Attention, les remèdes les plus familiers peuvent parfois s'avérer les plus dangereux. L'Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM) met à nouveau en garde contre l'ibuprofène et le kétoprofène qui comptent parmi les médicaments les plus vendus en France.
A la dose utilisée dans les maladies inflammatoires, le risque le plus faible est observé avec l'ibuprofène puis le diclofénac, l'indométacine, le naproxène et le piroxicam.
Mieux vaut éviter de prendre des anti-inflammatoires en cas d'infection. S'ils soulagent efficacement la douleur et la fièvre, l'ibuprofène et le kétoprofène exposent à des risques de complications infectieuses parfois graves.
Il est important de noter que dans un contexte d'infection (angine, otite, varicelle, toux, rhinopharyngite chez l'enfant ou chez l'adulte, etc.), l'utilisation des AINS (et particulièrement l'ibuprofène et le kétoprofène) doit être évitée en raison du risque de survenue de complications infectieuses graves.
Une prise trop régulière ou trop importante d'anti-inflammatoire met en danger la santé pour le sportif, mais également celle des personnes sédentaires. Les effets secondaires peuvent engendrer à leur tour des maladies bien plus grâce que l'inflammation que l'on cherche à réduire.
Le curcuma, l'épice anti-inflammatoire reconnue
La recherche suggère que la curcumine peut aider à la gestion des conditions oxydatives et inflammatoires, du syndrome métabolique, de l'arthrite, de l'anxiété et de l'hyperlipidémie.
Les fruits rouges (framboises, myrtilles, fraises, groseilles…) sont particulièrement intéressants pour combattre l'inflammation grâce à leur forte teneur en anthocyanes, des pigments à l'action anti-inflammatoire.
L'ibuprophène (Advil, Nurofen, etc.) est plus efficace contre certains types de douleurs, comme les rages de dents et les entorses, que le paracétamol et présente un peu moins d'effets secondaires que l'aspirine.
L'oxycodone est aussi puissante que la morphine. Elle est utilisée pour les douleurs rebelles notamment d'origine cancéreuse. La buprénorphine est trente fois plus puissante que la morphine.
Les principaux actifs anti inflammatoires sont le diclofenac, l'acide niflumique et l'ibuprofene. Le diclofenac, se trouve dans Antacalm, Diclofenac Mylan, les médicaments des gammes Voltaren et Flector.
Les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) peuvent aider à soulager la douleur et l'inflammation. La famille des AINS comprend l'ibuprofène (par exemple, Advil® et Motrin®), le kétoprofène (par exemple, Actron® et Orudis®) et le naproxène (par exemple, Anaprox® et Naproxen®).
Ibuprofène (Advil®, Nurofen®). Diclofénac (Voltarène®, Flexor®). Kétoprofène (Kétum®). Acide acétylsalicylique (Aspirine®, Aspegic®).
Contrairement à l'advil ou l'aspirine, le Dafalgan n'est pas un anti-inflammatoire, le principe actif est différent de ces deux autres spécialités. Le médicament Dafalgan est un antipyrétique et un antalgique dont la substance active est le paracétamol.
Prendre soin de sa peau : la peau de banane présente un effet hydratant, anti-âge et cicatrisant. Elle possède aussi des propriétés antimicrobiennes, antioxydantes et anti-inflammatoires.
Les brocolis. Tout comme les fruits, les légumes comme le brocoli sont riches en fibres et en antioxydant. La plupart possèdent très peu de sucre ce qui est un plus pour réduire l'inflammation.
Le tabagisme, l'hypertension artérielle ou certaines maladies auto-immunes touchant par exemple la thyroïde, sont également en mesure d'engendrer une inflammation chronique, tout comme l'obésité, la sédentarité ou le stress.
L'huile d'arnica est anti-inflammatoire et cicatrisante. Appliquée localement, elle peut être utilisée pour calmer certaines douleurs (dos, entorses…) et empêche l'apparition d'ecchymoses.
Un bain à l'eau tiède, les compresses chaudes et les bouillottes contribuent à apaiser les douleurs et spasmes musculaires et la raideur articulaire. Demandez au médecin de vous fournir des directives sur l'utilisation de la chaleur. N'appliquez pas de chaleur sur les nouvelles blessures ou plaies chirurgicales.