La Justice permet aux Hommes de vivre ensemble en harmonie. Pour juger de ce qui est juste et injuste, elle se base sur des lois et des grands principes.
Le principe d'impartialité
l'impartialité subjective est toujours présumée (il n'est en effet pas possible de s'en assurer autrement) et relève de l'éthique du juge ; l'impartialité objective consiste dans les signes apparents de neutralité assurant aux parties que leurs arguments feront l'objet d'un examen objectif.
L'égalité des droits et l'équité procédurale; La transparence et l'intégrité; Le respect des droits des victimes; Le respect de la complémentarité entre les divers intervenants du système de justice pénale.
Rendre, faire justice à quelqu'un,
réparer le tort qui lui a été fait, reconnaître ses mérites.
La justice civile permet de résoudre les conflits entre particuliers et ceux du monde du travail. Le tribunal d'instance arbitre les conflits concernant la vie quotidienne. Le tribunal de grande instance s'occupe du droit de la famille. Le conseil des prud'hommes juge les conflits du monde du travail.
Le terme « magistrat » désigne les hommes et femmes qui rendent la justice. Le Juge, qu'il soit spécialisé (Juge aux Affaires Familiales, Juge de l'Application des Peines, Juge des enfants, Juge de l'exécution….) ou non, rend des décisions de justice conformes au Droit « au nom du peuple français ».
La justice est un principe philosophique et moral. Elle permet de garantir l'égalité de tous devant la loi. Les personnes qui travaillent pour la justice sont là pour résoudre des problèmes, des conflits entre des personnes et appliquent les règles de la loi pour vivre ensemble.
On distingue ainsi égalité des droits, égalité des situations et égalité des chances. Pour contribuer à la justice sociale, les pouvoirs publics peuvent agir sur la fiscalité et les services collectifs, mais également sur les politiques de redistribution, c'est-à-dire au travers de la protection sociale.
Kandil fait intervenir Rawls : les principes de justice émanent d'un choix rationnel et unanime de personnes morales, libres et égales placées sous exigence d'impartialité, dans une position d'égalité. Il s'agit de la position originelle sous voile d'ignorance, pierre angulaire de la célèbre Théorie de la justice.
Le mot justice est employé dans différents contextes. C'est d'abord un sentiment subjectif dans le cœur de l'homme, une vertu. C'est dans un autre sens une institution, le pouvoir judiciaire, dont l'idéal est l'équité. C'est aussi un principe politique qui régit les pouvoirs et en garantit la légitimité.
La justice , c'est l'application des lois qui permettent une régulation des rapports humains vers le Bien Commun. L'égalité, quant à elle, ce serait l'absence de discriminations.
Le rôle de la justice dans toute cette histoire est de rechercher les crimes, délits, contraventions et traduire tous les bandits devant la juridiction compétente.
Définition de la Justice en philosophie
Pour les philosophes, la justice est le but de toute politique, dans la mesure où elle vise à établir une égalité véritable et anonyme, qui ne tient compte ni de la situation sociale ni de la personnalité des individus.
Le principe d'égalité des citoyens devant la loi figure à l'article 6 de la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789. Ce principe implique l'égalité des citoyens devant l'application qui est faite de la loi par l'institution judiciaire.
La justesse de la justice se mesure à la manière dont celle-ci est rendue. Au-delà des principes, la justice est une affaire de personnes, d'individus, compris et entendus dans leur subjectivité. Juste, équitable, impartiale, compétente, sereine. Naturellement, la justice doit être tout cela.
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La justice est rendue au nom du peuple français. Ce principe signifie que les débats ont lieu publiquement, sauf pour certaines affaires, et que la décision de justice est rendue en présence du public.
Une parole est prononcée / un acte est accompli (et constaté). 3. Celui qui détient l'autorité juge que ce qui est dit ou accompli est un mal, ne serait-ce que parceque c'est contraire à au moins une règle établie. Il s'agit donc d'une faute.
1. Qui a le souci de la justice, qui respecte le droit et l'équité : Se montrer juste à l'égard de ses subordonnés. 2. Qui est conforme au droit, à l'équité : Une décision juste.
La justice, pour Aristote, est en effet d'abord une vertu, c'est-à-dire un état de l'âme (cf. EN, II, 5, 1106 a 14), contrairement à l'idée qu'on s'en fait aujourd'hui le plus souvent [1][1]L'exception la plus notoire est peut-être celle de A.…. Mais la justice n'est pas une vertu comme les autres.
Le sens de la justice est donc la faculté de juger, mais considérée quant au résultat de l'exercice de juger le juste et l'injuste, c'est-à-dire comme la reconnaissance des déterminations qui définissent ce qui est juste et ce qui est injuste.
Le droit est l'ensemble des règles juridiques qui définissent les droits et les devoirs ainsi que la responsabilité de chacun. Ces règles sont contraignantes, c'est-à-dire qu'on est obligé de les respectées sous peine de sanction. La loi permet de vivre ensemble en facilitant les rapports entre les gens.
Elle est un rempart qui protège les personnes, garantit les règles du vivre ensemble, les droits et donc les devoirs de chacun, les conditions d'une société apaisée et est une réponse à la légitime demande de sécurité des Français.
Création de la notion de justice par le droit
La civilisation romaine est la première à avoir constitué des théories juridiques qui nous soient parvenues. Le droit romain, peut donc être considéré comme le premier système juridique.
La justice sociale est fondée sur l'égalité des droits pour tous les peuples et la possibilité pour tous les êtres humains sans discrimination de bénéficier du progrès économique et social partout dans le monde. Promouvoir la justice sociale ne consiste pas simplement à augmenter les revenus et à créer des emplois.
Les inégalités sont tolérables à condition que tous bénéficient d'une égalité des chances pour accéder à des positions plus favorables. Pour faire court, des inégalités peuvent être bénéfiques aux plus défavorisés. De ce point de vue, la discrimination positive (à l'américaine par exemple) entre dans ce cadre.