Je vais à l'église le samedi parce que c'est biblique et qu'y aller le dimanche n'a pas de fondement dans les Écritures. Dieu accepte avec joie le culte que nous lui rendons chaque jour; cependant, il a mis à part le septième jour comme jour de repos spécial. Ce jour s'appelle le sabbat et correspond au samedi.
Dans l'Église catholique, les samedis sont des jours particuliers dans la liturgie dédiée à la Vierge Marie. La plupart des samedis de l'année, les prêtres peuvent offrir des messes votives en son honneur et dans la liturgie des Heures, des prières et des lectures spécifiques lui sont consacrées ce jour-là.
Le Samedi saint est appelé « le Grand Sabbat » selon un usage ancien qui remonte aux Pères de l'Église. Ce jour-là en effet, le jour qui précède le dimanche de Pâques, Jésus-Christ s'est reposé dans la mort et dans le tombeau avant d'instituer par sa résurrection un jour nouveau et une semaine nouvelle.
Le sabbat est le jour du Seigneur, mis à part chaque semaine pour le repos et le culte. À l'époque de l'Ancien Testament, le peuple de l'alliance de Dieu observait le sabbat le septième jour de la semaine parce que Dieu s'est reposé le septième jour lorsqu'il a créé la terre (voir Genèse 2:2).
« Le Samedi saint, l'Église demeure auprès du tombeau de son Seigneur. Elle médite la passion et la mort du Christ, ainsi que sa descente au séjour des morts, en attendant sa résurrection dans le jeûne et la prière. » Ces quelques lignes du Missel romain nous donne le sens du Samedi saint.
En plus des coutumes centrées sur la prière, le jour des Morts a donné lieu à diverses croyances. Il est ainsi préférable de ne pas labourer la terre ce jour-là parce qu'il pourrait couler du sang des sillons. Il s'agit d'une allusion à la croyance du vendredi saint où il ne faut pas entailler les érables.
« Seigneur Jésus, c'est aujourd'hui le jour du tombeau, le jour de l'attente, le jour du silence qui rend plus éclatants les alléluias, le jour menant à la grande nuit où la lumière est si belle. Demain ce sera Pâques et déjà nos cœurs s'impatientent. Fils de Dieu toujours vivant, loué sois-tu ! »
Les évangiles indiquent que cette exécution a eu lieu un vendredi parce qu'il s'agissait d'un double sabbat, mais pour les synoptiques c'est le lendemain du repas de la Pâque (15 nisan) alors que pour l'évangile de Jean c'est le jour du repas de la Pâque (14 nisan).
Le jour du Seigneur
Jusqu'à sa résurrection, Jésus-Christ et ses disciples honoraient le septième jour comme sabbat. Après sa résurrection, le dimanche fut sanctifié comme étant le jour du Seigneur en souvenir de sa résurrection en ce jour (voir Actes 20:7 ; 1 Corinthiens 16:2).
Pour les religions bibliques, le dimanche est le premier jour de la semaine juive et chrétienne. Pour les chrétiens, le dimanche est le jour de la résurrection du Christ (« jour du Seigneur ») ainsi que celui de la Pentecôte.
Étymologie. (Date à préciser) Du latin sabbati dies (« jour de sabbat »).
Et Dieu bénit le septième jour : il le sanctifia puisque, ce jour-là, il se reposa de toute l'œuvre de création qu'il avait faite » (Genèse 2, 2-3). Ces phrases viennent clore le récit biblique de la Création dans la Genèse, ce long poème inaugural qui montre Dieu appelant le monde et les vivants à l'existence.
Si le salarié demande un congé le vendredi, on devra décompter 2 jours ouvrables de congé payé. Dans ce cas précis, le samedi devra être pris en compte, car il suit directement un jour de congé.
Dans l'Évangile, Jésus assume le sabbat en le dépassant comme un jour de guérison (Lc 14,3-4). C'est pourquoi l'eucharistie est au cœur du dimanche.
Les interprétations du recul sont variées : chute du nombre de croyants, exculturation de l'Église dans une société très sécularisée, désaccords intellectuels (en matière de bioéthique, par exemple) et pratiques (écarts par rapport à ses normes sexuelles et conjugales), liberté par rapport à l'obligation, pratiques ...
L'Église catholique demande à chaque baptisé de jeûner le vendredi saint et traditionnellement le conseille aussi le samedi saint. On pourrait penser que ce jeûne ressemble aux autres jeûnes : démarche de pénitence, de purification et de conversion. Pourtant il ne se réduit pas à cela.
La naissance de Jésus de Nazareth est fêtée par les chrétiens le jour de Noël, le 25 décembre du calendrier julien ou du calendrier grégorien. Pour l'Église russe et les anciennes Églises d'Orient qui utilisent toujours le calendrier julien, le 25 décembre julien correspond au 7 janvier du calendrier grégorien.
Selon le Livre de la Genèse , l'homme et la femme furent créés par Dieu au sixième jour. « Dieu créa l'homme à son image, il le créa à l'image de Dieu, il créa l'homme et la femme.
Dans la liturgie
Le vendredi est le jour de la préparation du Chabbat pour les Juifs, fête qui commence la veille au soir du samedi. Les chrétiens consacrent ce jour à la pénitence et à la prière, en mémoire de la Passion de Jésus-Christ.
Et finalement, Jésus ne serait pas mort en 33, mais quelques années plus tôt – vraisemblablement le 7 avril 30, à l'âge de 36 ans.
Le récit littéraire de la mort se déroule dans un cadre marqué par un rythme de trois heures dans l'Évangile selon Marc : Jésus est crucifié à la troisième heure (9 heures du matin), les ténèbres débutent à la sixième heure (à midi) et la mort survient à la neuvième heure (trois heures de l'après-midi).
En effet, le 25 décembre représente pour eux la fête de la Nativité, soit la naissance de Jésus.
Dans l'islam, la prière obligatoire du matin est appelée la prière Fajr.
Dans le christianisme, il n'y a pas d'heure spécifique de prière obligatoire, mais certains croyants choisissent de prier à des moments particuliers de la journée, comme le matin ou avant de se coucher.
Prier saint Joseph peut s'avérer efficace lorsque nous sommes face à des causes difficiles, telles qu'un décès, une perte d'emploi, une séparation…