"Il ne faut ne jamais mettre les doigts dans sa bouche pour l'attraper", alerte-t-il, "mais le placer en PLS". En positionnant le sujet sur le côté, on empêche en réalité, "par un phénomène de gravité", "l'obstruction des voies respiratoires", par sa langue ou ses sécrétions.
La femme enceinte doit être installée sur son côté gauche, pour éviter la compression de certains vaisseaux.
PREMIERS SECOURS - Le terme a envahi le vocabulaire des "jeunes". Aujourd'hui, quand on se sent mal à l'aise ou que l'on est fatigué, les moins de 25 ans disent qu'ils sont "en PLS". Entendez "position latérale de sécurité".
Comment mettre une victime en PLS ? : les étapes
S'il y a lieu : vous pouvez desserrer le col de la victime, sa chemise, sa cravate et sa ceinture. Dans un second temps, placez-vous à côté de la victime et prenez le bras le plus proche de vous. Positionnez-le à 90° par rapport au corps, coude fléchi.
Secourisme routier : Marcel Arnaud, le père fondateur.
La position latérale de sécurité (ou PLS) est un geste de premiers secours à pratiquer systématiquement lorsque l'on est en présence d'une personne inconsciente, qui respire normalement et qui est décubitus dorsal (couchée sur le dos).
Disposez le bras de la victime le plus proche de vous à angle droit de son corps. Pliez ensuite son coude tout en gardant la paume de sa main tournée vers le haut. Placez-vous à genoux ou en trépied à côté de la victime.
La position latérale de sécurité ou "PLS" est une manœuvre permettant de protéger les voies respiratoires d'une personne présentant des troubles de conscience. Elle consiste à placer un sujet inconscient qui respire normalement sur le côté.
La position latérale de sécurité concerne les personnes blessées, à terre. Cette position est validée par les sociétés de réanimation et d'urgences. Il s'agit de mettre la personne sur le côté, et peu importe lequel.
Réponse : Pour évaluer l'état de conscience d'une victime, il faut : - Lui poser des questions simples ("comment ça va ?", "vous m'entendez ?") ; - Lui secouer doucement les épaules ; - Lui prendre la main en lui demandant d'exécuter un geste simple ("serrez-moi la main").
Serrez un poing et placez-le sur la moitié inférieure du sternum. Saisir le poing avec l'autre main. Délivre une compression ferme vers l'intérieur en tirant fortement les deux bras vers l'arrière. Répéter rapidement la compression 6 à 10 fois selon les besoins.
Roulez votre enfant sur le côté, vers vous, comme si vous le rouliez en bas d'une pente. Tirez la jambe vers son visage pour plier le genou. Mettez le genou sur le sol à angle droit afin de stabiliser votre enfant. Inclinez sa tête vers l'arrière afin de maintenir les voies aériennes ouvertes.
La main qui était à l'épaule vient maintenir la nuque de la victime, l'avant bras maintenant le dos de la victime. Le mouvement de retournement est terminé en tirant sur la hanche. La main qui maintient la nuque accompagne le mouvement.
Comprimez la cage thoracique à l'aide des avant-bras et du poing fermé en effectuant des mouvements horizontaux répétitifs de compression à une profondeur d'au moins 5 cm (2 po); 5. Poursuivez les manœuvres jusqu'à ce qu'il y ait dégagement des voies respiratoires ou que la personne perde conscience. 6.
Pour vérifier la respiration d'une victime inconsciente, approchez votre joue de la bouche de la victime en regardant vers sa poitrine (sentez son souffle, écoutez sa respiration et regardez le mouvement de sa poitrine).
Les bons gestes à retenir
La victime se présente habituellement debout ou assise : Laisser la victime dans la position où elle se trouve; Désobstruer les voies aériennes en lui donnant de 1 à 5 tapes vigoureuses dans le dos, entre les omoplates, avec le talon de la main ouverte.
Passez votre autre bras autour de sa taille et aidez-la à se déplacer. Accroupissez-vous, dos à la victime et mettez ses bras autour de vos épaules et ses jambes autour de votre bassin. Soutenez ses jambes avec vos bras (en dessous de ses genoux). Levez-vous et transportez-la.
Maintenez vos mains en position sur le sternum. La durée de la compression doit être égale à celle du relâchement de la pression de la poitrine. Effectuez 30 compressions thoraciques à une fréquence de 100 par minute, soit environ 2 compressions par seconde.
Ce qu'il est possible de faire pour secourir les blessés : il faut s'assurer que la personne accidentée puisse respirer et que les voies respiratoires soient dégagées. il faut également rassurer la victime en lui parlant. Il faut également éviter de parler de ses blessures, pour ne pas la faire paniquer.
Le plus simple est de faire un « garrot cravate » autour du membre. Réalisez deux tours du membre pour comprimer le sang, puis faites un nœud pour y placer un stylo, du bois ou une cuillère. Servez-vous de ces objets pour tourner le nœud afin de resserrer le garrot jusqu'à ce que le saignement s'arrête.
La bascule de la tête en arrière a pour objectif de la ramener dans l'axe en position neutre. Une bascule excessive peut avoir l'effet inverse et obstruer les voies aériennes.
Définition. Une victime est inconsciente et respire lorsqu'elle ne répond pas aux questions, ne réagit pas à un ordre simple, reste immobile, et lorsque des mouvements de la poitrine ou de l'abdomen sont visibles et/ou un bruit respiratoire ou un souffle est perçu.
Vérifiez que la victime respire. Tournez la victime sur le côté en position latérale de sécurité. Demandez à quelqu'un d'appeler les secours ; allez chercher de l'aide si vous êtes seul. Vérifiez régulièrement la respiration de la victime jusqu'à l'arrivée des secours.