La porosité est la conséquence naturelle de la quantité d'eau mise en plus de celle nécessaire à l'hydratation et des vides éventuels présents dans les granulats. Lorsque le béton manque de densité, il souffre des aléas du temps. Il devient poreux, voire friable, et se désagrège.
La poussière apparait quand la surface du béton n'est pas assez résistante et qu'elle est friable et poreuse. Une surface poreuse est faible et fragile et peut produire encore plus de poussière. Plus la surface du béton est fragile, plus le risque de farinage augmente.
Pour cela l'utilisation d'un fixateur sera nécéssaire. Ce primaire d'imprégnation pénètre en profondeur, améliore l'adhérence, et durcit les fonds. Il s'applique sur tous matériaux courants de construction (Béton, mortier, enduit, brique, terre cuite, pierre, plâtre) et laisse respirer le support.
Réaliser du ragréage : c'est la solution la plus courante pour rattraper une chape qui s'effrite. Il s'agit d'appliquer une fine couche de mortier sur la chape existante pour combler les fissures et créer une surface lisse et plane.
Réaliser une reprise de bétonnage consiste à bétonner un béton frais au contact d'un béton durci, afin d'assurer une continuité esthétique ou mécanique entre les deux bétons. Les zones de reprise de bétonnage sont déterminées lors de la conception de l'ouvrage et précisées sur les plans d'exécution.
Retardateurs de prise. Les retardateurs de prise ont pour fonction principale d'augmenter le temps de début de prise du ciment. Ils augmentent le temps de début de transition du mélange pour passer de l'état plastique à l'état rigide. Ils permettent aussi de réguler le dégagement de chaleur dû à l'hydratation du ciment ...
La prise et le durcissement du béton sont retardés par une baisse de la température. En conséquence, les résistances du béton soumis à des basses températures sont très faibles, même au bout de quelques jours. Il convient donc d'augmenter, en cas de faibles températures, les délais de décoffrage.
La façon la plus efficace d'assurer une très bonne adhérence est d'appliquer une couche d'accrochage ou « barbotine ». Il s'agit simplement d'une couche très humide obtenue en mélangeant le produit de réparation avec de l'eau.
Le béton, ou plutôt le ciment qu'il contient, ne "sèche" pas par déshydratation (= par évaporation), mais est l'objet de réactions chimiques qui font intervenir l'eau. L'eau est un réactif, à doser judicieusement dans les applications courantes. Le béton "prend" (durcit), sous la pluie et même immergé.
Le dosage standard à connaître est le suivant : 1 volume de ciment + 2 volumes de sable + 3 volumes de gravier + 0,5 volume d'eau.
Un morceau de béton placé à l'air libre a tendance à se rétracter durant son durcissement. Cette rétraction est due à l'évaporation d'une partie de l'eau contenue dans le béton. Des fissures se forment lorsque les forces de rétraction sont supérieures à la résistance du béton.
Pour durcir ce support, appliquer le produit DURCIR MUR au pinceau ou au rouleau, en une seule couche abondante et jusqu'à saturation. Laisser sécher 24 heures avant d'appliquer un enduit, une peinture ou un revêtement décoratif (papier peint, etc...).
Pour faire simple, les experts conseillent d'associer un volume de ciment avec 3 volumes de sable et un demi-volume d'eau. C'est le dosage standard qui répond à la question comment faire du mortier.
L'utilisation d'un durcisseur de surface (communément appelé « Dry-shake » ou durcisseur à saupoudrer) est l'un des moyens les plus efficaces pour protéger la surface et prolonger la vie du sol.
Les causes les plus fréquentes sont : Vous avez utilisé une huile de décoffrage inadéquate. Si vous n'utilisez pas l'huile adaptée au type de béton que vous produisez, ce dernier ne pourra pas être correctement démoulé.
Un mélange inadéquat peut donner un mortier qui n'est pas assez solide pour adhérer à la surface. L'utilisation d'un mortier qui ne correspond pas à l'usage prévu peut entraîner des problèmes d'adhérence.
Problème de dosage des composants. Un dosage incorrect des composants du mortier peut nuire à la prise et à l'adhérence. Chaque type de travaux requiert un ratio bien précis de ciment, sable et eau, et tout excès ou manque peut être préjudiciable.
Le durcissement du ciment à séchage rapide commence approximativement 5 minutes après sa préparation, il est donc recommandé de préparer au préalable la surface d'application. Bien qu'il atteigne sa résistance mécanique après 28 jours, il parvient à durcir régulièrement dès les 20 premières minutes.
La température du béton frais ne doit, pendant la mise en œuvre, jamais descendre en dessous de +5 °C. (Pour les éléments de construction minces et élancés et par des températures de +3 °C et plus basses, la norme exige une température du béton frais de +10 °C qui doit être maintenue durant 3 jours!).
Le rôle de la cure du béton est important car la cure permet de minimiser l'évaporation lors du début de la phase de prise du béton. Un manque d'eau dans le béton entraîne une diminution des liaisons chimiques internes, des forces de cohésion entre les éléments du béton, et diminue ainsi la résistance du béton.
L'association d'un sucre ou d'un sucre oxydé et d'un sucre hydrogéné au sein de cette composition permet l'obtention d'effets de synergie, en particulier en termes de plasticité et de propriétés mécaniques des liants minéraux.
De nombreuses alternatives au ciment de béton existent pourtant depuis plusieurs années, comme le béton de chanvre et le béton de lin, tout à fait écologiques et aux propriétés isolantes bien supérieures à leur rival.
Pouzzolane. La pouzzolane est une roche naturelle d'origine volcanique. Sa composition riche en silice, alumine et autres minéraux lui permet naturellement d'entraîner une réaction similaire au clinker et d'être considérée comme une alternative possible pour fabriquer du ciment.