Au XIXe siècle, les lettres Q (pour queen) en Angleterre et D (pour dame) en France sont imprimées en haut à gauche et en bas à droite avec les figures inversées. Le joueur doit en effet, d'un coup d'œil, pouvoir reconnaître chaque carte serrée dans sa main, sans avoir à l'écarter de son jeu ni à la tourner.
(1844-1871). Sans doute voulut-elle éviter de créer une confusion avec le K de King (toutefois, les suédois l'ont fait dans leurs jeux), mais son choix est sans doute aussi influencé par l'énorme succès du All Fours. Les indices sont K (King), Q (Queen) et J (Jack). A partir de cette date, leur usage se généralise.
A l'article "dama", le grand lexicographe espagnol écrit : "Le jeu de dames, avec le tablier des échecs, tout le monde le connaît; on le nomme ainsi parce qu'il est facile ou à cause de la façon de jouer les pions avec la liberté de la dame". Aux Pays-Bas, la première référence au jeu de dames date de 1552.
La désignation de la carte varie suivant les langues, mais tend à conserver cet aspect d'infériorité de classe : allemand : Bube (jeune garçon, gosse, palefrenier) anglais : jack ou plus archaïquement knave (domestique homme, souvent jeune)
Une période durant laquelle s'appliquait une règle très particulière: la loi salique, cette loi qui définissait les règles de succession au trône de France, empêchant notamment l'accès des femmes au pouvoir. On peut donc penser que c'est elle qui a favorisé l'adoption du mot “dame” et non “reine”.
En effet, Camilla Parker-Bowles n'était pas perçue comme suffisamment « aristocrate » pour être princesse, et donc épouser Charles III, selon un compte-rendu du Daily Mail, À savoir aussi que l'actuelle épouse du roi a aussi mis du temps avant de se faire accepter par la reine Elizabeth II.
Pourquoi aux échecs, la reine est plus forte que le roi ? Aux échecs la reine, qu'on appelle la dame, est la pièce la plus importante du jeu, celle qui peut se déplacer d'autant de cases qu'elle veut en diagonale, en verticale ou en horizontale.
Un trio roi-reine-valet remplacé par trois cartes portant respectivement les sigles "G", "S" et "B" soit "Gold" (or), "Silver" (argent) et "Bronze". Un choix futé pour remplacer des cartes problématiques tout en conservant une hiérarchie logique, aisément compréhensibles par tous.
Enfin Lancelot, le Valet de Trèfle : il s'agit évidemment du Chevalier de la Table Ronde, dévoué au roi Arthur (jusqu'à un certain point, puisqu'il commet le péché d'adultère avec la Reine Guenièvre) et est chargé de mener la quête du Graal.
Le valet de pique est une carte à jouer, mais aussi une marque de maroquinerie. Il est appelé Ogier pour les cartes française ; il pourrait s'agit d'un hallebardier (Homme d'armes portant la hallebarde) ou encore d'une référence à l'un des douze pairs de Charlemagne.
La pièce prise est retirée du damier. La prise est obligatoire. Remarque : la vieille règle de « souffler n'est pas jouer », c'est-à-dire de prendre la pièce adverse qui avait négligé de faire une prise possible, est abolie. L'adversaire oblige simplement le joueur distrait à faire la prise dans les règles.
Anya Taylor-Joy incarne la protagoniste de la série, Beth Harmon.
Dès le milieu du xive siècle, ce jeu aurait donc pris à son tour, sans doute en France, le nom de « jeu de dames ». En Angleterre, le jeu fut nommé draughts (littéralement « traits »), dès le milieu du xve siècle, et en Catalogne, marro (de punta).
dame de cœur : « Judith » ; référence possible à Judith, héroïne biblique. dame de carreau : « Rachel » ; peut-être Rachel, autre héroïne biblique. dame de trèfle : « Argine » ; il pourrait s'agir d'une anagramme de regina, « reine » en latin. dame de pique : « Pallas » ; éventuelle référence à Pallas, épiclèse d' ...
Enfin, le nom de roi de carreau, César, est évidemment emprunté à Jules César. La dame, Rachel, est un personnage biblique. Quant au valet, Hector, il s'agit du fils du roi Priam, héros de la guerre de Troie, ou de Hector des Mares, un des personnages de la légende du roi Arthur.
Le valet de cœur est appelé « Lahire ». Son origine est incertaine, mais il pourrait s'agir d'une référence à « La Hire », surnom d'Étienne de Vignolles, compagnon d'armes de Jeanne d'Arc.
« As de pique » est une insulte désuète, au sens tout d'abord d'« imbécile » ou de personnage laid, gringalet et chétif, puis d'individu étrange et drôle.
L'as de carreau a pour valeur l'as et pour enseigne le carreau. En abrégé, il est noté « 1♦ », plus rarement « A♦ ». L'as de carreau fait partie des jeux de cartes occidentaux traditionnels. En particulier, on la retrouve dans les jeux de 32 cartes, de 52 cartes et la plupart des jeux de tarot.
Répondant au nom de Trifolium angulatum, ce trèfle a été découvert sur deux parcelles de la réserve lors de relevés de terrain en mai-juin 2012.
Parce qu'il n'a pas de bras. On dit aussi qu'il ne peut pas non plus manger de chocolat... Dans le jargon des joueurs de poker, cette carte est surnommée le roi borgne, le seul des quatre rois dont on ne voit qu'un œil.
L'ordre de force des cartes est le suivant : 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8, 9, 10, valet, dame, roi, as, l'as étant le plus fort.
En effet, si le roi est la pièce par laquelle le jeu s'achève (et le but du jeu adverse), la reine quant à elle est sans contestela pièce la plus puissante du jeu. Elle combine les mouvements des deux pièces les plus puissantes du jeu (après elle) qui sont la tour et le fou.
Attention : s'il y a des jokers dans votre paquet, vous pouvez en donner un à chaque participant mais seulement si vous n'êtes que deux pour éviter de désavantager certains participants. Eh oui, à deux, le joker devient la carte la plus forte (au-dessus de l'As).
1638-1715. Le règne de Louis XIV reste marqué par l'image d'un roi absolu et d'un État puissant, donnant à cette période le nom du « Grand Siècle ». Investi très jeune dans ses fonctions, éduqué par le cardinal Mazarin, le Roi-Soleil incarne les principes de l'absolutisme.