Chleuh est un
Époque, date, terme. Vie.
Étymologie. De Chleuh, un peuple amazighe du sud marocain. Lors de la Première Guerre mondiale, le mot apparait avec le sens de « soldat des troupes territoriales » dans l'argot des soldats combattant au Maroc. (1936) Avec le sens de « frontalier parlant une langue autre que le français : comtois ou alsacien ».
Boche est un terme péjoratif pour désigner un soldat allemand ou une personne d'origine allemande, mot qui a été utilisé pendant la guerre franco-allemande de 1870 puis plus largement par les Français, les Belges et les Luxembourgeois de la Première Guerre mondiale jusque bien après la Seconde Guerre mondiale.
CHLEU(H),(CHLEU, CHLEUH) adj. A. − Propre aux populations berbères du Maroc occidental, à leur langue, à leur culture, à leur territoire.
Les soldats allemands appelaient aussi les soldats français les « Franzmann » (hommes de France), alors que l'équivalent germanique de poilu est « Der Feldgraue » à cause de la couleur grise de l'uniforme.
Mein Engel : mon ange ; Mein Herz : mon cœur, mon amour ; Meine Maus : ma souris ; Mein Liebling : mon amour.
dérivé de allemand , avec le suffixe -boche ; la déformation de altdeutsch (« vieux allemand ») selon une enquête et un article de L'Est républicain datant de 1914 ; altdeutsch était entendu par les Français comme Alldoche devenu Alboche.
Les Chleuhs sont établi dans le pays chleuh, une région du Maroc s'étendant au nord d'Essaouira jusqu'à Azilal et s'étendant à l'est vers le sud à travers l'oued Draa, à l'ouest l'océan atlantique et au sud jusqu'à Guelmim, la porte du Sahara.
Le tachelhit, ou chleuh (en berbère : ⵜⴰⵛⵍⵃⵉⵜ tacelḥit) est une langue berbère parlée par les Chleuhs au Maroc. Avec 8 à 10 millions de locuteurs, le tachelhit est la plus importante langue berbère du monde, par le nombre de locuteurs et par l'ampleur de son extension.
Les Auvergnats ou Bougnats étaient perçus péjorativement. "Bougnat", pour dénigrer quelqu'un, aurait donné Bougnoule. On dit que les Allemands (occupants en 40/45) en France auraient aussi utilisé "Bougnoule" pour les Français.
L'utilisation du mot boche (aussi écrit bosh ou boch) pour appeler nos voisins germaniques remonte à la fin du XIX° siècle. Ce terme est une abréviation du mot d'argot Alboche désignant à l'époque une personne à fort caractère et à l'esprit un peu obtus (alboche = une tête de bois).
Les Allemands ont ainsi été surnommés “alboches”. Puis, en quelques mois, le préfixe “al-” est tombé (il a disparu) et il n'est resté que “boche” (mot utilisé aussi ensuite durant la guerre de 1939-1945). » Injure. « Ce mot argotique a une connotation péjorative.
fridolin
Familier, péjoratif, vieilli. Allemand, en particulier soldat allemand. (Surnom utilisé surtout pendant la Seconde Guerre mondiale.)
Nom commun. (Péjoratif) Personne de nationalité allemande. (Par extension) (Lorraine) Mosellan ou Alsacien ; personne parlant un dialecte germanique. (Cinéma) Personne un peu simple d'esprit, idiot, fada.
Dites-lui « Hemlegh-kem », qui est la traduction de « Je t'aime » en berbère kabyle, lorsqu'on s'adresse à une femme, et « Hemlegh-k hemlegh-k », lorsqu'il s'agit d'un homme.
En chleuh soeur signifie : ultma (nous avons trouvé des traductions 1).
Les “Berbères” ou “Amazigh” (en berbère: pl. ⵉⵎⴰⵣⵉⵖⵏ /Imaziɣen/, sing. ⴰⵎⴰⵣⵉⵖ /Amaziɣ/) sont un groupe ethnique autochtone d'Afrique du Nord. Aussi connus dans l'Antiquité sous les noms de Libyens, Mauri, Numides, Gétules, Garamantes.
L'islam s'est installé au Moyen Âge et il constitue la religion majoritaire des Kabyles. Son influence sur la culture, la société est majeure ; et ce à travers diverses périodes historiques. Au début de la conquête musulmane du Maghreb, la population berbère se convertissait massivement.
C'est pourquoi les Berbères se désignent eux-mêmes par le terme Imazighen (au pluriel); au singulier, c'est le terme Amazigh qui est employé. Le mot tamazight désigne leur langue (berbère), mais on écrit aussi «langue amazighe»; le mot Tamazgha désigne le territoire auquel ils appartiennent (la Berbérie).
un terme français argotique (au pluriel Les Fritz) plutôt péjoratif qui servait à désigner les Allemands durant la Première et la Seconde Guerre mondiale, venant probablement du fait qu'il s'agissait d'un prénom allemand assez courant.
L'opération Barbarossa est la plus grande invasion de l'histoire militaire en termes d'effectifs engagés et de pertes : près de quatre millions de soldats de l'Axe pénètrent en Union soviétique. En plus des troupes, l'opération Barbarossa a mobilisé 600 000 véhicules et 600 000 chevaux.
Pendant les huit premiers mois de la Seconde Guerre mondiale, il n'y a quasiment aucun combat. C'est la "drôle de guerre". La "guerre-éclair" ou "Blitzkrieg" prend le relais à partir du 10 mai 1940, date à laquelle les forces allemandes entrent en Belgique, au Luxembourg et aux Pays-Bas.
Mon ou ma chéri.e, mon amour, mon ange, mon cœur, mon ou ma Valentin.e... Toujours selon le sondage TNS Sofres pour Le Pèlerin, ce sont les surnoms classiques qui reviennent le plus souvent. D'après une étude réalisée en 2016 par le site de rencontres eDarling, le surnom le plus utilisé par les Français est "mon cœur".