Le temps de maturation, également appelé le steep dans la vape, est une étape essentielle lors de la fabrication d'e-liquides DIY. La phase de steeping permet aux arômes d'atteindre leur maturation et de développer leurs saveurs dans la base PG/VG. L'e-liquide maison s'homogénéise et son goût devient plus harmonieux.
Méthode très simple, avec un bac à ultrasons, il faudra y laisser votre e-liquide durant 1h. Et n'imaginez pas secouer comme une brute votre flacon durant des heures, vous pouvez cependant secouer énergiquement votre fiole tous les jours afin de bien homogénéiser votre liquide de cigarette électronique.
La chaleur peut accélérer les réactions chimiques entre les différentes molécules et donc diminuer le temps d'attente pour la macération de vos DIY eliquides. A la maison, une simple tablette (flacons dessus) posée sur un radiateur peut faire l'affaire.
Le voyant lumineux au bout de votre cigarette qui s'allume en bleu quand vous tirer se met à clignoter. Alors la puff jetable est fini. Si vous sentez lors de la vape une altération du goût (brulé) c'est que votre réservoir n'a plus d'eliquide même s'l vous reste encore de l'autonomie dans votre batterie.
Trop jeune, les molécules ne sont pas assez mélangées et le e-liquide manque de goût. Trop vieux, le e-liquide peut devenir fade, changer légèrement de goût et de texture. L'astuce si le e-liquide est neuf, est de bien secouer le flacon et de le laisser ouvert un temps (de quelques heures à 1 ou 2 jours).
Les eliquides à éviter dans la vape
Diacétyle : produit chimique nocif et très dangereux, à éviter pour vapoter. Parabène : perturbateur endocrinien qui augmente les risques de cancers. Ambrox : produit qui produit une odeur qui ressemble à celle du tabac, mais qui n'est pas faite pour être inhalée.
La perte du goût, la bouche sèche, la peau très sèche, la fatigue, les palpitations, la nausée, le mal de tête sont des signes que vous vapotez trop avec votre cigarette électronique. Un vapotage excessif peut être causé par une surdose de nicotine.
Une batterie mal réglée
En dessous du wattage préconisé, la résistance peut fuir. Si elle est utilisée au-dessus, elle vaporise le liquide trop vite et donne ce fameux goût de brûlé. La plage de puissance est souvent indiquée sur la résistance ou, à défaut, sur sa boîte.
Et même sans nicotine, les Puff restent-elles néfastes ? Oui, répond le vice-président du CNCT. "Le e-liquid qui permet de générer de la fumée n'est pas toxique, mais on ne peut pas dire qu'il est sain. Il est potentiellement dommageable de s'habituer à ces dispositifs en dehors d'un sevrage tabagique".
L'inhalation de substances chimiques nocives qui se dégagent des produits du vapotage peut causer des dommages irréversibles (ne pouvant pas être guéris) aux poumons, des maladies pulmonaires et, dans certains cas, le décès.
La température idéale de conservation d'un e liquide se situe entre 18 et 20°. En dessous de cette température, la collision entre les molécules de votre e liquide va se figer petit à petit et ralentir le processus ce qui permet de conserver un e liquide plus longtemps.
La préparation
Utilisez la seringue ou une pipette pour remplir votre flacon vide de base (exemple : pour 10ml de e-liquide, mettre 9.5ml de base et garder les 0.5ml restant pour l'arôme). Utilisez des gants pour manipuler votre base si vous utilisez de la nicotine. Cette dernière doit être manipulée avec précaution.
Pour vos liquides déjà préparés il est indispensable de les conserver à l'abri de la lumière (des UV surtout), de la chaleur, pas plus de 18°C. Les liquides se conservent un an avant de commencer un long processus de perte de goût.
Prenons l'exemple d'une base déjà dosée à 11 mg/mL. Je souhaite la modifier pour obtenir du 3 mg/mL. Il me faudra toujours mes 3000 mg de nicotine dans ce litre. Une base en 11 mg/mL contient 11 mg de nicotine par millilitre, il me faudra donc (3000/11 = 272) 272 mL de cette base pour obtenir mes 3000 mg désirés.
La maladie pulmonaire associée au vapotage (MPAV) est une maladie respiratoire aiguë caractérisée par des lésions pulmonaires causées par l'usage personnel de certains produits de vapotage.
Nous mettons fin à un mythe : la cigarette électronique ne fait pas maigrir, en tout cas pas en soi. En fait, le passage à la cigarette électronique s'accompagne d'un effet psychologique qui, lui, se trouve à l'origine de la perte de poids. Vapoter ne suffit donc pas pour perdre quelques kilos.
Vapoter n'est pas dangereux pour la santé. Au contraire, si vous fumez, vous préservez votre santé en passant au vapotage. La cigarette électronique ne comporte aucun danger supplémentaire par rapport au tabac. Sa vapeur est même 95% meilleure que la fumée d'une cigarette classique.
Elle est donc dangereuse. Mais le risque est faible : une résistance brûlée offre une vape extrêmement désagréable, au goût immonde et qui brûle la gorge, aussi, le risque que le vapoteur l'utilise assez longtemps pour inhaler une dose de formaldéhyde suffisante au déclenchement d'un cancer est très bas.
Ce terme anglais signifie « coup sec ». En quelque sorte vous vapotez quelque chose de sec, semblable à de la fumée mais ce n'est pas la vapeur de votre e-liquide… Le dry hit survient lorsque le coton de votre résistance n'est plus alimenté en e-liquide.
Ce pneumologue et tabacologue estime que "la cigarette électronique est innocente" contrairement aux produits inhalés. "Des gens, par mésusage manifeste, mettent de façon aberrante de l'extrait huileux de cannabis dans les cigarettes électroniques. Cela fait comme de la mayonnaise et cela détruit les poumons.
Le vapotage ne fait pas grossir. Il n'y a aucun lien entre la cigarette électronique et la prise de poids. Les quelques kilos en trop qui peuvent apparaître lors du passage du tabac à la vapeur sont liés à l'arrêt du tabac et plus précisément à l'arrêt de la consommation de nicotine.
La vapoteuse n'occasionne pas de dégradation sur vos dents, mais elle peut être responsable de légère coloration et de taches. Pour réduire les risques de jaunissement, vous devez simplement nettoyer régulièrement votre embout buccal.
La vapeur produite contient moins de substances nocives et dans une quantité bien moins élevée que la fumée d'une cigarette classique (lors d'une utilisation correcte). Par conséquent, on suppose que vapoter est vraisemblablement moins nocif que fumer, mais ce n'est pas complètement sans danger.