Comme lors d'un
La peau réagit facilement aux états du corps et donc aux états de stress. Lors de choc ou de périodes d'angoisses, vous pouvez constater l'éruption sur votre peau de boutons (poussée d'acné) ou de plaques rouges qui peuvent démanger (une poussée de psoriasis, un accès d'eczéma atopique, une éruption d'urticaire).
Il y a une raison anatomique qui explique pourquoi pleurer fait couler votre nez. "Le nez coule parce que les larmes passent dans les voies nasales, explique Bylsma. Certaines se terminent dans votre nez, donc votre nez coule."
Un trop plein de larmes !
Les larmes, qui ont emmené avec elles les poussières de l'œil, peuvent alors être évacuées par la gorge, mais surtout par le nez où elles sont mélangées au mucus nasal, et finissent par s'écouler par les narines.
Pleurer devant l'autre va susciter chez lui une réaction qu'on est peut-être pas prêt à assumer ; on estime aussi que nos larmes, signes de notre détresse, font partie de notre intimité, nous appartiennent et c'est pourquoi on préfère les garder pour soi.
Pleurer libère des toxines et réduit le stress
En abaissant le niveau de cortisol, nous entrons dans un état de calme qui nous permet même de mieux dormir.
Au fur et à mesure que les larmes recouvrent vos cils, cette fausse brillance n'est qu'une chose temporaire qui incite votre cerveau à voir vos cils comme plus longs et plus épais alors qu'en fait, rien n'a changé.
Si la personne sourit immédiatement ou cesse de pleurer, c'est qu'elle simule. Si la personne continue de pleurer, c'est qu'elle est sincère et est vraiment triste.
Le chagrin provoque du stress, qui affecte la libération d'hormones comme le cortisol. Ces hormones stimulent les neurotransmetteurs du cerveau qui provoquent des réactions physiques telles que des pleurs, des maux de tête et un écoulement nasal.
L'incapacité de pleurer ou de produire des larmes est également un signe de déshydratation.
D'un point de vue scientifique, le stress modifie l'immunité de l'organisme et aussi de la peau. En cas de stress chronique (pression constante, surmenage), la sécrétion de cortisol s'emballe. Ce pic provoque alors eczéma, psoriasis, acné chez les patients concernés.
Il est un élément essentiel à l'hydratation et l'élasticité du derme, mais également à sa densité.
Appliquer une crème protectrice
Appliquez une crème protectrice sur la peau autour de votre nez avant de vous moucher. Une crème protectrice peut créer une barrière entre la peau et le tissu du mouchoir, protégeant ainsi la peau de l'irritation.
Anhédonie : L'anhédonie est un symptôme très courant de la dépression, bien qu'elle puisse être le signe d'autres troubles mentaux. Les personnes qui souffrent d'anhédonie montrent souvent peu d'intérêt et de plaisir pour les activités sociales ou les sensations physiques.
Il peut y avoir plusieurs raisons à ça, en voici quelques unes : Bien souvent la tristesse vient avec un sentiment de fatigue. Du coup, la personne est tellement épuisée mentalement qu'il ne lui reste plus assez d'énergie pour extérioriser ses émotions sous forme de pleurs.
Les larmes ont tout simplement un goût salé en raison de leur composition chimique, répond le Dr Du Breuillac. En effet, elles sont composées d'eau, de protéines, de fer, de potassium, de calcium et de sodium, un électrolyte essentiel que l'on retrouve aussi dans le sel de table, précise-t-il.
Par ailleurs, pleurer permet de brûler des calories. Les scientifiques pensent que l'on élimine une quantité similaire à celle que l'on dépense lorsque l'on rit, à savoir 1,3 calorie par minute. Ainsi, en pleurant une trentaine de minutes, ce sont environ 30 calories qui sont éliminées.
Les pleurs d'émotion contiennent en effet plus de protéines, d'hormones, dont la prolactine mais aussi la leu-enképhaline (un peptide opioïde) qui agit sur la douleur. Le message nerveux qui provoque les larmes entraîne également la production d'antalgiques naturels.
Ainsi, pleurer mobilise beaucoup d'énergie et en libérant l'adrénaline et le cortisol, nos émotions provoquent des réactions chimiques en chaine, ce qui utilise beaucoup de nos réserves d'énergie, comme après un effort physique. Ces phénomènes expliquent la fatigue ressentie après avoir pleuré.
ADAPTATION / VALIDATION. Des changements d'émotions (pleurs, rires, humeur, moral) sont souvent tout à fait normaux, selon les périodes de vie traversées. Cependant, ils peuvent devenir graves lorsqu'ils empêchent certaines activités quotidiennes ou amènent des idées noires, voire des idées de mort ou de suicide.
Puis il y a les larmes émotionnelles, celles qui s'écoulent quand on ressent un trop plein d'émotions. Et c'est à ce moment-là seulement qu'on peut dire que l'on pleure. Ces larmes auraient une fonction sociale : pleurer nous permettrait d'appeler à l'aide, de montrer que l'on va mal et que l'on a besoin de soutient.
Les pleurs sont une réaction naturelle à des émotions négatives ou positives. Pleurer signifie en effet que vous acceptez vos propres émotions. Le fait de pleurer libère des endorphines, les hormones du bien-être, pour améliorer votre humeur.
Certains pensent à tort que si c'est possible d'éviter de pleurer, c'est mieux. Pleurer, ou vivre ses émotions, ce n'est pas du tout un signe de faiblesse. Au contraire, on dit même qu'il faut être fort pour pleurer.