Univers commence par l'ère du rayonnement, suivie de l'ère de la matière.
La création du monde est relatée dans deux récits successifs dans les deux premiers chapitres du Livre de la Genèse. Dans le premier (Genèse 1-2:4), Dieu, entité nommée Elohim en hébreu, crée les cieux et la Terre en six jours, puis se repose et sanctifie le septième jour.
Les premiers organismes vivants seraient donc apparus sur Terre à peine quelques centaines de millions d'années après la formation de la planète. Les travaux scientifiques contemporains sur les origines de la vie adoptent des approches très diverses, qu'elles soient ancrées dans la biologie, la biochimie ou la chimie3.
Un article paru en janvier 2011 dans la revue Physical Review arrive à la conclusion que le temps va s'arrêter d'ici 5 milliards d'années. Pour arriver à cette conclusion, les chercheurs ont étudié les implications de la théorie de l'inflation éternelle et l'existence de multivers associée à cette théorie.
Selon la théorie du Big Bang, qui est acceptée par presque tous les scientifiques, l'Univers était tout petit, plus petit qu'un atome. Puis il a commencé à enfler très rapidement pour atteindre son état actuel, près de 14 milliards d'années après. Aujourd'hui, il s'agrandit plus vite que jamais.
Il n'y a pas "d'extérieur" à l'Univers . L'Univers n'a donc pas de limite : tu peux partir en fusée aussi vite que tu veux (même plus vite que la lumière si tu veux) dans une direction quelconque pendant un temps très long, tu n'arriveras pas à sortir de l'Univers.
Et cette masse tend vers l'infini pour une vitesse égale à celle de la lumière. Autrement dit il est impossible d'atteindre cette vitesse parce qu'il faudrait appliquer une force infinie à l'objet pour y arriver. Pour des raisons de cohérence, on préfère dire que la masse est constante mais que l'inertie augmente.
Le vrai problème est que l'espace cosmologique est empli de fluctuations du vide émanant de la mécanique quantique. Or ces fluctuations devraient engendrer une accélération absolument gigantesque, démesurément plus élevées que celle observée ! Voila l'immense problème. Tout gravite, c'est le principe d'équivalence.
Dans la nouvelle étude, l'équipe de Riess évalue la constante de Hubble à une valeur de 74,03 km/s/Mpc (kilomètres par seconde par mégaparsec), plus ou moins 1,42.
Taille et Univers observable
À ce jour, aucune donnée scientifique ne permet de dire si l'Univers est fini ou infini. Certains théoriciens penchent pour un Univers infini, d'autres pour un Univers fini mais non borné. Un exemple d'Univers fini et non borné serait l'espace se refermant sur lui-même.
La plus grande galaxie connue à ce jour est une galaxie elliptique connue sous le nom de IC 1101. Elle se trouve à environ 1 milliard d'années-lumière de notre Terre, dans la constellation du Serpent. Son diamètre atteint les 6 millions d'années-lumière.
Il est aujourd'hui limité par la surface de dernière diffusion qui peut être définie, en première approximation, comme la région de l'espace d'où a été émis, environ 380 000 ans après le Big Bang, le rayonnement électromagnétique observé aujourd'hui, le fond diffus cosmologique.
Selon la théorie de la relativité générale, un Univers en expansion doit avoir commencé par un Big Bang, ce qui implique la finitude du temps, apparu simultanément avec l'espace et l'énergie-matière. Cette façon de voir s'est modifiée au cours des dernières années.
L'univers est composé de milliards d'étoiles et d'autres objets célestes tels les planètes, les comètes, les astéroïdes, etc. Tous ces corps se structurent en galaxies, amas et superamas. Cependant, à grande échelle, la structure de l'univers est dite « lacunaire » car celui-ci est en majorité constitué de vide.
L'équipe d'HOLiCOW a ainsi obtenu un taux d'expansion de 71.9 + ou - 2.7 kilomètres par seconde par mégaparsec (1 mégaparsec valant environ 3 millions d'années-lumière), ce qui veut dire que l'univers s'étend à une vitesse de 72 km/s, mais chaque fois qu'on s'éloigne de 3 millions d'années-lumière, sa vitesse d' ...
La matière est partout présente autour de nous. Elle est constituée d'atomes, eux-mêmes construits à partir de « briques plus petites », appelées particules élémentaires. L'origine de la matière présente sur Terre et dans l'Univers est expliquée aujourd'hui par le modèle du Big Bang.
L'Univers se désintégrerait dans une "grande déchirure" (big rip). Dans 0 à 30 milliards d'années, les galaxies se déchireraient, puis les systèmes solaires. Après quelques mois, étoiles et planètes exploseraient, puis les atomes. Le temps s'arrêterait. »
Les premières formes de vie qui ont peuplé la terre sont apparues dans l'eau, il y a 3,5 milliards d'années, Curio ! C'étaient des bactéries composées d'une seule cellule. Elles se sont peu à peu développées pour se transformer en êtres multicellulaires avec un noyau contenant leur ADN.
La Terre est une planète rocheuse du système solaire. Les conditions physico-chimiques qui y règnent permettent l'existence d'eau liquide et d'une atmosphère compatible avec la vie.
Cette première phase d'existence de la Terre (amas de poussières) aurait eu lieu il y a 4,5 milliards d'années. Lorsque cet amas atteint une taille suffisante (800 mètres de diamètre), sa masse est si importante qu'il aspire la poussière présente dans le disque environnant.