Un enfant peut se sentir submergé par le stress et l'anxiété, que ce soit à l'école ou dans sa vie personnelle. Cela peut le pousser à être plus agressif ou méchant avec les personnes qui lui sont proches, y compris ses parents.
Il ose moins se confier, se « lâcher ». Ce comportement a tendance à provoquer une décharge émotionnelle en fin de journée, face aux parents. Il arrive que l'enfant s'énerve pour un rien, cherche à désobéir ou à transgresser les règles.
C'est du stress si l'enfant est désorganisé, ne sait pas lui-même ce qu'il veut, se roule par terre et que ses membres partent dans tous les sens. Dans ces moments-là, la meilleure chose à faire est de contenir avec douceur l'enfant dans ses bras. Il a besoin d'être rassuré.
Un comportement agressif ou inapproprié fait partie du développement normal d'un enfant. Cela répond à ses besoins d'explorer l'environnement, de garder ses premières relations personnelles ou de laisser libre cours à son infinie imagination.
Les causes de l'agressivité
Un enfant agressif peut l'être parce qu'il se sent rejeté, en manque d'attention. L'arrivée d'un bébé dans la famille, par exemple, peut être source d'angoisse et de frustration. Il peut dès lors développer de la colère et adopter un comportement qui attirera l'attention sur lui.
Une perturbation sociale et affective persistante, accompagnée d'au moins deux des comportements suivants : absence d'attention aux autres, affect positif limité, comme le plaisir ou l'émerveillement, épisodes inexpliqués d'irritabilité, de tristesse ou de peur lors d'interactions avec des adultes non menaçants.
L'agressivité fait partie de la croissance normale et ordinaire des enfants. Avant l'âge de 3 ans, c'est souvent une impulsion qui est à l'origine de l'agressivité et non le désir de blesser quelqu'un. L'enfant est en apprentissage de la maîtrise de ses émotions.
Tout d'abord, il faut que l'enfant sache que ce qu'il fait est interdit. Aussi, si l'enfant fait une bêtise pour la première fois, il faut commencer par lui expliquer que ce qu'il fait est mal. Si l'enfant récidive, il faut le punir. La punition doit être adaptée à l'âge de l'enfant et à la gravité de la bêtise.
Un tout-petit réagit parfois en frappant et en hurlant lorsqu'il est frustré par une limite. C'est parce qu'il a encore peu de contrôle sur lui-même et parce qu'il maîtrise mal les mots pour exprimer ses émotions. En grandissant, il apprendra peu à peu à mieux se contrôler.
Cela se traduit par de l'anxiété, du stress, des crises de colère et le fait de ne plus supporter ses enfants. Si la situation paraît irrémédiable, il est important d'en parler et d'agir pour retrouver un équilibre au sein du foyer.
De la fermeté sans s'énerver
Si par exemple on demande à un enfant de ne pas mettre ses pieds sur la table, il faut le dire avec fermeté car cela va le rassurer et renforcer son estime de lui-même. Il va l'interpréter comme un message lui indiquant qu'il est apte et capable de vivre avec les autres.
Le burn out maternel peut être défini par un syndrome d'épuisement maternel, vécu par la femme dans son rôle de maman. "Les mères se disent submergées par la fatigue, aussi bien physique que psychologique, inhérente à la gestion du quotidien et de l'enfant.
moins on les voit souvent
Plus on part tôt du foyer parental, moins on voit ses parents ensuite (figure 1). Parmi les enfants partis avant 20 ans, 35% voient leur mère au moins une fois par semaine et 33% leur père, alors que ceux partis entre 26 et 29 ans sont 58 % à voir leur mère et 56 % leur père.
Le trouble d'attachement est un trouble qui se caractérise par des difficultés dans la création et le maintien des relations sociales saines.
La punition doit avoir un sens, le but n'étant pas de rendre l'enfant triste sans lui faire comprendre la raison de sa punition. Au contraire, la punition doit donner un sens à sa faute afin qu'il ne recommence plus.
La fessée et les autres punitions corporelles, comme secouer, gifler, taper ou pincer, ont des effets négatifs sur le développement psychologique et social d'un enfant.
Il s'agit de lui signifier en prenant une grosse voix et en faisant les gros yeux que ce qu'il a fait n'était pas bien et qu'il ne doit pas recommencer. Cette admonestation ferme et sévère du parent, mais sans excès et sans que cela dure trop longtemps, constitue à elle seule une punition pour le petit enfant !
Ils ont tendance à dramatiser des problèmes, même mineurs, et à voir toute légèreté possible comme une raison de devenir hostile, en colère, verbalement abusif ou destructeur. Manque d'empathie - la personne ou le parent toxique n'est pas capable de sympathiser avec les autres.
Besoin d'expression émotionnelle
Parfois, taper peut représenter une tentative de libération de la colère, de la tristesse, de l'anxiété ou de la confusion qu'ils ressentent. Enseigner des méthodes alternatives et saines pour exprimer ces émotions à son enfant est donc essentiel.
Cela peut être par manque d'attention. Votre enfant veut vous faire comprendre que vous ne lui accordez pas assez d'attention. Mais aussi dû à un non-contrôle de sa surexcitation.
Sur le plan émotionnel, il exprime moins de joie au quotidien. Parfois, il peut être plus en recherche d'attention, de contact physique. Il peut aussi régresser dans ses acquis et demander de l'aide pour s'habiller, se laver ou encore faire de nouveau pipi au lit alors que ce n'était pas arrivé depuis longtemps.
Si les crises de colère occasionnelles ne signifient pas forcément que votre enfant a un problème, il faut s'inquiéter lorsque sa colère est fréquente et s'accompagne de comportements agressifs et violents.
Que signifient ces rejets infantiles ? Ils peuvent avoir plusieurs causes, et perdurer ou s'aggraver du fait d'une réaction parentale mal calibrée. Le plus souvent, il s'agit de simples « jeux relationnels », d'expériences de vie que fait l'enfant. Il découvre les relations, les teste, vérifie leurs limites...
Par conséquent, les types d'attachement qu'Ainsworth a identifiés dans son expérience s'appliquent également aux relations amoureuses. Il s'agit de l'attachement anxieux, de l'attachement évitant et de l'attachement sécurisant.