Et tout ceci renforce l'idée reçue que le muscle se transforme en graisse quand on arrête le sport. Ou encore que plus on a été plus musclé, plus on risque être grassouillet. C'est faux pour une raison très simple : les cellules de graisse sont des adipocytes et les cellules musculaires sont des myocytes.
Rester au plus proche du poids de forme afin d'anticiper au mieux la reprise de l'activité sportive et d'éviter que celle-ci ne soit encore plus dure que ce qu'elle peut être. Acquérir de meilleures habitudes alimentaires pouvant être utiles par la suite, et pouvant être adoptées lors de la reprise de l'entraînement.
Lorsque vous reprenez une activité physique, vous développez vos muscles et gagnez donc de la masse musculaire, ce qui signifie que vous allez peser plus lourd. Cependant, cela n'empêche en aucun cas la masse grasse de diminuer : vous continuez de maigrir en prenant un peu de poids.
Lorsqu'on arrête de pratiquer une activité sportive, la masse musculaire, la densité osseuse et la consommation d'oxygène diminuent. Des changements physiologiques se font ressentir : perte de masse musculaire, baisse de l'endurance…
Selon une étude publiée dans la revue Current Biology, le corps réduit automatiquement son métabolisme de base lorsque l'on augmente son activité physique, ce qui veut dire que la somme des deux (activité + métabolisme de base) n'est pas égale à la dépense réelle totale.
Des chercheurs danois viennent de publier une étude dans laquelle ils indiquent que les sportifs qui pratiquent une séance d'une demi-heure d'efforts intenses par jour ont plus de chances de perdre du poids que ceux qui pratiquent une séance d'une heure.
Avec moins 170 kcal par heure, le charpentier fait mieux. Les kinés aussi, avec moins 204 kcal, comme les profs de sport… que l'on imaginait brûler plus !
exigent un apport de protéines dans le but de développer de la masse musculaire spécifique pour la compétition ou pour changer de catégories. Ces exigences sont à l'origine de grandes modifications de poids. En présence d'une masse musculaire importante, la dépense énergétique est forte (métabolisme de repos élevé).
L'addiction au sport se caractérise par la pratique compulsive d'une activité physique, au point d'avoir des répercussions négatives sur l'organisme. Le sportif accro passe sa journée à faire de l'exercice, compromettant ses relations sociales et négligeant ses engagements professionnels.
Au lendemain d'un repas trop copieux, d'une soirée trop arrosée, ou bien d'un mariage ou d'une fête de fin d'année, votre organisme est déboussolé, n'arrive plus à digérer correctement les aliments que vous avez ingérés, a du mal à déstocker les graisses et les sucres qui leur sont assimilés et vous fait donc prendre ...
Le meilleur moment pour se peser
Il s'agit du matin au lever, à jeun, entièrement dévêtue ou en sous-vêtement et après un passage aux toilettes.
Il n'est pas recommandé de se peser tous les jours ou plusieurs fois par jour : adapter son comportement en fonction de ce qu'indique quotidiennement la balance est contre-productif à court terme.
"L'arrêt du sport entraîne généralement une prise de poids", souligne le coach sportif Sylvain Charles. "Le principal problème lorsque l'on arrête de pratiquer une activité physique régulière, c'est que l'on garde les mêmes habitudes alimentaires, et donc les mêmes repas", explique-t-il.
La musculation semble être le choix le plus judicieux, mais d'autres sports existent pour favoriser la prise de masse, tels que la natation ou l'athlétisme. En effet, l'athlétisme et notamment ses disciplines de lancers favorisent la prise de force et donc, le développement des fibres musculaires.
Selon la nutritionniste australienne Jessica Sepel, trop de sport empêche le corps de brûler de la graisse.
1. La boxe. Selon plusieurs études, la boxe est l'un des sports les plus exigeants physiquement au monde. La boxe nécessite de la force, de la puissance, de l'endurance et la capacité de résister à d'énormes coups sur une longue période de temps.
Selon les chercheurs, trop d'exercice physique pourrait conduire, non seulement à de la fatigue, des troubles du sommeil, des douleurs musculaires, mais aussi à une baisse de nos capacités cérébrales, et de l'impulsivité. Et, peut-être, au développement de burn-out.
Des exercices au poids de corps, de la marche, des étirements, de la gym douce, du jogging ou de la natation. Dans ce cas précis, il n'est pas mauvais de faire une activité physique tous les jours au contraire. L'OMS préconise un minimum de 10 000 pas ou 20 minutes d'activité physique par jour.
En effet, en une semaine si certains sportifs très investis (entraînement quotidien voire bi-quotidien) auront un début de dégradation des performances, il n'en est rien pour les autres. Au contraire, une semaine de repos de temps en temps permet au corps et au mental de reconstruire ses fondations et se régénérer.
Mais les vraies stars de la nutrition sportive, ce sont les féculents. On les considère comme un carburant essentiel, puisque ce sont eux qui apportent principalement les glucides. C'est la raison pour laquelle les sportifs doivent en consommer en grande quantité.
Les régimes trop restrictifs
La clé est donc de manger équilibré, et surtout ni trop, ni trop peu : trop manger peut en effet faire grossir, mais ne pas manger assez prive le corps d'énergie. Notre métabolisme va alors ralentir pour économiser l'énergie en brûlant les calories moins vite.
Qu'en est-il vraiment ? Une étude parue en 2017 dans le journal Occupational Medicine conclut qu'il est possible de maintenir son poids en travaillant debout. Plus précisément, travailler dans cette position plutôt qu'assis permettrait de brûler 8,2 calories de plus par heure.
Oui, on brûle plus de calories
Vrai, affirment les spécialistes. "Le corps va brûler des calories pour pouvoir réguler sa température face au froid", précise le Docteur Laurent Chevallier, médecin nutritionniste. C'est un phénomène appelé la thermogénèse.