Dans celui-ci, la figure est parfois involontaire comme dans l'expression « monter en haut » et cette faute devient une périssologie. Le contraire du pléonasme est l'oxymore.
Il est tout à fait possible de monter en bas. En bas résilles par exemple. Tu peux ainsi le dire, oui, mais il y a quand même le niveau bas et haut. Pour les personnages, soit il descend en bas, ou alors il monte en haut.
Les pléonasmes sont généralement identifiés comme tels : que l'on dise monter en haut ou descendre en bas, et l'auditoire se mettra à rire. Mais tous les pléonasmes ne sont pas aussi transparents que ceux-là.
Les termes «moi» et «personnellement» se suffisent à eux-mêmes. Ils désignent tous deux ce qui se rapporte à «soi-même» et à personne d'autre. Évitez donc ce pléonasme, qui pourrait de plus vous faire passer comme un personnage égocentrique…
Les expressions descendre en bas et monter en haut sont considérées comme pléonastiques. En effet, descendre exprime en soi l'idée d'un mouvement qui va vers le bas. De même, monter exprime déjà l'idée d'un mouvement qui va vers le haut.
Quand le pléonasme n'ajoute rien à la force ou à la grâce du discours, il est dit « vicieux ». On distingue, ainsi qu'il est mentionné plus haut, le pléonasme sémantique et le pléonnasme syntaxique. Pour éviter toute superfluité de mots, on doit : se garder d'employer dans la même phrase des adverbes de sens identique.
Le pléonasme est une figure de style qui définit la redondance d'une information en associant deux mots de même sens. Souvent confondu avec la tautologie, le pléonasme est considéré comme une faute là où la tautologie renforce l'expression d'une pensée.
Une redondance aussi dans « Aujourd'hui »
Autre raison pour laquelle on ne doit pas dire cette expression : le mot « aujourd'hui » est lui-même un pléonasme. Le « hui » à la fin du mot signifie en ancien français « en ce jour ». À ce jour, on a gardé cette construction.
Le contraire de l'oxymore est le pléonasme, figure de style qui consiste à utiliser deux termes de même sens, alors que l'oxymore rapproche deux termes de sens contraire.
Qu'est-ce qu'une tautologie ? En termes grammaticaux, une tautologie est quand vous utilisez différents mots pour répéter la même idée. Par exemple, la phrase “C'était assez adéquat” est une tautologie. Les mots “assez” et””adéquat” sont deux mots qui portent le même sens.
Participe passé du verbe occire, synonyme d'assassiner ou de tuer. Exemple : Il fut occis par son pire ennemi.
Le but de l'usage de l'oxymore est de créer la surprise chez le lecteur. L'oxymore permet d'exprimer ce qui n'est pas concevable et permet aussi de rendre compte de ce qui est absurde.
Les paronymes sont des mots qui se ressemblent dans leur prononciation et dans leur orthographe, mais dont le sens est différent.
Le pléonasme consiste à répéter des termes et des expressions ayant le même sens afin de créer un effet d'insistance. Cette figure ne s'effectue pas nécessairement avec des synonymes, contrairement à la redondance.
pléonasme
Répétition dans un même énoncé de mots ayant le même sens, soit par maladresse (par exemple descendre en bas), soit dans une intention stylistique (par exempleJe l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux, vu [Molière]).
Redondance/pléonasme
On peut différencier facilement la redondance du pléonasme. La première porte sur les phrases et parties de phrase, tandis que le second se limite aux mots. Par exemple, les expressions suivantes sont des pléonasmes : première priorité
La litote consiste donc à dire moins pour suggérer plus. La plus connue est contenue dans Le Cid de Corneille. Dans l'acte III, scène IV, Chimène s'adresse à Rodrigue en ces termes : « Va, je ne te hais point ! », pour lui signifier qu'elle l'aime encore.
L'antiphrase (substantif féminin), du grec antiphrasis, de anti- préfixe (« contre ») et phrasis (« action d'exprimer par la parole »), est une figure de style qui consiste à employer, par ironie ou par euphémisme, un mot, une locution ou une phrase, dans un sens contraire à sa véritable signification.
Un paradoxe, du grec para, « contre », et doxa, « opinion », est une idée qui va à l'encontre de l'opinion commune. Cette figure de style repose sur le rapprochement de mots opposés (antithèse) au sein d'une expression dépourvue de sens logique…
Occis est un terme qui vient du latin occisus, lequel dérive, à son tour, de occidere (« tuer »). Un occis est donc un défunt, celui qui a été tué violemment voire brutalement.
Tuer, faire mourir.
Tuer, trucider, zigouiller, c'est-à-dire ôter la vie de manière violente de façon concrète ou figurée. Exemple : Viens par là, sale traître, je vais t'occire avant même que tu n'aies le temps de crier au secours.
Le truisme
Le mot désigne une vérité si évidente qu'elle ne méritait pas la peine d'être énoncée (dans certains contextes du moins). Dire, par exemple, que l'été est la saison la plus chaude est un truisme.
Dispute et altercation, sont des mots synonymes.