Les chiffres arabes dérivent des chiffres indiens plus anciens, encore en usage en Inde. Ils ont été importés et utilisés dans le monde musulman à partir du IXe siècle, notamment par le mathématicien Al-Khwarizmi. Ils ont été diffusé au Moyen-Âge jusqu'en Espagne musulmane (Al-Andalous).
Les chiffres arabes tirent leur origine du système de numération indo-arabe, né en Inde. La graphie originale des chiffres indiens pourrait s'inspirer d'une numération décimale non positionnelle indienne datant du III e siècle av. J. -C. , la numération Brahmi.
Les chiffres «arabes» actuels sont nés d'une transformation au Moyen-Orient de la notation née en Inde il y a seize ou dix-sept siècles. D'ailleurs, en langue arabe, les chiffres sont dits «indiens» quand, en langue française, on les dit «arabes».
Ce sont les Babyloniens qui vont les premiers utiliser le zéro (vers le IIIe siècle après J. -C.), non pas comme un nombre ni même un chiffre, mais en tant que marqueur signifiant l'absence.
On les croyait créés par les grands mathématiciens arabes, en réalité les chiffres sont d'origine indienne. C'est en effet l'Extrême-Orient qui invente l'écriture décimale positionnelle au IIIe siècle avant J. -C.
Le plus petit nombre entier n'existe pas. En effet, les nombres entiers sont les nombres entiers relatifs, qui incluent les nombres entiers négatifs, jusqu'à la limite de l'infini négatif. En revanche, le plus petit des nombres entiers naturels est 0, et le plus petit nombre entier naturel non nul est 1.
Il faut savoir que des mathématiciens sont allés encore plus loin. Ils ont nommé un nombre encore plus grand : le "Googolplex", c'est un 1 suivi d'un googol de zéros, un nombre si immense qu'il y a davantage de zéros dans l'écriture de ce nombre que d'atomes dans l'univers.
Le symbole de l'infini a été utilisé pour la première fois par le mathématicien John Wallis, en 1655.
0! = 1. puisque par convention, le produit vide est égal à l'élément neutre de la multiplication. Cette convention est pratique ici car elle permet à des formules de dénombrement obtenues en analyse combinatoire d'être encore valides pour des tailles nulles.
La graphie du zéro, d'abord un cercle, est inspirée de la représentation de la voûte céleste. Comme l'indique l'étymologie, son introduction en Occident est consécutive à la traduction de mathématiques arabes, notamment les travaux d'al-Khwārizmī, vers le VIII e siècle.
De l'italien zero , altération de zefiro , issu du latin médiéval zephirum , lui-même de l'arabe صفر , ṣifr (« vide »), lui-même calque du sanskrit शून्य , śūnya.
Dans son Liber abaci ou Livre des calculs, un traité sur les calculs et la comptabilité, Leonardi Fibonacci, mathématicien issu d'une famille de marchands, introduit le système de numération indo-arabe en Europe.
Un chiffre est tout d'abord un caractère utilisé pour représenter un nombre. En français, on utilise les chiffres arabes (0 à 9) et, dans certains contextes, les chiffres romains (I, V, X, L, C, D, M).
Les chiffres (0, 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9) et le système décimal (selon leur place dans un nombre, ces chiffres sont des unités, des dizaines, des centaines…) ont été inventés par les Indiens. Au 9e siècle, les Arabes trouvent que ces chiffres facilitent beaucoup les calculs et ils les diffusent dans le monde entier.
Le premier moment de l'histoire des mathématiques s'identifie néanmoins aux Grecs, qui, à partir du VIe siècle avant J. -C., vont faire de cette discipline plus qu'un outil, un idéal de pensée. C'est généralement à Thalès de Milet que l'on accorde la paternité de la géométrie, et le début des mathématiques grecques.
Sa création est liée à une polémique entre deux mathématiciens : Isaac Newton et Gottfried Wilhelm Leibniz. Néanmoins, on retrouve chez des mathématiciens plus anciens les prémices de ce type de calcul : Archimède, Thābit ibn Qurra, Pierre de Fermat et Isaac Barrow notamment.
C'est un nombre inférieur à 1 et supérieur à 0,9, car la moyenne de deux nombres se situe toujours entre les deux nombres considérés. L'écriture décimale de m commence donc par 0,9. Cette moyenne m est aussi supérieure à 0,99 et inférieure à 1 ; c'est donc un nombre dont l'écriture décimale commence par 0,99.
Q'est-ce que la fonction factorielle? La fonction factorielle est une formule mathématique représentée par le point d'exclamation “!”. Dans la formule factorielle se multiplient tous les numéros entiers et positifs entre le numéro apparu dans la formule, et 1.
Calculer la factorielle d'un nombre entier n
La factorielle d'un entier naturel n, avec n > 2, est égale au produit de tous les entiers compris entre 1 et n. Il vient alors naturellement : n ! × (n+1) = 1 × 2 × ... × (n−1) × n × (n+1) = (n+1) !
Le signe de l'infini est un dessin représenté par un 8 allongé, légèrement étiré de chaque côté, ressemblant à la forme d'un serpent. Le symbole proviendrait de la déformation progressive de la lettre grecque Omega qui est utilisé pour symboliser l'extrémité sans fin.
Le chiffre huit 8 et un des nombres les plus sacrés, il réunit les deux mondes, le physique et le spirituel dans une circulation spiralée. Couché, il devient lemniscate, symbole de l'infini. Présent au cœur de nos cellules, et dans la structure de la molécule d'ADN il représente deux hélices entrelacées.
« L'infini est une notion mathématique qui n'a pas d'équivalent dans le monde physique. Soutenir que notre Univers serait « infini » est absurde car cela ne signifie rien en réalité. Toute théorie physique implique des nombres, en tant que tels forcément répartis sur un intervalle fini.
Pour trouver le plus petit nombre gentil, il faut prendre le produit des nombres premiers (1 2 3 5 7) avec l'exposant le plus élevé, donc pour 2 2² et 2³, on choisira 2³. On a donc 1 * 2³ * 3² * 5 * 7 = 2520. Donc le plus petit nombre gentil est 2520.
Mille milliards, c'est-à-dire un million de millions ou 10 puissance 12.