On peut estimer que le fait de parler en dormant survient lorsque l'on est confronté à un épisode de stress ou un changement important dans son quotidien. Il s'agit peut-être aussi d'un comportement lié au rêve du dormeur. Aucune hypothèse n'a pour l'heure été avérée par la science.
Le moins que l'on puisse dire est que celui-ci se déroule dans un climat le plus souvent tendu et utilise un vocabulaire familier, voire vulgaire et même parfois violent. On estime qu'environ 66 % des adultes ont déjà parlé en dormant mais que 6 % parlent au moins une fois par semaine.
On peut se mettre à parler au lit en dormant à n'importe quel stade du sommeil : sommeil lent (léger et profond) et sommeil paradoxal. Pour ce qui est des périodes de la vie, cela apparaît souvent en cas de stress, lors d'un changement important ou durant un événement pénible à vivre.
Somniloquie : qu'est-ce que c'est ? La somniloquie est un trouble universel appartenant au groupe des parasomnies (qui intervient pendant une des phases de sommeil). Elle se manifeste par le fait de parler en dormant, de façon périodique ou chronique.
Lorsqu'une personne effectue des mouvements intentionnels, comme parler ou marcher, pendant le sommeil paradoxal, la partie de son cerveau chargée de restreindre les mouvements musculaires fonctionne mal . Cette condition, appelée trouble du comportement paradoxal (RBD), permet aux gens de réaliser des rêves.
One of the main ways to stop sleep talking is to minimize stress. A great way to do this is by creating a bedtime routine that will allow you to destress after a long day. An hour or so before bed, begin to wind down. Limit your use of technology, listen to a relaxing playlist, and put on some cozy loungewear.
La seule solution contre la somniloquie, c'est d'identifier la source du problème, souvent psychologique. Effectuer des exercices de relaxation avant de dormir peut diminuer les symptômes de la somniloquie ou carrément les faire disparaître, notamment lorsqu'elle est due au stress.
La catathrénie se caractérise par des longs gémissements, parfois forts, pendant le processus d'expiration. Ces sons se produisent généralement pendant les phases de sommeil paradoxal et profond, et sont précédés d'une forme de respiration extrêmement lente appelée « bradypnée ».
Bien qu'il s'agisse d'un excellent outil d'intrigue pour une série télévisée, il est probablement peu probable que la révélation de secrets pendant une conversation endormie se produise . Selon une étude, ce n'est pas la meilleure méthode pour amener quelqu'un à révéler ses secrets !
La sexomnie est un "somnambulisme sexuel" qui concerne certaines personnes atteintes de troubles du sommeil. Cette maladie consiste en une envie obsessionnelle de sexe en dormant. Cela peut se traduire de manières plus ou moins inquiétantes.
Problèmes de santé mentale et physique
Souvent, parler en dormant est le résultat du stress ou de l’anxiété. Dans certains cas, le fait de parler fréquemment pendant le sommeil à l'âge adulte (en particulier si le parler pendant le sommeil a commencé spontanément après l'âge de 25 ans) est le signe d'un trouble psychiatrique, tel que la dépression .
Logorrhea : This is a very rare form of sleep talking that involves an abnormal flow of speech. The person may speak rapidly and incoherently for several minutes at a time. This type of sleep talking can be a symptom of a mental health disorder such as bipolar disorder or schizophrenia.
In the study, researchers found that sleep talkers said the word "no" four times more often in their sleep than when awake. And the F-word popped up during sleep talking at a rate of more than 800 times than what was spoken while awake.
Les terreurs nocturnes surviennent pendant la phase de sommeil profond en début de nuit et se caractérisent par des cris, des mouvements brusques et de la confusion pendant le sommeil. Les crises peuvent durer jusqu'à 30 minutes et les personnes qui ont des terreurs nocturnes ne se réveillent pas complètement.
les maladies du sommeil responsables d'hypersomnolence diurne (hypersomnie, narcolepsie) ; les troubles du rythme veille/sommeil ; les parasomnies (somnambulisme, cauchemars, terreurs nocturnes, bruxisme...) plus fréquentes chez l'enfant.
fatigue et somnolence durant la journée ; troubles de l'humeur, irritabilité ; troubles de la mémoire ; risque accru d'accidents du travail ou de la circulation.
La présence d'une maladie chronique, les suites prolongées du Covid ou « Covid long », l'existence d'un handicap, la dépendance à l'alcool, au tabac ou l'addiction à d'autres substances consommées pour apaiser des angoisses sont des facteurs favorisant la survenue d'une dépression.
Tout d'abord, il faut savoir que les femmes sont plus à risque de souffrir d'une dépression uniquement pendant la période qui s'étale de la puberté à la ménopause. En effet, durant l'enfance et dans la période post-ménopause, les risques sont environ équivalents entre hommes et femmes.
La dépression ne se guérit pas à force de volonté. C'est une maladie qui nécessite la mise en œuvre d'un traitement spécifique. Les stratégies thérapeutiques existantes sont efficaces dans au moins 70% des cas. Des pistes émergent pour les cas de dépression résistante.
L'apathie : mentionnée précédemment, c'est quand la personne n'a aucune passion, ne ressent plus des sensations ou émotions. Il y a plusieurs maux qui renforcent ce manque de motivation : la dépression, le burn-out, la schizophrénie, troubles alimentaires sont quelques causes psychologiques.
Excès de stress : Un sentiment de mal-être peut également survenir lorsque vous faites face à un problème spécifique dans votre vie qui vous stresse plus que vous ne le pensez. Dans ces cas, le fait de subir des niveaux élevés de stress peut entraîner une dérégulation émotionnelle ainsi que des sautes d'humeur.
Mais ce n'est que depuis une quinzaine d'années que la dépression est véritablement reconnue comme une maladie du cerveau au même titre que les maladies neurologiques comme les maladies de Parkinson ou d'Alzheimer.
Pour éviter que la situation ne s'envenime, un seul mot d'ordre : ne pas rester seul. Plusieurs structures peuvent vous aider à sortir de cette mauvaise période. Bouleversements physiques et hormonaux, choix d'orientation, quête d'indépendance, nouveaux rapports à l'autre, découvertes des injustices du monde …