Pour avoir défié Zeus et son ordre, Prométhée est enchainé à un rocher ou à une montagne (en fonction des versions) avec des chaines forgées par Héphaistos. Pour le punir de son affection pour les humains à la durée de vie limitée, son foie est dévoré chaque jour par un aigle.
Donc un vol (le feu a été dérobé à Zeus) et un châtiment, un vol fait au Ciel pour le bien des hommes (Prométhée a donné ce feu aux hommes), et une expiation douloureuse.
L'insulte faite à Zeus[modifier | modifier le wikicode]
Il donne le choix à Zeus entre les deux paquets, le dieu opte pour la graisse. Furieux de n'y trouver que des os, Zeus décide d'une part d'infliger un terrible supplice à Prométhée, d'autre part de faire le malheur de l'humanité en lui envoyant Pandore.
'Condamné par les dieux à souffrir éternellement pour avoir donné le feu aux hommes avec l'aide d'Athéna, le Titan Prométhée a été enchainé sur un rocher du Caucase et un aigle venait chaque jour lui dévorer le foie qui repoussait.
Comment Zeus a-t-il puni Prométhée ? Zeus a puni Prométhée pour avoir donné le feu à l'humanité en enchaînant le Titan à un rocher et en demandant à un aigle de manger son foie.
Prométhée, métaphore de la connaissance offerte au hommes
Le mythe de Prométhée a deux niveaux de lecture majeures : il représente la connaissance offerte à l'homme, le don unique qui lui est fait par rapport aux êtres vivants à travers la rébellion d'un messager qui s'oppose aux dieux.
Mais cédant à la curiosité, Pandore ouvre la boîte, libérant ainsi tous les maux, les malheurs, qui étaient contenus. Elle n'eut que le temps de retenir « l'espérance ».
Les Olympiens ne pouvaient toujours pas régner paisiblement, car Gaia engagea les terribles et sauvages géants pour combattre Zeus dans ce qui fut appelé la Gigantomachie.
Prométhée décide de voler le feu sacré à Zeus pour le donner à l'homme afin de le rendre plus fort pour la survie de son espèce. La vengeance de Zeus sera terrible. Prométhée sera condamné à être enchaîné à un rocher et de se voir dévorer chaque jour le foie par un aigle.
Chez Eschyle, Prométhée est bien un dieu, en butte à l'hostilité et à l'injustice de Zeus, qui apparaît dans cette pièce comme un abominable tyran. Mais la suite est déjà annoncée: Prométhée sera délivré, et Zeus, revenant à de meilleurs sentiments, deviendra un dieu juste et protecteur, et se réconciliera avec lui.
Prométhée, titan rebelle au service des hommes
Son nom signifie « celui qui réfléchit avant » car il est instruit et rusé. Selon ce que nous conte la mythologie, Prométhée était donc un Titan dont l'existence remontait à l'aube des temps, à une époque oú les dieux eux-mêmes n'étaient pas encore les maîtres du monde.
Selon Gaston Bachelard, le complexe de Prométhée désigne l'ensemble des tendances qui nous poussent à savoir autant et plus que nos pères ou nos maîtres, ce qui en ferait le « complexe d'Œdipe de la vie intellectuelle ».
L'heureux Tantale, fils de Jupiter (je n'insulte point à son infortune), tremblant à la vue du rocher prêt à tomber sur sa tête, demeure suspendu dans les airs : supplice qu'il subit, dit-on, parce que, simple mortel admis à la table des dieux, il ne sut point mettre un frein à sa langue : indigne faiblesse !
L'histoire commence lorsque Zeus, s'ennuyant en haut de l'Olympe, lui demande de faire naître la vie. Prométhée confie la tâche à son frère mais celui-ci crée un homme trop faible pour survivre. Alors Prométhée, afin de donner aux créatures humaines la force de vivre, vole à Zeus un morceau de foudre, le feu sacré.
Littéraire. Outrance dans le comportement inspirée par l'orgueil ; démesure : Journalistes se défiant de l'hubris. 2. Chez les Grecs, tout ce qui, dans la conduite de l'homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance.
Prométhée leur vint alors en aide grâce à la ruse que voici : il prit un boeuf énorme, le tua, le dépeça et en fit deux parts. Dans l'une, il mit toute la viande, recouverte d'une simple peau ; dans l'autre, les os et les abats, recouverts d'une forte couche de graisse. Et il dit à Zeus de choisir.
Dans la mythologie grecque, Pandore est la première femme, créée sur l'ordre de Zeus, irrité contre Prométhée et les hommes. Envoyée sur Terre avec une mystérieuse boîte, la curieuse Pandore devient malgré elle l'instrument de la vengeance du dieu des dieux…
Pour un méfait dont la nature nous est inconnue, Poseidon et Apollon ont été obligés par Zeus de servir un mortel comme ouvriers pendant un an. Les deux dieux entrent ainsi au service du roi de Troie, Laomédon, le père de Priam.
Les divinités premières qu'il cite sont : Chaos (Béance, Faille), suivi par Gaïa (la Terre), Tartare (les entrailles de la Terre), Éros (le Désir), Nyx (la Nuit) et Érèbe (les Ténèbres), puis par Ouranos (le Ciel et la Vie), Éther (le Ciel supérieur) et Héméra (le Jour).
Zeus est le roi des dieux dans la mythologie grecque. Il est le frère de Hadès, de Poséidon, de Déméter, de Hestia et de Héra qui est également sa femme. C'est aussi le fils de Cronos et de Rhéa. Il est l'un des trois maîtres de l'Univers, avec ses frères Poséidon et Hadès.
Elle a été créée pour punir l'humanité après que Prométhée eut volé le feu pour un usage destiné aux humains. Pandora possédait une boîte, connue aujourd'hui sous le nom de boîte de Pandore, qui contenait tous les maux du monde. On lui a dit de ne jamais ouvrir la boîte.
Avant d'envoyer Pandore sur Terre, les dieux lui avaient remis une boîte, sans lui dire ce qu'elle contenait, et ils lui ordonnèrent de ne jamais l'ouvrir. Aux côtés de son époux, Pandore jouissait de la vie et savourait son bonheur.
Quelle est la morale de la boîte de Pandore ? Parce qu'une seule personne, par une simple action, peut être à l'origine de nombreux malheurs en chaîne, mieux vaut ne pas succomber à la tentation… En d'autres termes : "la curiosité est un vilain défaut !"
On raconte qu'un jour Zeus fit venir à lui deux Titans fils de Japet, Épiméthée et Prométhée, afin de leur confier une tâche fort importante : celle de distribuer aux différents animaux les différentes qualités naturelles.
Prométhée et Hermès donnent aux hommes des capacités qui sont d'abord des privilèges divins. Par là le mythe signifie que l'homme revêt une dimension de supériorité propre à lui conférer un statut d'exception dans la création. Il constitue comme tel un des fondements de l'humanisme occidental.