La réponse tient en quelques mots. On travaille pour gagner sa vie, pour exister socialement (être connu et reconnu), voir des gens et enfin pour faire des choses qui nous intéressent : soigner, enseigner, construire ou réparer, faire la cuisine, écrire, etc.
Les personnes qui « vivent pour travailler » ont tendance à faire des choix en fonction de leur carrière et de leurs objectifs professionnels. Elles sont souvent étiquetées comme des « bourreaux de travail ». Leurs motivations touchent souvent à l'argent, mais pas seulement.
Cependant, le travail est la source de notre sécurité et de notre satisfaction, il contient les moyens de l'éxécution de nos désirs. Il est donc difficile de décider si notre liberté est réduite ou bien servie par la nécessité de travailler.
Travailler permet de se réaliser. C'est une obligation envers soi-même. Mais travailler est un devoir moral, non seulement envers autrui mais aussi envers soi-même. En effet, travailler n'est pas seulement répondre à ses besoins vitaux, c'est aussi réaliser ce qu'il y a de plus humain en l'homme.
Il faut travailler pour vivre, non vivre pour travailler. Cette phrase de Bernard Willems-Diriken, dit Romain Guilleaumes contient 9 mots.
Le travail, c'est la vie, et sans lui il n'y a que peur et insécurité.
Dans ce sens, le travail provient de la perfectibilité, qui est une faculté naturelle chez l'Homme puisqu'elle lui est propre. Ainsi, le travail est une obligation pour l'Homme puisque qu'il résulte de la perfectibilité et donc de la nature humaine.
1/ Ce qui pousse l'homme à travailler, c'est la nécessité qu'il y a de transformer la nature pour l'adapter à nos besoins. Le travail est une transformation de la nature en vue de satisfaire ses besoins vitaux. A ce titre il est une contrainte. C'est une peine, un labeur, une corvée.
Le refus du travail a-t-il un sens ? Si le refus du travail a un sens, c'est que le travail en lui même est insensé ou absurde. Le problème soulevé par cette question est donc celui du sens du travail que l'on peut interpréter comme étant le problème de la valeur du travail.
le travail est un moyen de vivre rien de plus. certe le travail est nécessaire a la vie par le seul fait qu'il apporte un salaire qui lui est nécessaire a la survie.
Le travail est essentiel pour la survie de l'homme, mais il est aussi considéré comme un châtiment et une contrainte. Le travail permet aussi de s'accomplir en tant qu'être humain et d'être libre.
Le travail est donc indispensable à la vie de chacun, quel que soit son niveau de vie. Chaque homme valide a le devoir de travailler car ils ne peuvent pas dépendre du travail des autres. Tout le monde doit pouvoir apporter sa contribution et échanger le fruit de son travail avec les autres.
Le travail rend heureux aussi parce qu'il structure le temps, donne un cadre et permet de mieux apprécier son temps libre. Enfin, travailler impose de développer ses compétences et ses qualités, ce qui est valorisant et donne confiance en soi, et contribue à l'épanouissement personnel.
Outre le fait que le travail fournit un revenu et permet de subvenir à ses besoins et à ceux de sa famille, il donne la possibilité de s'accomplir, procure le sentiment d'être utile, contribue à la valorisation et favorise le développement de l'estime de soi.
Nous travaillons pour produire, pour transformer la nature naturelle, qui satisfait mal ou pas du tout les besoins humains, en éléments artificiels qui satisfassent ces besoins.
Le travail peut cependant satisfaire d'autres besoins non nécessaires (les désirs): travail et utilité. a. Le désir d'être reconnu L'homme est caractérisé par la conscience et par conséquent par le désir de se connaître. Grâce à la conscience, il peut se voir.
Pour le Dr Laurent Karila, un autre psychiatre addictologue, l'addiction au travail résulte d'une « interaction entre l'environnement familial ou professionnel, d'un mode de fonctionnement personnel et de facteurs génétiques ».
L'Homme doit travailler afin de survivre, c'est une nécessité physique pour lui de transformer la nature afin de répondre à ses besoins car le corps a des besoins fondamentaux tels que manger ou boire par exemple mais, le corps humain est également faible, il ne peut pas supporter de grandes intempéries sans être ...
Il est important de savoir que le travail rend libre comme il peut également aliéner l'homme. Tout dépend donc de nous. Le travail a permis à l'homme de se libérer de la nature, de se sociabiliser et d'emmagasiner des connaissances, donc de devenir quelqu'un de meilleur.
Par une conversion dialectique exemplaire, le travail servile lui rend alors sa liberté car il sait comment s'y prendre pour dominer la nature tandis que le maître, qui ne sait plus travailler, a de plus en plus besoin de son esclave et devient en quelque sorte esclave de l'esclave.
Hommes et femmes y sont confrontés sans distinction, et font face à d'autres conséquences que l'augmentation du risque d'AVC : dépression, hypertension et difficultés relationnelles sont régulièrement observées auprès des salariés qui travaillent le plus.
Un travail bien fait est d'abord un travail qui est fait, c'est-à-dire achevé ou accompli. La qualité de son exécution ne peut être jugée qu'au terme d'un processus plus ou moins laborieux, parfois long et délicat, qui nécessite souvent des temps d'attente pour que la matière transformée puisse se stabiliser.
Le travail, c'est la liberté. La liberté, c'est celle des autres. Le travail, c'est celui des autres.
Pensée de Mamadou Aliou Diallo sur Travail
Le travail libère l'homme.