Le port des 7 robes varie selon les pays. Porter 7 robes, cela vient du fait que la mariée doit être vue de la plus belle des manières et ainsi être mise en valeur avec des robes de différentes régions de son pays d'origine. En Algérie, souvent la femme porte une robe kabyle, une oranaise, une algéroise.
Cette cérémonie a souvent lieu sept jours avant le mariage mais elle se pratique parfois la veille de celui-ci. Le henné symbolise l'alliance mais aussi la bénédiction ou baraka de l'union (chance, fécondité). Au cours de cette cérémonie, on dessine au henné sur les mains et les pieds de la future mariée.
La cérémonie débute par les louanges envers Allah lors de la Khoutbah. Lorsque l'Imam récite la prière, femmes et hommes sont séparés. La cérémonie se poursuit par la lecture de quelques versets du Coran puis est mentionnée la dot dans le cadre des échanges de vœux entre la femme et son futur époux.
Le futur mari doit demander la main de sa future femme à sa famille : Il peut alors être accompagné de ses parents, son grand frère, sa grande sœur. Une fois que les deux familles ont conclu l'accord, la future épouse peut se voir offrir une bague de promesse, un bracelet, un collier ou des boucles d'oreilles en or.
Cependant, cette cérémonie peut aussi se dérouler le soir du mariage après le repas. Dans tous les cas, elle se déroule en général au domicile de la famille de la mariée et sera pratiquée par une professionnelle, d'abord sur la mariée, puis sur ses proches. Des chants et des danses peuvent accompagner cette séance.
INTERNATIONAL - Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser. Le prophète Mohammed (QSSL) disait dans un hadith: "Nul d'entre vous ne prendra sa femme comme on prendrait une bête, et qu'il y ait entre vous un messager: le baiser". Nul texte coranique n'interdit aux musulmans d'échanger un baiser.
L'islam, considérant le mariage comme un contrat privé, accepte sa dissolution par le divorce. En principe, le divorce n'est pas sollicité par la communauté musulmane, sauf pour des raisons valables émises par l'une des parties. Les relations de couple en Islam sont basées sur l'harmonie et l'amour.
« Dans notre religion et notre tradition, l'homme doit payer la dot et assumer les dépenses de la vie future du couple.
Polygamie. La polygamie n'est autorisée en Algérie que si l'homme a l'assentiment de la première épouse. L'autorisation de second mariage doit être accordée par un juge.
Comme pour la mariée, la famille de l'époux prend en charge les frais pour sa tenue et celle des témoins. C'est elle qui paie aussi les alliances, les frais administratifs, le bouquet de la mariée, les frais de réception des invités du marié, l'enveloppe pour le prêtre et sa paroisse en cas de mariage à l'église.
1 L'état de zina' désigne une relation extraconjugale entre un homme et une femme, que celle-ci se déroule avant le mariage ou pendant le mariage avec un autre conjoint. Elle est considérée comme un des plus grands péchés de l'islam.
Dans les pays musulmans, le mariage est organisé généralement le jeudi et le vendredi. Mais en France pour des questions pratiques, on préfère le faire le samedi et le dimanche. De cette manière, toute la famille peut se libérer pour participer aux festivités.
Le mariage musulman (Nikâh) ne ressemble ni au mariage chrétien, ni au mariage juif, ni au mariage civil. En effet, même s'il est évidemment possible qu'il soit célébré par un imam et qu'une demande de bénédiction ait lieu, rien de tout cela n'est « obligatoire ».
Pour ce qui est de l'organisation de la cérémonie du henné c'est à la charge de la famille de la jeune femme. Evidement c'est le repas, la neggafa, la tatoueuse et même l'orchestre ou le DJ sont compris dans les frais.
Les personnes qui seront conviées, soit chez la jeune fille soit au domicile de ses parents, seront les femmes de sa famille, celles de sa belle-famille ainsi que ses proches amies. Le rituel du henné visera à appliquer cette substance, se présentant sous forme de patte, sur les mains et les pieds de la future mariée.
Dans beaucoup de pays d'Asie, dont la Chine, le Vietnam et la Mongolie, la robe de mariée traditionnelle est rouge, symbole de bonheur au sein du couple et de sa longévité.
La « Frédha » ou l'acte de succession est délivré par le notaire algérien du lieu de résidence ou du lieu d'inhumation. Il désigne les héritiers et les parts que chacun d'entre eux détient. Ce document est indispensable pour la liquidation d'une succession.
Les Etats dont la loi autorise la polygamie, et qui ont passé une convention bilatérale de sécurité sociale avec la France sont les suivants : Algérie, Bénin, Cameroun, Congo, Côte- d'Ivoire, Gabon, Mali, Maroc, Mauritanie, Niger, Sénégal, Togo et Tunisie (jusqu'à la nouvelle convention signée avec la France le 26 juin ...
Cet âge (19 ans) correspond à la majorité civile fixée par l'article 40 du code civil qui dispose que toute personne majeure jouissant de ses facultés mentales et n'ayant pas été interdite, est pleinement capable pour l'exercice de ses droits civils et que la majorité est fixée à 19 ans révolus.
Traditionnellement, c'est le fiancé qui doit offrir le bouquet de mariée à sa promise le jour du mariage. La future épouse se doit donc de lui distiller quelques informations sur sa robe de mariage, pour qu'il puisse accorder les fleurs et le style du bouquet à la rose, qu'il n'a jamais vue !
La mère de la mariée ne sera pas en reste car elle assumera le rôle d'hôtesse officielle de la cérémonie. Durant la réception, les parents respectifs des deux jeunes mariés auront l'honneur de porter le premier toast, accompagné généralement de la lecture d'un joli texte d'amour.
La tradition dit que c'est la mariée, ou la famille de la mariée, qui achète l'alliance du marié. Cela remonte à l'histoire passée où la famille de la mariée offrait des cadeaux au marié en échange du mariage.
Divorce à l'initiative de la femme
Le tafwîd s'établit lors du contrat de mariage : le mari se dépouille alors de son droit de répudiation, et concède à la femme celui de se répudier elle-même. Le khul' permet à la femme de divorcer lorsque le tribunal refuse de prononcer celui-ci, moyennant compensation.
Pour qu'un mariage puisse avoir lieu en Islam, le consentement de la femme est indispensable. Elle dispose aussi du droit de demander le divorce à condition que celui-ci soit validé devant un tribunal. Cependant, le droit de se répudier elle-même peut être prévu dans le contrat de mariage.
Le khul' (ou khol') est une forme de dissolution du mariage musulman qui intervient à l'initiative de la femme.