Mais en 1858, la météo se fit rude et une importante sécheresse prive la population de pomme. Pour éviter que les sapins de Noël soient nus, un souffleur de verre eut l'idée de fabriquer quelques boules de verre. De couleur rouge pour rappeler la pomme. Très vite la tradition s'installa et la production explosa.
L'ancêtre de la boule de Noël
On trouve sa source, dans une boule de verre soufflée décorative, appelée Kugel, utilisée au 18ième siècle pour « éloigner les mauvais esprits », cette croyance s'affine et rejoint les autres décorations accrochées aux sapins de Noël dans les années 1830.
C'est à cause du terrible hiver de 1858 en Moselle. Les boules de Noël viendraient alors de l'ingéniosité des souffleurs de verre de Moselle. Des boules en verre qui se sont ensuite imposées au détriment des pommes, qui régulièrement se faisaient grignoter par les souris dans les maisons.
Les cadeaux qui trônent au pied du sapin ont une origine très ancienne. En effet, dès l'Antiquité, pendant les Saturnales, on célébrait le solstice d'hiver le 21 décembre et le Dieu Mithra le 25. Pour ces fêtes annonciatrices du retour de la lumière, il était coutume d'offrir des étrennes.
L'origine des boules de Noël
Alors, il est logique qu'au Moyen-Âge, les sapins aient fait leur apparition sur les parvis des églises. Il s'agit d'une référence à l'arbre du paradis d'Eden. C'est pour cette raison que l'on décorait les sapins avec des hosties, des pâtisseries rondes et des pommes.
Les chiffres trois et treize lors des fêtes calendales affirment sans cesse l'évidence religieuse. Le chiffre 3 rappelle la Sainte Trinité : trois nappes.
Selon un scientifique australien, l'image traditionnelle du Père Noël arborant fièrement un ventre rebondi contribuerait en effet à promouvoir l'idée selon laquelle les personnes obèses sont joyeuses et en bonne santé.
A chaque mois lunaire était associé un arbre, l'épicéa fut celui du 24 décembre. Pour le rite païen du solstice d'hiver, un arbre symbole de vie était décoré avec des fruits, des fleurs et du blé. En 354, l'Eglise institue la célébration de la naissance du Christ, le 25 décembre, pour rivaliser avec cette fête païenne.
Du latin natalis «de naissance», le mot «noël» est l'élision de la locution natalis dies «jour de naissance». La formule est d'abord employée en latin ecclésiastique pour désigner la Nativité du Christ, indique Le Trésor de la langue française.
L'une des caractéristiques les plus emblématiques du Père Noël est son ventre rond, et lorsqu'une personne dit oh-oh-oh, le son est considéré comme provenant du ventre. L'expression est souvent associée à la chaleur et à la vieillesse, ce qui correspond parfaitement à l'image du Père Noël.
Pourquoi les arbres de Noël sont mauvais tricoteurs? Réponse: Ils perdent toujours leurs aiguilles.
Le rouge symbolise le sang du Christ. Vital et royal, c'est la plus importante des couleurs de Noël. Le vert est la couleur de Noël qui représente la vie et l'espoir. Certaines nuances de vert ont une association particulièrement forte avec Noël, comme le sapin à feuilles persistantes.
Carole Cusack indique que le réformateur protestant Martin Luther est souvent considéré comme la première personne à avoir mis des lumières dans le sapin de Noël (des bougies, les guirlandes électriques modernes ayant été inventées en 1882). L'idée lui serait venue après une balade en forêt sous le ciel étoilé.
L'origine de la fête de Noël est plutôt romaine que grecque. En effet, les Romains avaient déjà des traditions religieuses autour du solstice d'hiver avant que soit instaurée la fête de Noël, mais ce sont également eux qui ont décidé de fêter Noël en tant que jour de la naissance du Christ.
Comment Saint-Nicolas se transforme-t-il en Père Noël ? Il y a eu un pasteur américain, Clement Clarke Moore, en 1822, qui a écrit pour ses enfants un poème, avec l'arrivée de “Saint-Nick”, qui va devenir Santa Claus, Saint-Nicolas si l'on veut, mais qui va vraiment avoir les traits du Père Noël.
Traditionnellement, le saint catholique Nicolas de Myre est considéré comme étant à l'origine du père Noël mais le personnage, sa mythologie et ses attributs modernes sont issus tant d'un syncrétisme construit au fil des siècles que d'une volonté mercatique occidentale plus récente.
Les gens qui n'aiment pas fêter Noël portent un nom : on les appelle les "natalophobes", les angoissés de la Nativité - si vous préférez. Ce qu'ils rejettent, c'est ce bonheur obligé : cette félicité, sociale et familiale, qu'il faudrait - le temps d'un long dîner - absolument afficher.
Dans la tradition chrétienne, la fête de Noël est célébrée pour souligner la venue au monde de Jésus-Christ, le fils de Dieu. Parmi ceux qui ne célèbrent pas Noël, il y a les musulmans, les juifs et les témoins de Jéhovah.
Si de nombreuses de personnes n'aiment pas ou plus Noël, pour certaines, ce rejet va plus loin. On les appelle les natalophobes.
Le sapin n'est pas à l'origine un symbole religieux.
Comme souvent, la religion fait son lit des traditions païennes. En fait, le sapin de Noël tel qu'on le connait est né en Alsace. La première mention c'est à Sélestat et au fil des siècles il prend une autre symbolique.
Le parfum, cadeau de Noël le plus offert à Noël par les Français. Une excellente nouvelle pour ceux qui souhaitent ardemment faire plaisir à leurs proches.
Chez les catholiques et les protestants, le sapin de Noël est installé le premier dimanche de l'Avent, c'est-à-dire le 4ème dimanche avant Noël. Il restera dans le foyer jusqu'au 6 janvier, fête de l'Epiphanie où l'on célèbre les rois mages, voire jusqu'à la Chandeleur.
Mary Class est une brillante femme d'affaires. Depuis toujours, elle cache un secret : c'est la fille du père Noël. Lorsque son père subit une crise cardiaque, elle part à Polaris reprendre les rênes mais rien ne se passera comme prévu.
L'histoire semble se répéter, tout comme il y a 39 ans, jour pour jour, moment où tous les enfants de la Terre apprenaient le décès du père Noël des suites d'un infarctus tout aussi implacable qu'impensable.
Le Père Noël serait né il y a environ 1700 ans. Il s'appelait alors Nicolas de Myre, un riche évêque turc qui avait l'habitude, pendant la nuit, d'aller distribuer des cadeaux et de la nourriture aux plus pauvres.