L'auteur reconnaît que l'URSS fut le principal soutien militaire et économique du Nord-Vietnam, qu'elle a mis à son service sa propagande pour dénoncer l'intervention américaine et qu'elle a refusée publiquement d'assurer une médiation entre les belligérants.
Les Américains justifient leur intervention militaire au Viêt Nam par la théorie des dominos, selon laquelle il fallait éviter le basculement d'un pays vers le communisme, car les pays voisins basculeraient à leur tour. Le but est de prévenir une future domination communiste du sud-est asiatique.
Les Chinois continuèrent à dénoncer l'« impérialisme social soviétique » et à accuser leur voisin de se poser en ennemi de la révolution mondiale, mais les Chinois, depuis 1972, cessent tout soutien aux groupes révolutionnaires et se prononcent en faveur d'une paix négociée dans la guerre du Viêt Nam.
La guerre d'Indochine s'est déroulée de 1946 à 1954. Le régime colonial imposé par la France à plusieurs pays asiatiques est à l'origine de ce conflit, qui a fait plus de 500.000 victimes et a notamment conduit à la scission du Vietnam.
Le non-respect des accords d'armistice (refus de Diem de les entériner en 1957), son pouvoir de plus en plus dictatorial et la création l'Organisation du Traité de l'Asie du Sud-Est (OTASE), un pacte défensif anticommuniste sous l'égide des États-Unis, englobant le Sud du Viêt Nam, conduisent à la création du Front ...
Les Français étaient peu nombreux en Indochine, qui n'était pas une colonie de peuplement mais en premier lieu une zone d'exploitation économique, grâce à ses nombreuses matières premières (hévéa, minerais, riz, etc.).
Les Vietcongs devenaient ainsi les soldats de la guerre froide par procuration. Pour ce chercheur, la principale raison de la défaite américaine se trouve dans le refus par les jeunes générations du "mourir pour le Vietnam", ce dogme de l'Amérique des politiciens.
Le Vietnam, alors partie d'un territoire qui s'appelait l'Indochine, était une colonie française depuis 1887. La guerre d'Indochine se déclare au lendemain de la Seconde Guerre mondiale. Elle oppose la France aux Vietminh, les indépendantistes vietnamiens dirigés par le parti communiste indochinois.
Les États-Unis inscrivirent ce conflit dans une logique de guerre froide en s'appuyant sur une stratégie anti-communiste. L'expansion du communisme devait être stoppée conformément à la doctrine américaine de l'endiguement, afin d'empêcher un « effet domino » en Asie du Sud-Est.
Lorsque commence, en 1946, la guerre d'Indochine, le déséquilibre des forces est flagrant. Le corps expéditionnaire français est important, doté de matériel moderne, face à des nationalistes sans grands moyens. Pourtant, la guerre révolutionnaire menée par le général Giap a conduit la France à la défaite.
Outre l'armement qui occupe une place importante dans leurs échanges commerciaux, les deux pays ont développé une coopération dans les hautes technologies (exemple de l'exploration spatiale), l'électronique, les télécommunications et l'énergie nucléaire.
Un rapprochement sino-russe a commencé en 1992, avec les deux pays déclarant qu'ils étaient à la poursuite d'un "partenariat constructif "; en 1996, ils ont progressé vers un «partenariat stratégique», et en 2001, ils ont signé un traité "d'amitié et de coopération".
Les soldats disposent alors de beaucoup moins de ressources que nécessaire. Et puis, il y a aussi le fait que la guerre, cela peut vite coûter très cher. Il faut une logistique imparable et celles des Russes est grippée par de nombreux éléments. L'Ukraine estime les pertes à plus de 500 milliards d'euros.
Après la défaite française de 1954, le Vietnam du nord est sous domination communiste et celui du sud se tourne vers les Occidentaux. Les communistes s'infiltrent de plus en plus dans le sud afin de le déstabiliser et de finir par s'en emparer. Le pays alors serait unifié.... par le communisme.
Ainsi, l'Indochine française regroupait ces trois pays de l'Asie du Sud-Est que sont aujourd'hui le Cambodge, le Laos et le Vietnam, sans oublier une portion de territoire chinois située dans l'actuelle province du Guangdong, le Kouang-Tchéou-Wan.
C'est la chute de Saigon, capitale du Sud-Vietnam, qui met un terme définitif aux affrontements entre les troupes vietnamiennes. Le 30 avril 1975, le camp soviétique prend Saigon et gagne la guerre du Vietnam.
Les États-Unis et la France sont de proches alliés
La France est l'ami et allié le plus ancien de l'Amérique. Notre relation repose sur notre engagement commun envers les mêmes valeurs – la démocratie, les droits de l'homme, la primauté du droit, la sécurité et la prospérité.
Les révolutionnaires ont donc envahi le sud. Ces derniers n'ont pas pu riposter puisqu'ils n'avaient plus le soutien financier et plus de soutien en armements, finalement, ils perdent. Les Etats-Unis ont ainsi perdu la guerre du Vietnam puisque les pro américains ont perdues.
La guerre débuta réellement avec le FNL (Front National de Libération), un mouvement militaire apparu au Vietnam du Sud, mais partageant l'idéologie communiste. Il entrera en guerre contre les dirigeants sud-vietnamiens et sera appuyé bien évidemment par le Vietnam du Nord.
Le premier danger auquel les touristes doivent se confronter lors d'un voyage au Vietnam est au niveau de l'alimentation et de l'eau. En effet, il faut savoir qu'il est possible de contracter des maladies très graves à cause d'une intoxication alimentaire ou encore en buvant une eau non potable.
Bien que le Vietnam ait été une colonie française de 1885 à 1946, soit durant une soixantaine d'années, c'est depuis le XVIIe siècle que la France était présente dans cette région.
De la domination chinoise à la colonisation française
Pendant plus d'un millénaire, le Vietnam est une possession de la Chine : la domination chinoise commence en 111 av. J. -C., quand la dynastie Han s'empare du royaume du Nam Viet.
À partir de 1961, le président américain John Fitzgerald Kennedy envoie sur place quelques troupes déguisées en conseillers militaires.
AK-47, AKM et Type 56 - armes prises à l'ennemi et utilisées par les forces sud-vietnamiennes et américaines.
Le non-respect de ces accords d'armistice a conduit à la guerre du Viêt Nam, que certains qualifient de deuxième guerre d'Indochine. En effet, les accords d'armistice de Genève ont transformé les deux zones de regroupement militaire temporaire en deux Viêt Nam.