Ce type de contrat présente de nombreux avantages pour les familles recomposées. Les époux conservent dans leur patrimoine personnel les biens qu'ils possédaient avant leur union et ceux qu'ils ont reçu par donation ou succession ainsi que ceux acquis à titre personnel durant le mariage.
La première option pour protéger le conjoint survivant dans le cadre d'une famille recomposée consiste à adopter un régime matrimonial protecteur, soit lors de la célébration du mariage, soit au cours du mariage (changement de régime par acte notarié et après 2 ans de fonctionnement de l'ancien régime).
de l'eczéma ; de l'agressivité, en particulier à l'égard de la mère considérée comme responsable de la séparation ; un refus de suivre les rythmes proposés par les parents et l'école ; une perte de confiance dans les adultes, en particulier dans le père, dont la vision déclencherait une réaction de refus, etc.
Une des premières causes des difficultés à vivre dans les familles recomposées est le nombre exponentiel de variables par rapport à une famille « traditionnelle ». Cela ne veut pas dire que cela ne peut pas bien fonctionner, ou que les membres d'un foyer recomposé ne peuvent pas être heureux.
Les violences physiques ou psychologiques
Même dans la colère, même quand "les mots dépassent la pensée", même sur un coup de sang alors que "normalement je fais jamais ça", ce sont des actes graves qu'il ne faut jamais accepter.
Une petite fille a besoin de voir ses parents s'aimer et se désirer; indispensable pour qu'elle puisse à son tour aimer et être aimée. Grâce à son père qui lui aura montré la voie, elle vivra une relation d'amour et de désir, à l'instar de celle de ses parents.
Ces familles ne sont pas condamnées aux disputes et conflits permanents, à condition de bien gérer les choses. Pour commencer, le nouveau couple de parents doit prendre la décision de vivre ensemble quand l'amour et la bonne entente entre eux est bien présente, et non pas sur un « coup de tête ».
Par ailleurs, si les pères de famille priment la tendresse avec leurs fillettes, ils tireraient davantage vers le haut leurs fils en prônant des relations plus "pratiques" et en usant un langage tourné vers la réalisation et la réussite.
Adopter le régime matrimonial de la communauté universelle permet de protéger au mieux le conjoint : ça consiste à intégrer dans la masse commune, tous les biens détenus avant le mariage ou reçus en cours de mariage par donation/héritage, sachant qu'il n'y aura pas de droit de succession à régler.
En effet, la pension alimentaire peut donner lieu à une révision. Et ce, dès qu'il y a une évolution dans la situation d'un des anciens conjoints. Ainsi, le remariage de l'un d'eux peut être une condition de révision de la pension alimentaire.
> Un droit de jouissance gratuite du logement pendant 12 mois. Les douze mois suivant le décès, le conjoint survivant peut demeurer gratuitement dans le logement familial du couple, garni du mobilier qui s'y trouve. Il s'agit d'un droit automatique ; il n'est nul besoin de le réclamer.
Restaurer la place de chaque membre au sein de la famille
En effet, plus on partage sa vie avec ses proches, plus on favorise leur volonté d'en savoir davantage, de suivre les événements qui animent votre vie. Ainsi, lors de rencontres familiales, tout le monde est à la page et peut interagir, conseiller, réconforter…
Aimante, influente, protectrice ou dévoratrice, la mère reste l'expérience affective décisive, celle qui transmet les valeurs et construit l'homme que l'enfant sera demain. Exploration de ce lien complexe.
Si vous êtes dans cette situation, la première chose à faire est de discuter ouvertement avec votre conjoint. Même s'il est incapable de faire face frontalement à sa famille, il faut qu'il comprenne que cela met en péril votre couple, que vous avez besoin qu'il soit là pour vous et qu'il vous faut agir.
Souvent les hommes se remettent plus rapidement en couple que les femmes. Non pas par amour pour la prochaine, mais parce qu'ils sont fragiles et ont pris l'habitude de s'en remettre aux femmes dans beaucoup de domaines de leur vie.
Le rôle de la belle-mère ou du beau-père est celui de parent de substitution ou de parent supplémentaire. Il faut répondre à des besoins basiques comme nourrir, donner le bain, aider aux devoirs, conduire les bambins à l'école ou à leurs activités.
Cette relation fusionnelle que votre enfant cherche à créer avec l'un des parents n'est en rien bizarre. Elle se développe entre 3 ans et 6 ans. Si cela l'est pour vous, sachez que ce comportement n'est qu'un passage qui permet de se construire et de créer des bases pour ses futures relations amoureuses.
L'inceste qualifie les « relations sexuelles prohibées entre parents très proches », entre parent et enfant, entre enfants d'une fratrie (y compris demi-frère et demi-sœur), entre grand-parent et petit enfant, ou encore entre oncle ou tante et neveu ou nièce, voire selon certains entendements entre cousins.
La marâtre ou belle-mère d'une personne est la conjointe de son père quand celle-ci n'est pas sa mère. De même, le parâtre ou beau-père d'une personne est le conjoint de sa mère quand celui-ci n'est pas son père.
Parfois, une rupture se décide parce que le couple prend conscience que leur histoire n'avance pas et que l'un comme l'autre a besoin d'un peu de temps pour prendre du recul et faire le point. C'est l'explication la plus évidente et la plus commune. Parfois, les raisons sont de nature professionnelle.
Avant tout, essayez de ne pas prendre les choses personnellement. Qu'il s'agisse de vous ou d'une autre, votre belle-mère trouverait toujours à redire. Soyez patiente et positive et laissez le temps agir et votre belle-mère s'habituer peu à peu à votre présence.
Pour qu'un enfant accepte la présence du nouveau conjoint, il faut que celui-ci lui montre de l'attention. Trouver des intérêts communs peut également aider pour que la relation s'améliore : « Il y a des enfants qui vont trouver quelque chose que leur parent biologique n'a pas.