Il est tout à fait naturel que l'enfant soit très proche de sa maman jusqu'à ses deux ans environ. Peu à peu, il va acquérir son autonomie à son rythme. On l'accompagne dans cette acquisition sans le brusquer, car ce besoin ne devient important que vers 18 mois.
Certains événements de la vie peuvent favoriser ce sentiment d'insécurité, comme une séparation des parents, un déménagement mal vécu, un deuil précoce ou un autre traumatisme comme une mère souvent absente ou très prise par son travail.
Un enfant préfère sa maman parce qu'il a vécu dans son ventre pendant quarante semaines ou plus. Pendant qu'il se développe, c'est elle qui lui donne des nutriments, de l'oxygène et qui le protège.
Pour se détacher, l'enfant doit d'abord s'être attaché, solidement et sans condition. Il peut ensuite oser se détacher sans inquiétude, de plus en plus souvent, de plus en plus longtemps.
Mais alors, qu'est-ce que les figures d'attachement ? Le spécialiste nous livre une définition : « Les figures d'attachement sont les différents adultes qui s'engagent durablement et dans des relations affectives avec un enfant, et qui essayent de répondre à ses besoins. »
Une maman compréhensive sait qu'elle ne peut vivre votre vie à votre place. Elle sait que vous allez sortir avec des personnes qui ne vous correspondent pas. Elle sait que parfois, la vie sera dure. Mais à chaque fois que vous commettez une erreur, elle sera là pour essuyer vos larmes.
Voilà : les mamans sont aussi des mentors, des guides qui partagent leur savoir. Elles encouragent leurs enfants à faire des choses, qu'hier encore, ils étaient incapables de faire. « On aime les mamans, parce qu'on peut faire dodo avec elles, lance Béatrice. » L'idée semble plaire puisque tous approuvent avec vigueur.
À partir de 3 ou 4 ans, un enfant peut vivre une passion exclusive vis-à-vis de son parent du sexe opposé. Il s'agit d'une étape normale du développement des enfants appelée le complexe d'Œdipe. Cette passion pour le parent de l'autre sexe amène d'ailleurs souvent le tout-petit à exclure l'autre parent.
L'aliénation parentale se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre à des comportements aliénants, influençant l'esprit de l'enfant afin de favoriser chez lui le rejet injustifié et la désaffection à l'égard de l'autre parent.
Attachement excessif, surprotection pendant l'enfance, intrusion dans sa vie d'adulte ou rivalité avec sa compagne, ces signaux indiquent une relation fusionnelle entre une maman et son fils.
Le nom « Terrible two » (de l'anglais « terribles 2 ans ») désigne la phase d'opposition qui commence vers l'âge de 18 mois et peut durer jusqu'aux 3-4 ans de l'enfant. Bien qu'elle prenne souvent les parents au dépourvu, cette période constitue une étape importante dans le développement psycho-affectif de l'enfant.
Un tout-petit réagit parfois en frappant et en hurlant lorsqu'il est frustré par une limite. C'est parce qu'il a encore peu de contrôle sur lui-même et parce qu'il maîtrise mal les mots pour exprimer ses émotions. En grandissant, il apprendra peu à peu à mieux se contrôler.
Par conséquent, il est fortement conseillé de systématiquement garder les traces écrites, SMS ou courriels, démontrant la nature manipulatrice, changeante et parfois colérique, de sa compagne ou de son compagnon. Ce sont alors ces preuves qui permettront de démontrer la manipulation et la violence des propos.
L'aliénation parentale se décrit comme un phénomène dans lequel un des parents se livre à des comportements aliénants, influançant l'esprit de l'enfant afin de favoriser chez lui le rejet injustifié et la désaffection à l'égard de l'autre parent.
Une petite fille a besoin de voir ses parents qui s'aiment et se désirent, indispensable pour qu'elle puisse à son tour devenir aimée et aimante. Grâce à son père qui lui aura montré la voie, elle souhaitera, elle aussi vivre une relation remplie d'amour et de désir, à l'instar de celle vécue par ses parents.
C'est généralement vers l'âge de 4 ou 5 ans qu'un enfant peut commencer à vivre ce que l'on appelle communément le complexe d'Oedipe, c'est à dire tomber amoureux, de manière plus ou moins intense, du parent de sexe opposé.
Dites-lui que vous êtes sincèrement désolé.
Ne le dites pas sur un ton narquois ou sarcastique. Vous n'êtes pas obligé de vous excuser si vous pensez n'avoir rien fait de mal, mais ne vous attendez pas à ce qu'elle vous pardonne dans un futur proche.
Dans une relation fusionnelle, il y a en fait un cordon ombilical virtuel, ancré au moment de la préadolescence, entre la mère et la fille. Elles sont en effet toutes les deux en contact permanent même lorsque cela est inutile. Elles sont ainsi capables de s'envoyer 300 SMS par jour.
Être une “bonne mère”, c'est laisser une place au père
Au père ensuite de se montrer suffisamment présent avec ses enfants pour, à la fois les protéger avec affection (poser des limites, des interdits), mais également les “ouvrir” au monde extérieur...
Réfléchissez avant de parler
Même si vous vous sentez proche de votre enfant, être complètement honnête n'est pas toujours la meilleure façon de l'aider. Écoutez d'abord. Parlez ensuite comme si c'était un ami.
Une mère toxique est une mère qui empoisonne la vie de son enfant en ayant recours à la manipulation, la domination ou encore la violence. Les traumatismes émotionnels sont difficiles à porter pour l'enfant devenu adulte.
Ils ne ressentent aucune empathie. Ils exigent toujours de l'attention. Ils ne sont jamais satisfaits, en veulent de plus en plus. Comme ce sont des gens assez compliqués, vivre avec un narcissique est souvent épuisant, surtout pour ceux qui sont émotionnellement dépendants ou qui ont des problèmes d'estime de soi.