En Occident le noir est choisi car il est assimilé à la terre. Les défunts s'en vont rejoindre les ténèbres, les souterrains, la terre, leurs origines. On a retrouvé des traces du deuil en noir remontant au Néolithique.
Il est cependant possible de porter des vêtements de couleur, comme le gris, le marron ou le bleu sombre, mais à la condition d'éviter les teintes vives que sont le rouge, le orange, le rose, le vert ou le jaune. Le blanc est plutôt réservé à la chemise si celle-ci est couverte d'une veste plus sombre et aux bijoux.
Pour les obsèques d'un enfant, le blanc, symbole de pureté, est privilégié. Certaines familles font des choix personnels et imposent un code vestimentaire durant les funérailles. Il peut être demandé de porter ses habits habituels ou de choisir des vêtements de couleurs vives durant les obsèques.
Le deuil dans le monde
Si l'occident a adopté le noir pour représenter le deuil, plusieurs autres pays ont préféré l'associer à des couleurs vives et joyeuses. En Inde et au Japon, il est coutume de porter le blanc pour des funérailles, symbole de pureté de l'âme, de lumière et du repos éternel.
Portez du noir, du gris ou du bleu foncé si possible, mais la plupart des funérailles contemporaines permettent une plus large gamme de couleurs, à condition qu'elle ne soit pas trop ostentatoire. Pour les hommes, ne portez pas de shorts ou de jeans. Tenez-vous plutôt à un pantalon léger ou à un pantalon de ville.
Prothèses, stérilets, pacemakers et surtout dents en or... Autant de reliquats qui ne brûlent pas lors de la crémation et qui sont revendus par les crématoriums à des entreprises de recyclage, déplore le magazine.
La police doit être présente lors de la fermeture du cercueil et la pose de scellés. Ces scellés signifient que les cercueils n'ont pas fait l'objet d'une ouverture après la mise sous terre.
Quand on jette une fleur, un bouquet ou une rose sur le cercueil juste avant l'inhumation, on marque qu'on veut rendre au défunt moins difficile la séparation qui va suivre, on veut garder un lien. Le fait de fleurir la tombe, ensuite, prolonge également l'intention : le lien avec la personne se pérennise.
L'objet doit être biodégradable, et de manière générale, ne pas freiner le processus de décomposition naturelle du corps. Les chaussures doivent ainsi être enlevées.
Ce qui est primordial dans cette rencontre avec le corps du défunt, ce n'est pas de le « voir » comme pour faire un constat médical, mais de venir saluer sa dépouille, se recueillir auprès de ce corps aimé, investi, avec lequel nous avons partagé une histoire.
'Une béra' était une civière sur laquelle on plaçait les blessés ou les morts. Au 12e siècle, le mot est resté : lorsqu'on a commencé à placer les défunts dans un cercueil, 'béra' est devenu 'bière'. On était donc 'mis en bière.
Le noir est la couleur qui était traditionnellement associée au deuil et donc plus généralement aux enterrements. Il n'est, cependant, pas obligatoire de porter un habit d'enterrement noir. En effet, vous pouvez choisir d'opter pour d'autres couleurs comme du bleu marine, du marron ou du gris.
Dites votre nom, expliquez votre lien avec la personne décédée et exprimez vos condoléances. Si certains membres de la famille veulent parler un peu plus avec vous, soyez prêt à rester discuter. Vous pouvez partager un souvenir de la personne décédée ou simplement dire à la famille combien le défunt vous manquera.
Les bouquets de roses rouges sont donc adaptés pour le décès d'un membre de la famille ou d'un concubin. Les roses claires : rose, jaune ou orange, cette fleur traduit la sympathie. Elles sont idéales pour le décès d'un ami proche.
L'onagre est une plante rustique annuelle ou bisannuelle, selon l'espèce et le climat. Elle pousse en abondance dans la nature, mais peut aussi être cultivée dans votre jardin. De longues tiges mettent en valeur de petites fleurs en cloche souvent jaunes.
Depuis l'Antiquité et à travers les siècles, la rose est la fleur par excellence du langage amoureux. Rouge, elle exprime un amour ardent, puissant, intense, mais aussi sans faille !
La perte d'un enfant reste la souffrance et la perte la plus terrible qu'on rencontre dans notre existence car elle va à l'encontre du sens même de la vie. Cette épreuve est le deuil à vivre le plus difficile où il faut redoubler de vigilance. Peu importe les phases que l'on traverse, il faut absolument être aidé.
Le deuil blanc est le type de deuil que l'on ressent lorsqu'une personne atteinte d'un trouble cognitif n'a plus la même présence mentale ou affective que par le passé, bien qu'elle soit toujours présente sur le plan physique.
La durée de vie d'un cercueil dans un caveau permet de garder ce dernier intact durant plusieurs décennies, contrairement à l'inhumation en pleine terre où l'humidité et le poids du sol font qu'il faudra changer de cercueil 30 à 40 ans après les funérailles.
La « réduction » d'un corps nécessite de procéder à l'exhumation (qui peut se faire au cours des cinq années qui suivent le décès) mais la réglementation interdit l'ouverture du cercueil s'il ne s'est pas écoulé au moins cinq ans à compter du décès. (Article R2213-42 du CGCT). La réponse est donc négative.
Enfin, il effectue les soins qui vont permettre la présentation du corps à la famille le jour des obsèques. Dans le cas d'un enterrement (ou inhumation), il y aura l'intervention d'un fossoyeur qui va se charger de creuser la fosse (ou tombe) qui va accueillir la dépouille ou le cercueil.
Dans la religion juive, le corps du défunt reste intact par respect pour la sainteté de l'âme qui y a été reçue. Il faut donc éviter de le toucher. C'est pourquoi, à l'exception des rapatriements en Israël (obligation sanitaire), aucun soin de conservation n'est autorisé.