La première cause de ces douleurs là, c'est souvent un mauvais choix de selle. Sur le vélo, le cycliste a tendance à tourner sur son siège de manière involontaire mais naturelle et cela crée des échauffements sur la zone, ce qui engendre des douleurs au niveau des os situés sous le bassin.
La position sur les vélos de ville, dite droite, est idéale lorsque l'on roule à vitesse modérée ou que les arrêts sont fréquents. Avec le guidon plus haut que la selle, on adopte une position presque verticale par rapport au sol. Le tronc reste bien droit, conservant les courbures naturelles de la colonne vertébrale.
A noter que votre pied doit être bien placé au niveau de l'axe de la pédale lors de cette étape. Dans cette position, si vous êtes assis sur la partie la plus en arrière de votre selle de vélo et que votre jambe est droite, cela signifie que votre selle est réglée à la bonne hauteur.
La housse de selle en mousse ou en gel représente une solution intermédiaire. Elle vous permet de profiter de plus de confort d'assise à moindres frais. Vous pouvez également équiper votre vélo d'une tige de selle suspendue : la suspension intégrée absorbe les chocs de la route et renforce la sensation de confort.
Une selle trop basse est moins susceptible de provoquer des blessures, mais peut compromettre sérieusement l'efficacité de votre pédalage, en vous limitant dans la puissance produite. Si vous partez d'une page vierge en terme de positionnement, vous pouvez prendre la mesure de votre entre-jambe et soustraire 10 cm.
ÉVITER LA FATIGUE À VÉLO
Adoptez une fréquence de pédalage de 60 tours par minute, en utilisant des braquets souples pour conserver cette vitesse de jambes. Cette cadence exige un effort modéré tout en vous assurant une bonne vitesse de croisière.
Le changement au bout de 5ans n'est à mon avis qu'une recommandation en fonction de critères d'utilisation (fréquence,conditions atmosphériques,soins,etc...) Il n'est pas obligatoire... juste indispensable.
Veillez à ce que l'alignement de votre hanche, de votre genou et votre cheville durant la rotation reste toujours droit pour un maximum d'efficacité, plus de confort et moins de fatigue, La petite bosse située sous votre métatarse devra se placer au-dessus de l'axe de la pédale.
Le vélo urbain/loisirs Balance est adapté en cas de douleurs dans le haut du dos. Grâce à la position assise ergonomique, vos poignets, vos épaules et votre cou ne sont quasiment pas sollicités lorsque vous faites du vélo.
L'entraînement spécifique consiste à réaliser des exercices répétés au cours d'une même sortie, appelés Interval Training. Ces exercices consistent en des enchaînements d'intensités différentes et de récupération. Donc, 1mn à 96% de votre FCmax puis 4mn à 85/90% de votre FCmax, le tout à répéter 9 fois.
Sans grande surprise, les principaux groupes de muscles sollicités par le vélo se trouvent dans les jambes et les fessiers. Ce sont les muscles et groupes de musculaires renforcés et sculptés par le vélo : Grand muscle glutéal. Muscles ischio-jambiers – muscle semi-membraneux et muscle biceps fémoral.
Grâce à une pratique quotidienne, vous vous maintenez en forme, vous augmentez votre force musculaire, vous améliorer votre circulation sanguine grâce au pédalage, votre souplesse, votre équilibre et votre coordination. Le vélo ville permet de vous rendre plus résistant à la fatigue et de gagner en qualité de sommeil.
Vous déplacer à vélo est un excellent moyen de brûler des calories et d'affiner votre silhouette car il tonifie l'ensemble de vos muscles sans pour autant les brusquer. Selon le temps et l'intensité de votre parcours à vélo, vous pouvez dépenser entre 400 et 800 calories environ par séance.
Entre 45 et 80 km par jour : c'est ce que l'on considère comme une journée normale en voyage. Globalement, c'est le rythme que l'on va avoir sur une piste roulante ou sur route avec un dénivelé correct (en dessous de 600m). Avec une certaine flexibilité selon la météo par exemple.
Pour aller plus vite en vélo, tu peux essayer d'être plus aérodynamique. Tu peux y arriver en réduisant la résistance de l'air ou la traînée. Par exemple, place la partie supérieure de ton corps plus bas, près de ta bicyclette. Comme ça, tu auras moins de particules d'air à repousser au fur et à mesure que tu avances.
La position du pied sur la pédale
C'est très simple, il FAUT pédaler avec l'articulation du gros orteil au niveau de l'axe de la pédale. C'est à cet endroit que l'effort et le rendement sont les meilleurs. Pédaler avec le talon ou le plat du pied entraîne à la longue des douleurs.
Le patin à glace ou le roller sont, par exemple, des sports qui vous aideront à muscler vos fessiers. Vous pouvez également opter pour la course à pied, la natation ou encore le vélo qui vous permettront de tonifier votre postérieur et de gagner en masse musculaire tout en améliorant votre cardio.
Une fois la largeur de vos ischions mesurée, vous pourrez choisir une selle appropriée à votre morphologie. Si la distance mesurée entre vos deux ischions est de 120mm, il serait recommandé dans votre cas de prendre une selle de taille 143mm.
La selle doit être adaptée à la posture du cycliste, à son anatomie et à son utilisation du vélo. Elle permet aussi une convenable répartition de votre poids sur le velo. Une selle étroite convient pour une position penchée vers l'avant, type vélo de course ou VTT, où le guidon se situe nettement plus bas que la selle.
Elles surviennent parce que deux zones de peau frottent l'une contre l'autre de façon répétitive. L'effet est encore renforcé si la peau est particulièrement humide en raison de la transpiration. En faisant du vélo, ces zones irritées apparaissent la plupart du temps sur le haut des cuisses ou sur le fessier.
Un cuissard bien ajusté
S'il vous serre les cuisses, si les bretelles vous cisaillent ou si les coutures sont trop tendues, alors le cuissard est trop petit. Il risquerait alors de couper la circulation sanguine. L'idéal est d'essayer la taille en dessous et la taille au-dessus pour pouvoir comparer les sensations.
Le traitement est dans un premier temps médical, avec une antibiothérapie soit locale en pommade, soit générale en comprimé en cas de surinfection. Certaines récidives justifient parfois un recours chirurgical (soit incision du kyste, soit exérèse complète).