Adeptes du mazdéisme (religion iranienne qui doit son nom à son dieu principal, Ahura Mazda), les Perses se mettaient en effet sous la puissance protectrice d'Atar, génie du feu, lorsqu'ils touchaient du bois. Le geste superstitieux de « toucher le bois » leur permettait alors de conjurer le mauvais sort.
Une référence au Christ chez les chrétiens
Et quand on n'a pas de bois, on se touche la tête, car une autre expression dit que certaines personnes ont une tête de bois et parfois l'âge tendre.
Le fait de toucher du bois par superstition est attesté dès l'Antiquité. A cette époque, les Grecs pensaient en effet que les arbres étaient sacrés, et tout particulièrement les chênes. Cette croyance résultait du fait que ces arbres, de par leur grande taille, attireraient davantage la foudre.
Au Moyen-âge, « toucher du bois » est une forme de supplication qui permet de se protéger de l'adversité. Fortifié par ce long héritage, le bois ne peut propager que d'heureuses influences.
L'expression « toucher du singe » ou « toucher de la peau de singe » n'a en soi rien de raciste. Elle a le même sens que « toucher du bois », locution destinée à conjurer le mauvais sort en touchant du bois, à défaut soi-même ou quelqu'un d'autre (le plus souvent à la tête).
L'origine de l'utilisation du mot lapin remonte à l'Antiquité, cet animal étant symbole de fécondité. Son absence signifie donc la pauvreté. À la fin du XIX e siècle, poser un lapin signifie « ne pas rétribuer les faveurs d'une fille », ou plus généralement partir sans payer.
Parmi les serveurs se trouvait un dénommé «Papillon», connu pour sa prompte réponse aux appels des clients qui désiraient être servis sur le champ: «Minute!». Les journalistes lui auraient alors attribué le charmant surnom de «Minute papillon». Et l'usage, cette expression pour signifier «pas trop vite!»
À l'époque, « se mettre sur » signifiait « mettre sur soi ». C'est ainsi que l'expression populaire « se mettre sur son trente-et-un » est apparue, signifiant s'apprêter pour une grande occasion. Selon une autre hypothèse, « trente-et-un » se rapporterait au jeu de cartes du même nom.
L'expression « langue de bois » désigne un cliché rhétorique péjoratif, visant à disqualifier un discours adverse en affirmant que son argumentation est tissée de formules stéréotypées.
Soyez positif et joyeux
Vous l'avez bien compris, la chance sourit à ceux qui ont la positive attitude. C'est naturel, on est plus enclin à vouloir aider et donner sa chance à des personnes joyeuses, souriantes et optimistes qu'à des personnes renfermées et négatives.
La Jade : porte-bonheur en terme d'argent. Le turquoise : apporte de la santé et de bien-être. L'aventurine : une forte énergie yang pour effectuer un changement positif. La pyrite : considérée comme une pierre porte-bonheur pour l'argent et l'abondance.
La langue de bois est une expression pour qualifier une expression ou une parole dénuée de réalité, préconçue, qui ne répond pas au problème posé. Message intentionnellement truqué. Exemple : La langue de bois est un langage si cher aux politiciens qu'on se demande s'il n'est pas enseigné à l'ENA.
« Donner sa langue au chat, c'est en somme faire comme si sa langue, l'organe avec lequel on parle, n'avait plus beaucoup de valeur, puisqu'elle n'arrive pas à trouver la réponse à la question posée, on peut donc la jeter, la donner au chat, un chat qui lui justement a la réputation de savoir beaucoup de choses, peut- ...
Origine : L'expression provient du langage familier, elle remonte au début du XIXe siècle et son sens n'a pas changé depuis. Elle s'utilise pour dire qu'un individu parle librement et sans retenue, qu'il ne réfléchit pas forcément avant de parler et qu'il peut dépasser des limites comme la convenance.
Un mot hongrois hérité de l'inventeur du téléphone
Mais, selon toute vraisemblance, cette interjection viendrait plutôt du hongrois "hallo", qui signifie "j'écoute". Cela fait sens, puisque Tivadar Puskas, l'inventeur du central téléphonique, était hongrois.
Locution verbale
(Familier) (En parlant d'une femme) Être séduisante, avoir un charme provoquant. (Vieilli) Avoir de l'originalité, de l'ardeur.
Cette expression viendrait de la chasse au canard, qui se pratique en automne, mais aussi en hiver où le chasseur doit rester immobile, aux aguêts, et laisser le froid lui pénétrer jusqu'à l'os en attendant qu'une de ses pauvres victimes veuille bien s'approcher.
Cette expression, née au début du XXe siècle, est construite avec le qualificatif "de chien" qui désigne un excès, le chien étant ici considéré comme méprisable. Un temps de chien est donc un sale temps.
Que signifie “rire comme une baleine” ? “Rire comme une baleine“ et sa variante “se tordre comme une baleine” signifient rire aux éclats, la bouche grande ouverte et bruyamment. Les deux expressions renvoient l'image d'une personne qui rit à gorge déployée, en se tortillant sur elle-même, qui se “bidonne”.
Cette expression naît du terme "rond" qui désigne une personne saoule (qui aurait un ventre rebondi à force de boire et manger). La queue de pelle a également une extrémité ronde, cette répétition est donc signe d'extrême ivresse.
Le mot en effet serait une onomatopée redoublée d'origine enfantine «désignant une chose de petite taille». Ce n'est qu'en 1878-1879 que le mot s'est transformé pour signifier dans le langage familier un synonyme du mot «moi».
En 1464, on ne disait pas "voir 36 chandelles", mais "voir les chandelles". Au fil du temps, on est passé "des chandelles", à mille, et même cent mille, puis à 36. Cette expression signifie que l'on est tout étourdi, soit à la suite d'un choc physique, soit à l'annonce d'une nouvelle bouleversante.
Il s'agit d'une métaphore relative au commérage : de la même manière que, dans une salade, on aime associer différents ingrédients pour donner un résultat délicieux, les ragots, eux, consistent en un mélange de mensonges, de contradictions, d'inventions, de mauvaises excuses, de propos confus.
1. Système de signes vocaux, éventuellement graphiques, propre à une communauté d'individus, qui l'utilisent pour s'exprimer et communiquer entre eux : La langue française, anglaise.