Et pourquoi l'Eglise a choisi de retenir le Notre Père tel que l'a rapporté Matthieu ? Chez
Notre Père, qui es aux cieux, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne, que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Dans la foi chrétienne, la prière est une relation, une parole adressée à quelqu'un. Une conversation entre un moi humain et un Vous/Tu transcendant auquel on s'adresse ou que l'on écoute. Il y a une dimension d'attachement, on cherche une proximité intérieure avec une présence.
Gloire au Père, et au Fils, et au Saint-Esprit. Comme il était au commencement, maintenant et toujours, Et dans les siècles des siècles. Amen.
Gloire à Dieu, au plus haut des cieux, Et paix sur la terre aux hommes qu'il aime. Nous te louons, nous te bénissons, nous t'adorons, Nous te glorifions, nous te rendons grâce, pour ton immense gloire, Seigneur Dieu, Roi du ciel, Dieu le père tout-puissant.
« Ô Jésus, c'est par amour pour vous, pour la conversion des pécheurs et en réparation des péchés commis contre le Cœur Immaculé de Marie ! Ô mon Jésus, pardonnez-nous, préservez-nous du feu de l'enfer ; emmenez au Paradis toutes les âmes, surtout celles qui ont le plus besoin. » Source : Sanctuaire de Fatima.
Que ton nom soit sanctifié ; que ton règne vienne ; que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel. Donne-nous aujourd'hui notre pain quotidien ; pardonne-nous nos offenses, comme nous aussi nous pardonnons à ceux qui nous ont offensés ; ne nous induis pas en tentation, mais délivre-nous du mal. ! »
On ne peut pas dire : “C'est écrit, donc ça s'est passé historiquement comme ça.” Nous avons accès aux deux témoignages de Luc et de Matthieu, dont les versions diffèrent d'ailleurs notablement. L'Eglise, traditionnellement, récite la prière telle qu'on la trouve chez Matthieu.
Ô mon Dieu ! Je te demande pour moi et pour ceux qui me sont chers la grâce d'accomplir parfaitement ta sainte volonté, d'accepter pour ton amour les joies et les peines de cette vie passagère afin que nous soyons un jour réunis dans les cieux pendant toute l'éternité.
C'est ainsi que Paul dit que nous sommes tous « saints » puisque pour Dieu nous ne sommes pas un numéro mais une personen qu'il aime en particulier et qu'il espère voir apporter de bonnes choses au monde. C'est ainsi que Dieu, lui, nous sanctifie, en tout cas dans son regard sur nous et dans son espérance en nous.
« [Jésus] leur répondit : Quand vous priez, dites : Père, que ton nom soit sanctifié, que ton règne vienne. Donne-nous le pain dont nous avons besoin pour chaque jour. Pardonne-nous nos péchés, car nous-mêmes, nous pardonnons aussi à tous ceux qui nous ont des torts envers nous.
Faites preuve de foi et dites: Que ta volonté se fasse. Ces expériences, si vous y faites face honorablement, vous préparent pour de plus grandes bénédictions. Dieu, qui est votre Père, a pour but votre bonheur éternel, votre développement continuel, l'accroissement de vos capacités.
Je te présente mon péché Seigneur, que ton sang précieux coule sur moi pour m'en libérer, me guérir de mes fautes. Je te présente Seigneur toutes mes peurs, toutes mes angoisses. Débloque Seigneur tout ce qui manque de simplicité et d'amour dans ma relation à l'Église, ma mère et à tous ses ministres.
Quand les chrétiens réciteront les 3 Ave Maria pour rappeler les privilèges qu'elle reçut de la Sainte Trinité, pouvoir que lui concéda le Père, sagesse que lui communiqua le Fils et la miséricorde par laquelle l'Esprit-Saint la combla, des grâces leur seront accordées.
Travailler de ses mains à des tâches habituelles. Sans radio, sans un mot, et jouir de ce calme et de ce travail qui n'occupe que la surface de notre attention, et qui laisse libre l'âme... Aller se mettre en présence de la nature, sous le soleil ou sous un parapluie, et se laisser porter par le calme et la beauté...
Au 15ème siècle, en Prusse, le prieur de la chartreuse de Trèves conseille à ses novices de réciter ces prières d'invocation en méditant la vie de Jésus. A partir de là, le frère dominicain Alain de la Roche qui prêche en Flandres et en Artois diffuse la pratique du chapelet.
Selon le Nouveau Testament, le croyant peut parler à Dieu comme à un père, « au Nom du Seigneur Jésus-Christ ». La prière chrétienne se réalise seul, en groupe, en tout lieu et en tout temps. Elle prend différentes formes selon les Églises.
Les auteurs de la Bible sont environ 40 ; parmi eux on retrouve des apôtres, qui ont rapporté les paroles de Jésus : Paul, Matthieu ou Jean mais aussi des rois : David, Salomon; des prophètes : Élie, Moïse...
C'est la prière la plus simple. Elle consiste à répéter longuement le Nom de Jésus, une phrase de psaume ou une invocation : « Seigneur, Fils du Dieu vivant, prends pitié de moi pécheur », « Seigneur, ne t'éloigne pas de moi », « Seigneur, montre-moi ton visage », « Seigneur, tu sais bien que je t'aime ».
Dans cette lettre, elle écrit : « La troisième partie du secret se réfère aux paroles de Notre Dame : « Sinon la Russie répandra ses erreurs à travers le monde, favorisant guerres et persécutions envers l'Église. Les bons seront martyrisés, le Saint-Père aura beaucoup à souffrir, diverses nations seront détruites » ».
La 2e partie du secret de Fátima concerne la Russie et sa consécration au Cœur immaculé de Marie et un avertissement qu'on pourrait traduire ainsi : "Si on accepte mes demandes, la Russie se convertira et on aura la paix.
La position du priant dans la tradition biblique est essentiellement la tenue debout avec les mains levée vers le ciel, à hauteur du visage. Comme pour demander au Dieu de la relation d'alliance qu'il accorde au croyant l'harmonisation entre la pensée et l'action.
Mon Dieu, je vous offre mon cœur, mon esprit, mes pensées, mes paroles, mes actions, tout moi-même, pour ne servir que votre gloire. Je renouvelle les promesses de mon baptême. Mon Ange gardien, je vous remercie de m'avoir gardé pendant ce jour ; offrez à Dieu tous les battements de mon cœur pendant que je dormirai.
Prière de délivrance : Psaume 143
Béni soit le Seigneur, mon rocher ! + Il exerce mes mains pour le combat, * il m'entraîne à la bataille. Il est mon allié, ma forteresse, ma citadelle, celui qui me libère ; il est le bouclier qui m'abrite, il me donne pouvoir sur mon peuple.