Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
Le mot "femme" vient du latin "femina". En ancien français, il pouvait s'écrire "feme", "fame", "femme", "fenme" ou encore "famme" et se prononçait [fãm]. L'évolution de la langue a amené le son [ã] à s'ouvrir et à se transformer en [a] alors que la graphie avec le doublement de consonne s'est, elle, conservée.
Il s'agit de la contraction de l'adjectif possessif mon et du nom commun sieur, qui est lui-même une contraction de seigneur. Il est donc une forme simplifiée de monseigneur. Par l'usage, il ne se prononce plus comme il s'écrit. La prononciation moderne est /mǝ.
La lettre 'c' se prononce comme un 's' devant les voyelles 'e, i, y' et les doublons 'ae, oe', mais comme un 'k' devant les voyelles 'a, o, u'. Lorsque la lettre 'c' doit se prononcer comme 's' devant ces voyelles 'a, o, u', il est nécessaire de placer une cédille sous la lettre 'c'.
Des exemples
Exemple : prendre, il prend, avec un d, prend-il, avec une liaison prononcée [t], bien que prend s'écrive avec un d. Autre exemple : entendre, elle entend, entend-elle. C'est pour cette raison qu'on n'ajoute pas de t entre deux traits d'union comme dans y a-t-il, neige-t-il. Le d prononcé [t] suffit !
Le terme venant du latin secundus, signifiant « qui suit », la lettre G a été remplacée par un C, rendant la graphie conforme à la racine latine. Mais la prononciation n'a pas suivi l'uniformisation de l'orthographe, probablement parce qu'en français, il est plus facile de dire « segond » que « second ».
Voici l'explication. Le mot second est issu du latin classique secundus, prononcé avec le son "C", qui signifie "suivant". Le français descend en grande partie du latin, comme chacun le sait, mais les mots ont bien sûr été déformés, se sont modifiés progressivement, mijotés aux diverses sauces gauloises locales.
Définition - c ou ç ? Devant les voyelles a, o et u, le c se prononce (que). Devant les voyelles e, i et y, le c se prononce (s). Pour former le son (s) devant les voyelles a, o et u, on ajoute une cédille au c : ç.
La cédille est un signe graphique que l'on place sous le c pour indiquer qu'il doit se prononcer [s]. Elle est nécessaire devant a, o et u (sans cédille le c de ca, co, et cu se prononce [k]). Il est inutile de mettre une cédille devant un e ou un i : c devant ces voyelles se prononce toujours [s].
La lettre c se prononce [s] devant les voyelles e, i et y. La lettre c se prononce [s] devant les voyelles a, o et u quand on lui ajoute une cédille : ç. La lettre c se prononcent [k] devant les voyelles a, o et u.
Abréviation. Le titre de civilité madame s'abrège en Mme ou Mme. L'abréviation plurielle de mesdames est Mmes ou Mmes.
Faut-il écrire «M.» ou «Mr»? Encore courante dans les lettres françaises au XVIIIe siècle, l'abréviation «Mr» n'a désormais plus sa place dans nos usages. Elle est un diminutif du mot «mister» en anglais et ne doit, par conséquent, pas être confondu avec «M.», qui est l'actuel raccourci français du mot «monsieur».
Monsieur est un de ces mots qui ne s'écrivent pas du tout comme ils se prononcent (meuçieu). Il résulte de la coagulation de « mon » et de « sieur » (ancien cas régime de « sire » – du temps où le français avait une déclinaison à deux cas), lequel signifie « seigneur ».
Il faut un long détour par l'histoire de la langue pour démontrer, d'après les règles de l'évolution du français, que la prononciation <fa-m> est régulière, tandis que la graphie femme l'est moins. Et, qu'à l'inverse, la prononciation <flè-m> est irrégulière, alors que la graphie flemme se justifie.
Étymologie. (1080) Du latin fēmĭna (« femelle », « femme »). L'étymologie de fēmĭna est obscure : « celle qui enfante, qui donne la vie », participe moyen substantivé de * feo (« produire, enfanter ») qui a donné fetus , fetura , fecundus , fenum , fenus (voir ces mots).
Parce que les adverbes formés à partir d'adjectifs en -ent se terminent en -emment. L'adverbe formé à partir de l'adjectif apparent, qui s'écrit -ent, est donc « apparemment ». Les adverbes formés à partir d'adjectifs en -ant se terminent en -amment.
- 'c' suivi de 'a, o, u' se prononce 'k'; - 'c' suivi de 'e, i, y' se prononce 's'; - 'ç' suivi de 'a, o, u' se prononce 's'. Retrouvez la bonne consonne!
La lettre c peut produire les sons [k] ou [s]. Placée devant les voyelles e, i et y, la lettre c produit le son [s]. Pour produire le son [k] devant ces voyelles, il faut remplacer c par « qu ».
 â [ɑ], Ê ê [ɛ], Î î [i], Ô ô [o], Û û [y]. Avec l'e, il produit le même résultat que l'accent grave. L'accent circonflexe résulte généralement de la disparition d'une lettre, bien souvent un s (Pâques/pascal, fenêtre/défenestré, épître/épistolaire, hôpital/hospitalisation, etc. ).
Règle. Pour obtenir le son [ s ] au lieu du son [ z ] entre 2 voyelles, on double le s (ss). Deux s qui se suivent entre deux voyelles font le son [ s ].
La lettre t se prononce t sauf dans certains cas. Le digramme th e tle digramme tz sont observés dans des pages distinctes. Cela se produit devant un i suivi d'une voyelle où t note généralement [s] : initiation, confidentiel, ambitieux, inertie. Il s'agit du t interne et non du t initial (tien, tienne).
Un dernier mot prononcé aujourd'hui avec le son [e] se disait autrefois avec [a] : hennir, le hennissement. On disait donc le cheval [ani]. Vous aurez surement remarqué que, dans tous les mots concernés, le e prononcé comme un a précède soit deux n, soit deux m, soit deux l. Et il y a une bonne raison à cela.
a = a est le verbe avoir conjugué à la troisième personne de singulier. Donc, voici un truc si vous pouvez remplacer -a- par -avait- dans votre phrase et que la phrase conserve son sens et bien c'est ce type de a qu'il faut. à = à est pour montrer quelque chose comme par exemple : Je vais à la montagne.
Monsieur fait au pluriel messieurs : bonjour messieurs ! Abréviations. Monsieur s'abrège en M. (et non en Mr, qui est l'abréviation de l'anglais mister) : M.