L'ivresse survient lorsque l'alcool est bu plus rapidement que ce que l'organisme est capable de le décomposer. L'alcool est un dépresseur pour notre organisme, c'est-à-dire une substance qui ralentit l'activité du système nerveux central, réduit l'activité fonctionnelle et la coordination motrice.
Elle est due à une forte déshydratation. En effet, la consommation d'éthanol bloque la production d'hormone antidiurétique. Du coup, la production d'urine se fait plus importante que l'apport en eau. Voilà pourquoi les lendemains de fête, on a très soif.
"Boire de l'alcool signifie ingérer une substance qui contient de l'éthanol (comme le vin, la bière, le whisky). Le fait d'être saoul est le résultat de l'effet – dépresseur – de cette molécule sur le système nerveux central, c'est-à-dire le cerveau.
Yeux rouges: Remarquez si les personnes ont des rougeurs aux yeux. Souffle court: Une personne ivre peut respirer beaucoup plus lentement ou avoir le souffle court: sa respiration est faible et peu d'air est inspiré ou expiré. Haleine : La personne peut sentir l'alcool.
Si l'on boit un verre assez lentement pour qu'il dure une heure, il est peu probable que l'on s'enivre. Mais dès que l'on boit davantage, ou la même quantité mais plus rapidement, le foie est débordé. L'excès d'alcool se retrouve dans le sang et imprègne chaque organe du corps, y compris le cerveau.
Prendre une douche froide, boire du café, faire de l'exercice, prendre de l'aspirine... Certaines personnes ont recours à ces différentes méthodes pour faire rapidement baisser leur taux d'alcoolémie, après avoir bu un ou plusieurs verres d'alcool.
Le record du monde d'alcoolémie revient à un Polonais d'une trentaine d'années, retrouvé dans un fossé en état d'ébriété avancé avec 13,7 grammes d'alcool dans le sang. Ce qui signifie que son sang était plus chargé en alcool qu'un verre de vin !
Gardez vos yeux vifs et bien ouverts. Les personnes qui ont bu de l'alcool ont très souvent un regard somnolent ou des yeux tombants. Faites tout ce qui est en votre pouvoir pour que vos yeux restent ouverts et luttez contre l'envie de les refermer. Toutefois, vous pouvez rapidement cligner des yeux de temps en temps.
Alcool et maladies hépatiques
Le foie est la cible principale des effets toxiques de l'alcool. Plusieurs maladies hépatiques peuvent être provoquées par la consommation excessive d'alcool : stéatose (accumulation de lipides dans le foie), hépatite alcoolique, cirrhose.
Une carence en glucose entraîne des perturbations et un fonctionnement anormal du cerveau. Voilà pourquoi, dans les heures suivant la prise d'alcool, ceux qui ont trop bu ressentent de la faiblesse, de la fatigue, des vertiges, de l'anxiété, de l'accablement, des difficultés de concentration, des troubles visuels, etc.
En ce qui concerne le vertige, il provint d'une atteinte du système vestibulaire de l'oreille interne. L'alcool agit sur les canaux nervent qui renseigne les mouvement de rotation de la tête.
Nos émotions refoulées
L'alcool intensifie nos émotions. Par exemple, si vous vivez des moments difficiles au sein de votre couple, il se peut que vous vous mettiez à pleurer toutes les larmes de votre corps juste en y pensant, même si d'ordinaire vous contrôlez très bien vos émotions.
Même une consommation d'alcool excessive à une seule occasion stimule la muqueuse gastrique. La muqueuse peut être alors irritée au point de provoquer des nausées et une contraction de l'estomac, qui aboutissent à des vomissements.
Une consommation d'alcool extrême peut également conduire à une «psychose alcoolique». On se retrouve alors dans une confusion totale et on peut avoir des idées délirantes.
Buvez de l'eau avant, pendant et après chaque boisson.
Essayez de boire un verre d'eau avant chaque boisson alcoolisée et buvez aussi de l'eau pendant que vous buvez de l'alcool. Buvez l'eau lentement afin d'attendre plus longtemps entre chaque boisson.
Une déficience génétique
Il s'agit en fait d'une mutation génétique qui touche jusqu'à 1/3 de certaines populations asiatiques, chez qui le gène permettant de métaboliser l'alcool est déficient. « Au départ, on a tous un gène qui permet de se débarrasser de l'alcool, qu'on appelle déshydrogénase (ADH).
Tenez-vous droit, puis levez une de vos jambes à environ 15 cm au-dessus du sol. Comptez à voix haute en partant de 1 000. Gardez la position pendant 30 secondes pour savoir si vous êtes ivre.
Mangez et buvez une boisson non alcoolisée, même si vous avez l'impression que vous ne le supporterez pas. Votre corps a besoin d'être réhydraté et de reprendre de l'énergie. Cherchez ce qui pourrait vous soulager, comme par exemple parler, marcher, s'allonger, ou vomir.
Lorsque votre ami a trop bu, il est vulnérable alors préparez-vous à avoir quelques bons réflexes ! Si votre ami est trop ivre, restez avec lui. S'il commence à se sentir mal, parlez-lui pour le garder conscient, partez prendre l'air ensemble, restez près de lui s'il vomit, calmez-le s'il devient agressif.
Docteur Royant-Parola : À faible dose, l'alcool facilite un peu l'endormissement, augmente la continuité du sommeil et a peu d'effets sur les différents stades du sommeil.
Boire est alors un moyen de faire « comme les autres », de se sentir mieux dans le groupe : l'alcool devient d'une certaine façon un « facteur d'intégration ». L'alcool est aussi associé aux rencontres, considéré comme un « liant social », car quand on a bu, notre comportement change.