Un trouble de l'écriture peut se manifester par une simple maladresse, de vraies douleurs physiques ou même un refus catégorique d'écrire. Si ces difficultés deviennent gênantes au quotidien pour votre enfant, et en particulier à l'école, il faut éviter de laisser une dysgraphie s'installer.
Si votre enfant est diagnostiqué comme dysgraphique, il va falloir passer par une rééducation pour lui permettre de surmonter son trouble. Pour cela, il faut consulter régulièrement un orthophoniste, notamment si sa dysgraphie provient principalement d'un trouble d'ordre linguistique.
pratiquer le geste d'une lettre plus difficile dans une fenêtre avec un crayon effaçable, dans le sable, etc.; féliciter ses efforts et ses progrès; mettre l'accent sur le fait que l'écriture est une autre extraordinaire manière de communiquer; etc.
Les orthophonistes ont des attributions très larges. Ils peuvent traiter aussi bien les troubles de la déglutition que le bégaiement, les problèmes d'aphasie de la personne âgée que la dyslexie, les défauts de prononciation ou même les difficultés en mathématiques.
Les troubles du langage écrit (dyslexie, dysorthographie et dysgraphie) se manifestent par des confusions et inversions de sons et de lettres, des fautes d'orthographe, voire une écriture lente et illisible. Ils sont repérables très tôt par l'entourage familial et scolaire.
La reconnaissance des lettres capitales est nécessaire pour l'écriture au clavier, les lettres scriptes pour la lecture, et la cursive pour l'écriture manuscrite, type de graphie qui relève d'un choix culturel propre à notre histoire nationale.
Un trouble de l'écriture peut se manifester par une simple maladresse, de vraies douleurs physiques ou même un refus catégorique d'écrire. Si ces difficultés deviennent gênantes au quotidien pour votre enfant, et en particulier à l'école, il faut éviter de laisser une dysgraphie s'installer.
La rééducation de l'écriture demande une observation attentive des anomalies de l'écriture afin d'en cerner l'origine. Pour une rééducation de l'écriture selon la méthode Danièle Dumont, il faut compter 4 à 6 séances en moyenne, entrecoupées d'exercices quotidiens de plus ou moins 1/4 d'heure.
Comme pour la dyslexie, la recherche d'une dysgraphie nécessite un bilan. Ce bilan est généralement passé chez un ergothérapeute, un psychomotricien ou chez un graphothérapeute.
En écrivant régulièrement et le plus souvent possible, et de préférence dès le plus jeune âge. Pour améliorer son écriture, il faut écrire souvent. C'est un peu comme en sport, on ne progresse pas en regardant les autres, mais en pratiquant régulièrement !
La dysgraphie est un trouble qui affecte l'écriture et son tracé (du grec dus- difficulté et graphein- écriture). L'écriture manuelle est soit trop lente, soit illisible, soit fatigante, demandant dans tous les cas un effort cognitif majeur.
#1 – Lire. Si progresser à l'écrit vous tient à cœur, vous devriez considérer la lecture comme un véritable exercice, non pas comme un simple loisir. Il n'y a pas de secret, pour bien écrire vous devez faire partie des (rares) personnes qui lisent une pléthore de livres ou d'articles chaque mois.
Le trouble primaire du langage oral, ou la dysphasie, est un trouble neurodéveloppemental du langage qui affecte la compréhension et/ou l'expression d'un message verbal, peu importe la modalité de présentation, langage oral ou écrit. La dysphasie est un trouble.
La dyspraxie est une perturbation de la capacité à effectuer certains gestes et activités volontaires (nommé praxie). Ce trouble des apprentissages résulte d'un dysfonctionnement de la zone cérébrale qui commande la motricité. La dyspraxie est fréquente et touche 5 à 7 % des enfants de 5-11 ans.
Comment aider un enfant à écrire correctement ? En lui faisant travailler sa motricité fine, pardi ! Pour l'entraîner à faire des mouvements précis à l'aide de ses doigts, proposez-lui de la pâte à modeler, des jeux de découpage et même… de faire la cuisine !
Pour vous entrainer, le moyen le plus simple est d'écrire des phrases dans l'air avec votre doigt. Cela vous forcera à utiliser les groupes de muscles de votre bras et de votre épaule qui vous permettront de développer une écriture plus lisible et plus fluide. Ajustez la prise de votre stylo.
Ainsi, de nombreux enfants à haut potentiel pensent très vite et le stylo ne peut pas suivre le rythme de leur pensée. Ces dysgraphies pourraient donc découler d'un décalage entre la vitesse de pensée et la rapidité du geste d'écriture.
Des facteurs génétiques sont impliqués car on retrouve plus fréquemment des troubles du développement du langage oral ou des difficultés d'apprentissage du langage écrit chez les parents et /ou les membres de la fratrie de l'enfant dysphasique.
L'explication qui revient le plus souvent est que cela est dû aux longues années d'étude avec des cours qui allaient vite. «Il fallait qu'on s'en sorte pour prendre des notes, raconte le Dr Christine Deneauve, médecin du travail. On utilisait des signes grecs pour aller plus vite».
Pour apprendre à écrire les lettres avec la méthode Montessori, choisissez dans un premier temps 3 lettres aux formes et sons bien distincts, puis présentez-les-lui une à une en prononçant leur son (et non leur nom). Ensuite, demandez-lui de montrer la lettre qui correspond au son « mmm » ou « sss », entre autres.
Prenez le temps chaque jour de discuter avec votre enfant.
Plus votre enfant utilisera et comprendra les mots à l'oral, mieux il les utilisera pour lire et écrire. Pour cette raison, laissez-le exprimer ses sentiments et posez-lui des questions pour l'aider à mieux expliquer ce qu'il veut dire.